Vu le type de convois je pense que les 3,8 % ne sont pas un problème.
C’est bien plus confortable d’avoir 200 mm sur la gare cachée, c’est souvent la qu’on a des problèmes…
Pour la pente il n’y a que les kof qui n’aiment pas, déjà 2% et 2 wagons c’est compliqué, ils n’ont pas de bandages.
Philippe
Merci Claude et Philippe de vos retours.
Effectivement l’accessibilité doit rester importante sur la gare cachée. Surtout qu’il y a un beau faisceau de stockage et que j’appréhende ce qui peut se passer vers le centre du plateau 
@+
En cherchant sur Google mon ami, j’ai trouvé une référence très intéressante sur le sujet des pentes :
http://train.electrique.free.fr/Les%20pentes.html
Tout est indiqué et je peux rester avec mon 3,8 % à priori ?
C’est non seulement réaliste (ligne secondaire à voie normale, maximum 4,5 à 5%) :
mais devrait fonctionner avec 3 à 4 wagons sur une pente comprise entre 3 et 5% (d’après le tableau) :
@+
Bonsoir Julie,
80 mm peuvent suffire pour tes locos diesel. Le gabarit libre doit être selon la norme NEM 102 a minima de 57 mm depuis le plan de voie (65mm en cas de catenaire).
Mais je rejoins @Phil2517, 200mm est plus confortable pour aller chercher un loco. Chez moi ce sera plutôt 130mm.
Enfin pour les pentes, tes diesels à quelques exceptions faites doivent êtes capables de grimper 5 à 7 %. Le risque est plus sur les attelages qui plus est en courbe avec un fort risque de déraillement d’un wagon léger suivi d’un bien plus lourd. Mais une fois encore, la rampe hélicoïdale “basique” est faite avec des R1 ( 360 mm) pour 8cm de hauteur franchie soit 4%. Je peux te confirmer que ça passe bien avec des convois de 5 à 6 wagons derrière une loco.
Thomas
Merci Thomas
Me voilà rassurée surtout que j’utilise du R2 et R3 sur les rampes.
Voici l’état actuel de mes cogitations, je vais en rester là pour l’instant, j’ai validé les principaux modules de la pièce, leurs thèmes et la circulation entre les modules.
Plan d’ensemble : L'héritière d'Obourg - #340 par Julaye
Plateau central - gare cachée à -200 mm :
Plateau central - rampes d’accès :
Plateau central - gare d’Obourg et Cimenterie niveau 0 :
@+
Avec ces plans par plateau, on comprends bien mieux. Si je peux me permettre un commentaire, au niveau de la gare cachée, je ne ferais pas un plateau complet mais je ferais une découpe au dessus à gauche entre la courbe et la gare de passage pour aller par en-dessous rechercher les wagons égarés hors voie ou les locos bloquées sur un aiguillage.
Marc
Bonjour Marc,
Effectivement cette zone vide mériterait de rester accessible.
J’hésitais à y mettre quelques voies de stockage supplémentaires (5), mais cela rendrait le milieu du plateau peu accessible (malgré les 20 cm) et l’accès sous la gare au niveau 0 plus compliqué.
Version niveau gare cachée à -200 mm avec un stockage supplémentaire :
Je verrais au moment de l’implantation comment je sens le truc en terme de mobilité et d’accès, j’ai du mal à me le représenter vraiment. Le plateau faisant 120 de large, normalement je suis à 60 cm du centre depuis un bord.
Bon comme j’ai prévu un Train Safe, je ne suis pas non plus obligée de multiplier les voies dans la gare cachée et me limiter aux besoins de la circulation du jour.
Bonne journée,
Bonjour,
Le nombre de voies dépend d’abord du nombre de machines et de voitures-wagons qu’a Melle Pèlerin ?
Quel est l’inventaire du parc au 25 février 197x ?
Bonjour Christian,
Bonne question.
Je pense qu’il va y avoir une vingtaine de locomotives et environ 2 à 3 trains constitués et permanents par thème.
Le dépôt pourra stocker 5 à 6 machines en permanence (double remise, voie de la grue, atelier moteur, et voies annexes).
Les thèmes sont au nombre de 6 : cimenterie, canal/port, zone d’activité, gare d’Obourg, dépôt diesel, ITEs.
Donc 18 trains constitués au total, avec ou sans locomotive suivant la situation.
