Pour l’aérographe, c’est le même que le mien, donc top. Pour le compresseur, si tu as les moyens, prends en plutôt un à cuve, débit plus régulier et plus silencieux (tant qu’il y a de l’air dans la cuve !), mais celui du kit fera le job sans aucun doute.
Pense à acheter la cuve pour nettoyer qui fera aussi support d’aérographe. D’autre part, choisis le diluant dans la même gamme que tes peintures. La gamme air (vallejo ou Prince-August) s’emploie tel quel, elle a déjà la bonne consistance, pour les autres marques d’acrylique je ne sais pas. Pour nettoyer, j’ai une bombe qui marche super bien. Le nettoyage, c’est une plaie, mais totalement indispensable.
Jean-Luc
Bonjour,
Ayant plusieurs Aérographes, je vous déconseille ceux dont l’aiguille traverse l’aéro pour la peinture acrylique. La peinture sèche plus facilement dans ce type d’appareil que dans les AZTEC. Cela se produit quand on peint plusieurs minutes d’affilées (2 à 10 mm). Le durcissement dépend du degré hydrométrique de l’air, de sa température et de la viscosité de la peinture.
Avec l’AZTEC j’ai plusieurs jeux de la même buse. Quand ce phénomène ce produit en cours de travail, je change la buse et la bloquée je la mets à tremper dans un récipient contenant le diluant de la marque Tamiya ou Prince August. Il m’arrive de les démonter pour les débloquer.
Puis quand tout est fini, je nettoie les buses à l’eau du robinet, et un final un petit jet de diluant, toujours en faisant fonctionner l’aéro, sans les démonter du pistolet.
Je me sers en moyenne 10 minutes par jour de l’Aéro.
Je stoke les buses dans un bain de diluant. Pour l’AZTEC j’ai plusieurs blanches et grises et cela suffit pour les maquettes.
Attention toujours commencer par les couleurs claires, ou sinon changer de buse entre chaque peinture. Même nettoyées à fond il reste toujours un peu de couleur soit dans le godet ou soit dans l’appareil.
Bonne journée à tous
Roland
A noter dans mon cahier de réflexions : ce n’est pas parce qu’une technique a fonctionné qu’elle va être appropriée une seconde fois. Il faut re-analyser le contexte et les objectifs.
Dans le cas présent, ces trois voies d’accès ne font rouler aucun train, non pas besoin d’être alimenté mais doivent quand même pouvoir se démonter pour extrait le pont pendant les mises au point et surtout s’intégrer facilement au reste du décor.
Il faut bien s’occuper le Dimanche à Dakar. Il fait froid (22° la journée, 17° la nuit) et l’harmattan souffle très fort (énormément de sable). Période un peu désagréable
Bref, j’ai repris la table à dessin et j’imagine l’évolution d’Obourg. Comment occuper un espace de 4 m x 3 m avec trois contraintes : une fenêtre, un radiateur et une porte d’entrée. Bien évidemment, aucun des trois ne se trouvent à l’endroit idéal.
J’avais bien imaginé un tour de pièce mais bien trop compliqué avec une porte très mal placée. Et puis le dépôt diesel d’Obourg est en bout de ligne, difficile de tout casser maintenant. Et puis j’aime bien l’idée d’avoir des modules et un plateau central sur plusieurs niveaux.
Mission du jour, essayer de faire rentrer une gare cachée (niveau -5 cm), il sera toujours temps d’imaginer les scènes au dessus (niveau +5 à +15 cm) : gare d’Obourg …
La gare cachée doit stocker des rames plutot courtes (3 à 4 wagons et je m’amuse bien) mais surtout des locomotives diesel en pagaille :). Et permettre au moins une boucle de retournement.
Le plateau central sera accessible par une viaduc mobile - cf l’excellente vidéo de Renaud Yver sur les passerelles :
Bref, j’ai tourné ce plateau central dans tous les sens et c’est encore la meilleure place. Sauf que l’accès arrive par le milieu, ça serait trop simple sinon :
Tiens tiens, 4x3m avec porte et fenêtre, ça me rappelle quelquechose !
Tu peux sans soucis faire un reseau tour de pièce avec tes contraintes en positionnant une passerelle en biais devant la porte. Il faut juste un peu de débattement pour pouvoir l’ouvrir.
Effectivement, je peux ajouter une menuiserie (appel à un ami hein !) pour faire un chanfrein à l’extrémité (je souhaite rester avec mes plateaux Maketis).
Je suis entrain de concevoir mon huilerie (vapeur fuel et diesel) et j’ai une question métaphysique.
J’ai vu les dimensions des bâtiments proposés dans le commerce (chez Sud Modélisme ou chez Régions et Compagnies) et cela m’interpelle sur deux points :
pourquoi le plafond de ces bâtiments est-il aussi haut ? Je ne vois pas bien l’équipement qui requiert une telle hauteur.
de fait, quel est l’équipement dans le bâtiment, ayant noté que la plupart des futs d’huiles sont exposés / stockés dehors.
Parce que avec des dimensions HO de 100 à 150 mm de longueur sur 50 à 100 mm de large et 75 mm de hauteur, on parle quand même d’un bâtiment qui fait 9 à 13 m de long sur 4 à 9 m de large et 6 à 7 m de haut en réel.
C’est juste du stockage de fut ou bien ? prévoir un engin de manutention ? je n’ai rien vu en dehors d’une poutre horizontale de manipulation sur certaines réalisations (un palan ?).
Pour Obourg, je pense partir sur un bâtiment de 120 par 50 mm sur une plateforme de 150 x 70 mm.
Merci de vos lumières. Je vais fouiller aussi sur le web mais rien trouvé de probant pour l’instant.
Edit petite précision : l’installation TIA (si d’aventure était nécessaire), serait accolée à la sablerie et le portique utiliserait celui de la tour sable. Donc mon huilerie ne gère que l’huile
@+
Apparement c’est la copie d’un bâtiment de Mulhouse
2 explications
Soit c’est la réutilisation d’un bâtiment existant
Soit on considérait qu’il fallait un certain volume d’air au dessus des fûts ?
Personnellement ce modèle n’était pas raccord avec mes autres maquettes
Je me suis contenté de mettre quelques fûts à côté du bâtiment de la feuille mkd que je possédais
Tout rentre impeccable à ce stade de mes cogitations : gare d’Obourg, zone cimenterie, gare cachée, passerelle, zone portuaire et canal …plan loin d’être définitif mais la structure de base est en place.