Tu peux également faire un toit incluant une valance et l’éclairage. Avec des Leds cela ne doit pas chauffer trop. C’est la solution que j’ai sur mon réseau N américain, protégé de la poussière par le réseau HO au dessus. Les bandeaux de LEDs sont collés sur la structure du réseau supérieur, ne se voient pas et ne chauffent pas.
Il y a 6 techniques différentes, droite, centre et gauche ET haut et bas avec deux couleurs de ballast.
Pour la traverse, je garde, c’est un brun mat que j’aime bien, que je pourrais salir à souhait ensuite.
Aux extrémités, ballast gris foncé de la couleur du coupon, au centre ballast mélangé plus clair (je vais peut etre le garder pour les voies à l’extérieur du dépôt).
Pour le rail, j’ai deux couleurs différentes : rouge acajou très léger et rouille foncé mat.
C’est pas très propre au niveau pose, j’ai pas attendu que ça soit sec, je voulais voir surtout les couleurs.
A vous lire, j’attaque les traverses en attendant, elles me plaisent.
De toute manière, une voie n’est pas uniformément ballastée, des sections bien utilisées seront brun rouille et des sections nouvelles gris clair ou beige. Ce n’est jamais homogène sur des kilomètres, à part une nouvelle ligne à grande vitesse.
Je pense que l’on voit la différence avec le ballast plastique de la voie C qui sera ultérieurement noyé (carton plume 3 mm et sol à base de terre et sable).
J’y retourne (oui @Schwabisch mon cher ami, c’est long, très long et les minutes défilent alors que le nombre de coupon traités se comptent sur les doigts d’une main).
PS : pour la technique, celle de Tortillard je crois : je peins les traverses puis au dessus d’une boite à chaussure je dépose de la colle entre les traverses avec un pinceau plat de la bonne largeur (Cléocol dans mon cas), je verse le ballast à la petite cuillère sur la colle et je secoue à l’envers au dessus de la boite à chaussure. Une fois sec, je passe un coup de pinceau de rouille mat sur les rails.
Je ne sais pas si c’est la bonne méthode (celle de Tortillard !), mais le résultat est bien. La dimension des grains est bonne, ils sont réguliers, d’une couleur crédible, les traverses sont bien noyées. Je comprends que le travail se fait rail non posé. Est-ce long à faire ainsi ?
3/ saupoudrer du ballast et secouer le surplus dans une boite à chaussure
4/ peindre les rails sans déborder
Bien évidemment, on entrelace ces opérations entre différents coupons pour occuper les temps de séchage entre 1,2/3 et 4.
Et on boucle et c’est interminable …
C’est long mais pas plus que voie posée et je trouve que l’on met moins de ballast pour un bon résultat.
J’ai pris du gris chez Noch pour la voie N …
J’espère que le rendu final sera sympa, je pose la voie traitée au fur et à mesure et ça semble prendre forme.
A suivre, j’ai fait un tiers du dépôt en trois heures, le plus long c’est les aiguilles allongées (je ne ballaste pas la partie mobile), il m’en reste 3 sur 4 lol …
D’après wiktionnaire : Compatir : Étymologie. Du latin compatior (« souffrir avec »), dérivé de patior (« souffrir ») avec le préfixe con- ; voir sympathiser.
Le modélisme ne peut pas et ne doit pas être une souffrance !
Il y a malheureusement certaines activités indispensables pour avoir un beau réseau mais qui sont rébarbatives et sans beaucoup de créativité. Ecole de patience plutôt que souffrance. Et j’en ai bien besoin
Je ne sais pas, j’ai jamais fait … mais quand je vois mon ami Fred qui procrastine devant son ballast de voie K, je compatis aussi
Pas tout de suite, fort heureusement. Et puis j’essaierais certainement une technique un peu différente pour la zone d’activité. D’autant qu’elle aura quelques voies noyées dans la terre et dans le béton pour les deux ITE …
Non car ils vont être noyés, le décor (sol terre/sable ou béton) va arriver à hauteur des traverses et je ferais un joint quand j’en serais à fixer le sol du décor de façon définitive, en mai au plus tôt.
Je ballaste l’inter traverse à l’extérieur des rails mais je ne ballaste pas le cm de dénivelé du talus du coupon C puisqu’il sera noyé.
Mon objectif est que l’on ne reconnaisse la voie C que par la forme de ses picots
Une petite photo d’étape donc, puisque le talus n’est pas encore noyé :
A noter qu’il me faudra remettre un peu de colle et de ballast aux jointures des coupons qui n’ont pas été traités ensemble, la démarcation est un peu trop visible.
Merci il m’en reste encore une bonne longueur, 3 mètres sur les 9 mètres actuels du dépôt. Il fera 10 m de voies une fois l’extension posée et 15 m de voies avec la zone d’activité (2 ITE et une station d’autorail).
Depuis la panne de la fidèle DHG 700 C, la CC 65526 de l’héritière participe aux campagnes de tests.
Ce soir, il s’agit de tester la nouvelle voie ballastée sur l’ensemble du dépôt.
La vidéo présente un segment bien particulier, la voie noyée dans le béton devant la sablerie et l’huilerie. Déplacement à petite vitesse pour identifier d’éventuels problèmes sur les picots.
Demain ou le jour d’après, il faudra vérifier les rails contacts et faire quelques essais complémentaires avant de passer à la suite : quelques trous à percer pour passer quelques fils, la grue à eau à fixer à son nouvel emplacement, …
1 mètre à l’heure environ en s’organisant entre les différentes peintures et la colle. C’est efficace mais certainement plus lent que ballaster une voie K.
Pour la voie bétonnée, il m’a fallut 2 heures au total pour 36 cm. Le temps de trouver la bonne épaisseur de plastique et une technique propre pour les picots. Je vais ajouter les infos dans l’épisode 2 de la débutante.