as-tu fait l’expérience, ou est-ce que tu le sais seulement en théorie ?
Parce que je l’ai essayé, et j’ai vite arrêté.
C’est déjà archi-ch… heu, archi-laxatif d’enfiler la gaine thermo-rétractable sur les contacts, mais encore, ça ne tient pas bien et s’enléve de soi-même quand on est obligé de lever le rail à nouveau.
Et puis, pour faire rétracter, il faut chauffer. J’ai cramé un coupon de rail (heureusement, un 188 et pas un aiguillage… les 188 j’en ai un certain nombre) et puis j’ai arrêté l’expérience.
Les 74030 ne sont pas si chers que ça vaut la peine de se faire déconstiper pour les remplacer.
D’ailleurs, le ruban isolant, ça peut marcher, c’est toujours une corvée à mettre en place, mais au moins on ne crame pas les rails. Je m’en abstiens quand même maintenant, car ça bouge quand les rails bougent sous le poids des trains, et on peut avoir de bizarres surprises au bout de quelques années de fonctionnement. Les capuchons 74030 sont fiables.
Bonsoir à tous
j’ai utilisé la gaine rétractable n’ayant plus d’isolant et personnellement j’ai trouvé que c’était pas plus compliqué que d’insérer les isolants’ qui pour ma part se fendent de temps en temps
Pour les rétracter juste avec un briquet sans maintenir la flamme
Sincèrement Mark
Je supposes que tu parles du “plan” qui accompagne les rails jusqu’au coeur de l’aiguillage ?
Si ta loco de test est toujours la fidèle DHG700, ce n’est pas étonnant que tu ne vois pas l’utilité de cette partie métallique. Elle a pourtant un double but. L’un a été mentionné, même si c’est moins pertinent en 3 rails avec essieux conducteurs. Mais ça ne fonctionne que si les “boudins” qui chez Märklin ont une forme parfois ironiquement appelée “coupe-pizza” touchent cette tôle. Et là, elle - la tôle - prend aussi son deuxième effet qui est mécanique. Car en passant le coeur de l’aiguillage, la roue passe un trou dans le plan de roulement. Afin qu’elle ne tombe pas dans ce trou, elle est soutenue par le bas, elle roule en effet sur le boudin et pas sur la bande de roulement. Cela ne fonctionne qu’avec les boudins de la bonne dimension, s’ils sont trop bas la roue tombe quand même dans le trou et s’ils sont trop hauts elle sera soulevée ce qui pour des véhicules deux essieux (comme la voiture-salon de la Dame Patronesse) causerait également des secousses.
La seule manière d’avoir une surface de roulement constante et plate est d’avoir des coeurs à pointe mobile, mais les aiguillages 2271 en K qui l’avaient étaient bien fragiles et ont été remplacés par des modèles à pointe fixe.
Je me permets le full-quote exceptionnellement parce qu’il y a pas mal de choses dans ce billet vieux de trois mois déjà et ayant eu une suite de plus de 200 billets.
La Gleisbox de la MS2 est une centrale. Parce que la centrale est le boîtier qui fait des entrées par la surface de commande (HID pour les spécialistes, human interface device) des commandes à transmettre au booster pour que le booster les “colle” sur le courant d’alimentation. C’est ce que la Gleisbox fait, y compris le travail du booster. Exactement la même chose que la RedBox d’ailleurs sauf que les HID sont différents.
Pour ceux qui lisent l’allemand, il y a des fils très intéressants sur stummiforum (puisqu’il a été évoqué plus d’une fois dans ce fil) concernant l’utilisation de la Gleisbox bien au delà de ce que prévoit Märklin. Julie, je sens que ça pourrait t’intéresser. Il y a aussi des fils concernant une centrale construite maison mais qui fonctionne sur le principe de la petite centrale Roco.
Or, celle-là a un gros inconvénient tout comme la vénérable mais suffisamment vétuste Intellibox : il lui manque le mfx. Uhlenbrock annonce la sortie d’un petit boîtier qui devrait rendre l’Intellibox capable de communiquer en bidirectionnel avec les décodeurs mfx, mais c’est pas demain la veille du jour qu’on le verra en vrai.
Si tu veux avoir le mfx, c’est Märklin ou - avec quelques restrictions mineures - esu. L’Ecos commence aussi à dater, du côté hardware surtout… Ah, le Viessmann Commander connaît mfx, mais il est très enfermé dans son propre monde. Ou bien, le tuning de la Gleisbox qui peut être très intéressant. Si m3 te suffit (comme pour moi - même si parfois je rêve d’une CSx pour plus facilement faire les réglages sur les décodeurs, voire même un jour mettre du bruit dans les locos…), tams entre en jeu, mais pour la RedBox il faut se grouiller sinon c’est mc² au tarif presque d’une CS3.
Maintenant, pour le pont tournant : il ne fallait pas prendre un décodeur destiné à équiper une voiture. L’équivalent du M84 chez tams c’est le SD32.2 (SD pour Schalt-Decoder). Là tu peux passer les ampères nécessaires pour gérer un moteur.
Pour la bibliothèque de décodeurs etc. est-il utile de réinventer la roue, l’eau chaude et la poudre ? Avec jmri tout cela existe déjà, c’est open source et donc probablement bien stimulant pour toi, et autant toi-même que la communauté des usagers profiteront plus de ta participation à ce projet qu’à un projet de même visée mais séparé.