Donc dans la gare cachée, idéalement il me faudrait pouvoir stocker une douzaine de trains différents.
Cela milite pour le dernier plan de la gare cachée avec 14 voies de stockage et deux voies de circulation.
Mais je n’ai pas encore les idées très clairs ; et les échanges que nous avons me permettent d’avancer dans cette réflexion.
J’ai quand même prévu un Train Safe pour pouvoir changer de temps en temps certains trains ou locomotives, pour des événements spéciaux par exemple. Parce que je vois mal Mlle Pélerin se limiter à 18 trains et 20 locomotives sur les 10 prochaines années 
Le parc actuel début 1960, c’est déjà 12 locomotives et une trentaine de wagons-voitures.
La durée de vie des machines étant en moyenne de 50 ans, Melle Pèlerin voit large pour l’entreprise.
Salut Mark,
as-tu fait l’expérience, ou est-ce que tu le sais seulement en théorie ?
Parce que je l’ai essayé, et j’ai vite arrêté.
C’est déjà archi-ch… heu, archi-laxatif d’enfiler la gaine thermo-rétractable sur les contacts, mais encore, ça ne tient pas bien et s’enléve de soi-même quand on est obligé de lever le rail à nouveau.
Et puis, pour faire rétracter, il faut chauffer. J’ai cramé un coupon de rail (heureusement, un 188 et pas un aiguillage… les 188 j’en ai un certain nombre) et puis j’ai arrêté l’expérience.
Les 74030 ne sont pas si chers que ça vaut la peine de se faire déconstiper pour les remplacer.
D’ailleurs, le ruban isolant, ça peut marcher, c’est toujours une corvée à mettre en place, mais au moins on ne crame pas les rails. Je m’en abstiens quand même maintenant, car ça bouge quand les rails bougent sous le poids des trains, et on peut avoir de bizarres surprises au bout de quelques années de fonctionnement. Les capuchons 74030 sont fiables.
Bonsoir à vous deux,
Je rejoins Wolfram, je préfère utiliser des 74030, je me suis faite un petit stock :).
Bonne soirée,
Bonsoir à tous
j’ai utilisé la gaine rétractable n’ayant plus d’isolant et personnellement j’ai trouvé que c’était pas plus compliqué que d’insérer les isolants’ qui pour ma part se fendent de temps en temps
Pour les rétracter juste avec un briquet sans maintenir la flamme
Sincèrement Mark
Je supposes que tu parles du “plan” qui accompagne les rails jusqu’au coeur de l’aiguillage ?
Si ta loco de test est toujours la fidèle DHG700, ce n’est pas étonnant que tu ne vois pas l’utilité de cette partie métallique. Elle a pourtant un double but. L’un a été mentionné, même si c’est moins pertinent en 3 rails avec essieux conducteurs. Mais ça ne fonctionne que si les “boudins” qui chez Märklin ont une forme parfois ironiquement appelée “coupe-pizza” touchent cette tôle. Et là, elle - la tôle - prend aussi son deuxième effet qui est mécanique. Car en passant le coeur de l’aiguillage, la roue passe un trou dans le plan de roulement. Afin qu’elle ne tombe pas dans ce trou, elle est soutenue par le bas, elle roule en effet sur le boudin et pas sur la bande de roulement. Cela ne fonctionne qu’avec les boudins de la bonne dimension, s’ils sont trop bas la roue tombe quand même dans le trou et s’ils sont trop hauts elle sera soulevée ce qui pour des véhicules deux essieux (comme la voiture-salon de la Dame Patronesse) causerait également des secousses.
La seule manière d’avoir une surface de roulement constante et plate est d’avoir des coeurs à pointe mobile, mais les aiguillages 2271 en K qui l’avaient étaient bien fragiles et ont été remplacés par des modèles à pointe fixe.
Je me permets le full-quote exceptionnellement parce qu’il y a pas mal de choses dans ce billet vieux de trois mois déjà et ayant eu une suite de plus de 200 billets.
La Gleisbox de la MS2 est une centrale. Parce que la centrale est le boîtier qui fait des entrées par la surface de commande (HID pour les spécialistes, human interface device) des commandes à transmettre au booster pour que le booster les “colle” sur le courant d’alimentation. C’est ce que la Gleisbox fait, y compris le travail du booster. Exactement la même chose que la RedBox d’ailleurs sauf que les HID sont différents.
