Aux essais avant rangement des câbles, tout fonctionnait. Évidemment, une fois tout monté, une led témoin ne fonctionnait plus. Ce n’était pas la led mais une soudure au dos de la carte, entre 2 composants, qui était imparfaite.
TCO enfin opérationnel
J’ai aussi oublié de peindre le medium (sur les 2 faces pour éviter un tuilage), mais au moins le câblage sous le TCO reste démontable (en sortant les câbles de gaines).
Alors, là, c’est de l’humour, Marc ?
C’est tout bête : le fil bleu avec le fil bleu ; le fil jaune, avec le fil jaune…
En plus, daltonien, j’ai intérêt à regrouper et numéroter ! Déjà que je n’arrive pas à distinguer le rouge (Bahn) et marron (masse), il m’a fallu mettre des étiquettes !
Merci, c’est la énième transposition, en voie C, de la “Rue de Suède” du Hors Série 48 de Yann Baude.
Bonjour
Alors, la voie en place, le câblage terminé pour l’heure, les coulisses opérationnelles, fini de tergiverser, il faut bien “entrer dans le décor”.
Mais comme je ne sais toujours pas par quoi commencer, je continue à tergiverser en m’occupant d’abord de l’équipement de l’huilerie de pépins de raisins : après la suceuse à grains pour décharger les wagons, des silos.
L’inspiration est librement tirée du double silo Faller.
Je connais bien Yann Baude, je veux dire en vrai. Et je lis LR depuis plus de quarante ans : j’y ai appris beaucoup du peu que je sais faire.
Decapod fabrique d’excellents produits, je les utilise également. Pour moi ce sont les meilleurs pour les peintures à l’Aérographe, mais ce n’est que mon avis. Les flacons “poussière”, “crasse” et “rouille” complèteront la panoplie pour la patine des cuves. Je conseille de diluer les flacons à plus de 50% afin de créer de beaux voiles.
J’ai pris de la patine “toiture noir sale (mat)” en vue de vieillir un peu les silos, mais j’irai avec grande parcimonie et tout autant de dilution. Décapod n’hésite pas à le préconiser également : “vous pouvez diluer ces patines à de très fort taux (1 part de patine + 5, 6 parts voire plus de diluant 8000), ce qui aura pour effet donner un effet particulièrement fin et subtil.”
Ça me démange de partir aussi sur l’impression résine : je vois déjà des échelles et garde-corps…
Bonsoir. Quelques avancées sur le module.
De la couleur : taupe pour le medium et les côtés et la façade (Rubio mono oil)
Rouge (de Noël…) pour le couvercle et le cadre intérieur.
Avant d’attaquer le décor, @hubep me conseillait de faire le décor du fond. J’ai voulu voir ce que pouvait donner un arrière plan de site industriel.
Survol du site concerné
L’idée serait de réaliser le décor par îlots, chacun avec son socle, afin de travailler au maximum sur ce socle (medium 3 mm), hors module et le déposer ensuite.
L’avantage serait de pouvoir le faire évoluer/modifier plus aisément, d’autant que c’est le premier.
Les aller-retour sur le module sont facilités par l’enlèvement de la première traverse.
Pour l’instant à part te dire que c’est propre ce que tu fais, je ne puis t’aidé plus sur le décors, étant moi même en phase d’apprentissage avec un ami du club qui maitrise beaucoup mieux que moi certains aspect.
En noir et blanc ça donne déjà un quelque chose de bien sympathique. On dirait un jours de brouillard.
La colle maquette Faller n’a pas suffi ; avec de l’epoxy, ça a l’air de tenir.
Mais que c’est délicat, le modélisme… Ça change de la menuiserie et du métal, pour sûr !
Quel plaisir aussi, de le voir prendre corps.
Sur inpiration des clôtures béton de @Julaye, qui elle-même s’était inspirée de celles décrites par Renaud Yver, essais de ceinture en béton armé. Un lot de 3 modules imprimés filament PETG, le reste en résine.
Primaire Decapod et peinture acrylique à solvant Ciment vieux (Decapod).
L’impression filament, ce sont les 3 derniers à droite.
La différence est sur la qualité de la surface.
En impression filament, on voit les stries des couches (0.20 mm). Si l’on veut lisser, c’est apprêt et ponçage.
Avec un primaire un peu garnissant (Decapod), avant l’acrylique à solvant, on masque en partie ces irrégularités.
L’autre différence est qu’on peut descendre très bas dans le niveau de détail : la micro rainure entre les plaques de béton (0.2 mm).
Avec l’impression filament, même en laissant 0.4 mm, on la voyait un peu, mais moins bien après peinture.
Bonjour. Grand merci.
Maintenant, comment patiner des constructions métalliques aspect galvanisé ?
Comme c’était la première fois, j’ai eu la main un peut lourde (couches fines, mais trop de fois en pensant uniformiser les différences de “réflexion” de cette peinture métallisée.
Pour patiner, je trouve des explications sur la patine de matériel roulant à l’aéro ou de bâtiments au pinceau, mais pas à l’aérographe.
Y a t’il une approche particulière (haut en bas, saillies, foncé au clair ?)
Faut-il utiliser la patine seule sur ce type de construction ou y adjoindre une pointe de teinte ?
A ma disposition (tout en acryliques à solvant) :
Patine toiture/noir sale (mat) 8253
Teinte décor
Je suis tanche en matière de patine, mais bon, personnellement, je commencerais pas rompre l’uniformité: si le bâtiment et le silo sont en métal galvanisé, certaines pièces sont probablement peintes, comme par exemple le boîtier de la pompe du silo, les portes du hangar. L’échelle du silo est peut-être en acier, les rampants du fronton en aluminium, la glissière de la porte coulissante en fer peint etc.
Ensuite il manque des marques, sur le silo, peut-être un avertissement sur la pompe, une affiche quelconque sur le hangar. Ensuite j’ajouterais des détails sur le hangar: lampes, peut-être un boîtier extérieur avec les compteurs. Ces détails vont influencer la présence de crasse et de rouille.