Ah oui, trois mois chez moi, c’est de l’archéologie.
Pour la Gleisbox de la MS2, tu as bien raison de m’indiquer ce point. Et je vais aller voir ce stummiforum à ce sujet (merci google translate). D’ailleurs je comprends mieux pourquoi elle est mise à jour en même temps que la MS2, elle embarque donc des fonctionnalités de type centrale.
Alors en fait cela a bien évolué. Le pont tournant est commandé par un M84 en mode 2 avec trois sorties (sens, rotation, alimentation) qui attaquent une platine qui permet un positionnement précis et silencieux. Le décodeur de fonction est lui embarqué sur le pont pour gérer les éclairages du pont (cabine, tablier et gyrophare).
Je détaille tout cela dans l’épisode 3 ici et ici.
Tu as tout à fait raison, JRMI est une excellente option et, là aussi, après avoir joué avec l’Arduino je pense réserver son usage à des automatismes complexes, très adaptés à mon réseau. Me lancer dans une centrale personnelle n’a aucun sens.
Pour la partie logicielle, je n’ai pas encore décidé si je rejoins un projet comme JRMI ou si j’achète un iTrain ou équivalent.
En fait pour la partie CS, je n’ai absolument rien décidé, je réfléchis encore, je monte en compétence, je m’éclate avec les décors, j’ai encore le temps avant d’être devant un choix pas simple en réalité.
En tout cas, merci pour ta longue réponse qui alimente mes réflexions avec pas mal de matière à explorer.
J’ai contacté M. Noyelle et il m’a expliqué que le bâtiment avait effectivement une mezzanine qui servait pour la chaufferie. Et qu’il fallait de la place car c’était une chaudière de locomotive.
Comme j’ai prévu une chaufferie à part, effectivement mon huilerie peut avoir un plafond bien plus bas. J’ai prévu entre 3 et 4 cm.
Ce lien me semble faire référence à une version ancienne du logiciel Märklin, qui n’est plus disponible. La version actuelle a été blindée contre l’utilisation d’une Gleisbox. Mais l’autre est effectivement ce à quoi je pensais.
Après inspection, c’est un fil qui empêche le frotteur de se replier complètement. Un gros millimètre suffit à perturber.
Je voulais savoir si l’amplitude du frotteur est documenté chez Märklin et le cas échéant je vais enlever ce fil qui était présent pour d’éventuels soucis de conductivité sur le frotteur entre sa partie fixe et sa partie mobile.
Ce qui me fait poser une seconde question : avez vous remarqué ce type de problème sur vos frotteurs ?
Bonjour Julie
Ça m’arrive aussi parfois mais rarement avec des locos marklin.
As tu essayé cette solution qui a totalement résolu le sujet sur mon réseau? Mais qui je pense est plus destinée à résoudre un court-circuit rail/plot latéral.
Maintenant avec une photo du frotteur si c’est un fil qui bloque, autant faire en sorte de résoudre ça… (la loco a déjà été bricolée pour qu’il y ait un fil à cet endroit ?)
PS Je me suis trompé de post pour ce message, je vais le supprimer de son mauvais endroit
Mes aiguilles sont toutes équipées avec ce produit RZTec mais à mon avis il sert surtout à éviter les courts circuits avec les roues qui viennent toucher ces plots.
Bonjour,
Fil absolument inutile et qui entrave le bon débattement du frotteur de quasiment 1,5 à 2 mm.
A dessouder proprement en éliminant au maximum les traces de soudure.
Sinon, à remplacer par une pièce neuve de longueur équivalente (Märklin ou Roco silencieux, au choix).
Question auprès de l’intéressé, il s’agirait d’une précaution pour assurer la continuité électrique. Mais du coup elle gene sur les aiguilles élancées.
C’est noté, je vais opérer la machine dans la soirée. A priori le frotteur est neuf donc il devrait fonctionner sans problème. Au pire je le changerai, j’en ai un d’avance.
Le débattement du frotteur est indiqué dans la majorité des notices des loco Märklin (pour ne par dire toutes les notices). Un frotteur doit pouvoir remonter 2mm en dessus du plan de roulement, je te l’avais déjà dit…
Le fil compense un problème de frotteur peu ou pas usé mais vieux. Un frotteur qui travaille n’aura jamais besoin de cette béquille.
Je n’ai pas trouvé d’indication sur le débattement du frotteur. Et je n’ai pas souvenance de l’avoir lu dans la demi-douzaine de notices de mes achats Marklin (le reste des achats étant d’autres marques, pas vu non plus).
La 3066 qui me posait problème est arrivée sans documentation. Pas très grave puisqu’elle a été digitalisée avec un ESU. Le schéma éclaté de la 3066 ne nous apprend pas grand chose à ce sujet.
J’ai regardé aussi dans la doc de la 39678, rien non plus.
Bon je ne risque plus d’oublier cette information importante maintenant vu le nombre de tracas que j’ai eu avec mes aiguillages élancés, il me manquait celui là.
vu le nombre de tracas que j’ai eu avec mes aiguillages élancés, il me manquait celui là.