Pour ceux qui lisent l’allemand, il y a des fils très intéressants sur stummiforum (puisqu’il a été évoqué plus d’une fois dans ce fil) concernant l’utilisation de la Gleisbox bien au delà de ce que prévoit Märklin. Julie, je sens que ça pourrait t’intéresser. Il y a aussi des fils concernant une centrale construite maison mais qui fonctionne sur le principe de la petite centrale Roco.
Or, celle-là a un gros inconvénient tout comme la vénérable mais suffisamment vétuste Intellibox : il lui manque le mfx. Uhlenbrock annonce la sortie d’un petit boîtier qui devrait rendre l’Intellibox capable de communiquer en bidirectionnel avec les décodeurs mfx, mais c’est pas demain la veille du jour qu’on le verra en vrai.
Si tu veux avoir le mfx, c’est Märklin ou - avec quelques restrictions mineures - esu. L’Ecos commence aussi à dater, du côté hardware surtout… Ah, le Viessmann Commander connaît mfx, mais il est très enfermé dans son propre monde. Ou bien, le tuning de la Gleisbox qui peut être très intéressant. Si m3 te suffit (comme pour moi - même si parfois je rêve d’une CSx pour plus facilement faire les réglages sur les décodeurs, voire même un jour mettre du bruit dans les locos…), tams entre en jeu, mais pour la RedBox il faut se grouiller sinon c’est mc² au tarif presque d’une CS3.
Maintenant, pour le pont tournant : il ne fallait pas prendre un décodeur destiné à équiper une voiture. L’équivalent du M84 chez tams c’est le SD32.2 (SD pour Schalt-Decoder). Là tu peux passer les ampères nécessaires pour gérer un moteur.
Pour la bibliothèque de décodeurs etc. est-il utile de réinventer la roue, l’eau chaude et la poudre ? Avec jmri tout cela existe déjà, c’est open source et donc probablement bien stimulant pour toi, et autant toi-même que la communauté des usagers profiteront plus de ta participation à ce projet qu’à un projet de même visée mais séparé.
Hello,
Ah oui, trois mois chez moi, c’est de l’archéologie.
Pour la Gleisbox de la MS2, tu as bien raison de m’indiquer ce point. Et je vais aller voir ce stummiforum à ce sujet (merci google translate). D’ailleurs je comprends mieux pourquoi elle est mise à jour en même temps que la MS2, elle embarque donc des fonctionnalités de type centrale.
Alors en fait cela a bien évolué. Le pont tournant est commandé par un M84 en mode 2 avec trois sorties (sens, rotation, alimentation) qui attaquent une platine qui permet un positionnement précis et silencieux. Le décodeur de fonction est lui embarqué sur le pont pour gérer les éclairages du pont (cabine, tablier et gyrophare).
Je détaille tout cela dans l’épisode 3 ici et ici.
Tu as tout à fait raison, JRMI est une excellente option et, là aussi, après avoir joué avec l’Arduino je pense réserver son usage à des automatismes complexes, très adaptés à mon réseau. Me lancer dans une centrale personnelle n’a aucun sens.
Pour la partie logicielle, je n’ai pas encore décidé si je rejoins un projet comme JRMI ou si j’achète un iTrain ou équivalent.
En fait pour la partie CS, je n’ai absolument rien décidé, je réfléchis encore, je monte en compétence, je m’éclate avec les décors, j’ai encore le temps avant d’être devant un choix pas simple en réalité.
En tout cas, merci pour ta longue réponse qui alimente mes réflexions avec pas mal de matière à explorer.
@+
J’ai trouvé deux fils intéressant à ce sujet (liens via Google translate) :
Et
https://zeazt5ukn6dc67avjubvxuligi-adwhj77lcyoafdy-www-ifoedit-com.translate.goog/RaspiCS2.html
J’ai contacté M. Noyelle et il m’a expliqué que le bâtiment avait effectivement une mezzanine qui servait pour la chaufferie. Et qu’il fallait de la place car c’était une chaudière de locomotive.
Comme j’ai prévu une chaufferie à part, effectivement mon huilerie peut avoir un plafond bien plus bas. J’ai prévu entre 3 et 4 cm.
Bonjour Julie,
Ce lien me semble faire référence à une version ancienne du logiciel Märklin, qui n’est plus disponible. La version actuelle a été blindée contre l’utilisation d’une Gleisbox. Mais l’autre est effectivement ce à quoi je pensais.
