Bonjour
Arrivée de la rame BR 614 de chez Liliput
Amicalement
Bernard
Bonjour
Arrivée de la rame BR 614 de chez Liliput
Amicalement
Bernard
Non pas VT 614 mais BR 614.
Série sortie en 1971 (prototype), puis de série entre 1972 et 1975.
Arghhhhh y’a rien à faire, je reste décidément sur la notation de l’époque III
C’est corrigé
Amicalement
Bernard
Une liste des autorails VT de la DRG puis DB (quand c’est le cas) puis numérotation UIC de 1968 (BR 6xx, BR 7xx) quand c’est le cas:
Bonsoir
Arrivée d’une nouvelle BR 103 dans mon cheptel
Il s’agit d’un modèle Piko, référence 51688 dans sa version 3 rails digital sonore:
Il s’agit de la variante à caisse longue et pantographes unijambistes:
Y’a rien à faire, j’adore la ligne de ces motrices
Les pantographes unijambistes sont parfaits, notamment dans leur position repliée qui est absolument à plat
Outre leur cinématique parfaite, les pantographes sont particulièrement fins
Les cabines sont éclairées; On remarquera aussi le logo DB qui est en relief
A noter les bas de caisse articulés qui permettent aux têtes d’attelages de s’inscrire dans les courbes tout en évitant une disgracieuse échancure sur les faces frontales
Amicalement
Bernard
Salut Bernard,
Belle bête, même si je suis plus machines à vapeur !
Franchement, Piko fait de belles réalisations …
Magnifique !
J’imagine (et j’espère) que c’est en prévision de l’arrivée imminente de la rame du Blauer Enzian ?
Belle finition ! Notamment l’intégration des vitres qui est bien mieux réalisée que sur le modèle Marklin.
Et le fonctionnement ?
Non. La 06 001 a été “en attente de réparation” du 1er janvier 1945 au 31 mai 1946 ; le 1er juin 1946 elle a été mise en “z” ce qui veut dire “(von der Ausbesserung) zurückgestellt”, exempte de réparations et est habituellement synonyme pour “demande de radiation faite”. La radiation a été prononcée à la date du 14 novembre 1951, et la machine a été ferraillée avant fin juin 1952 à Darmstadt.
La 06 002 était “en attente de réparation” depuis 1944, réparation qui n’a probablement jamais eu lieu, et radiée par le même ordre que sa soeur, le 14 novembre 1951. Elle aussi a été ferraillée avant fin juin 1952.
Des machines imposantes mais peu utiles et qui souffraient de gros défauts de conception. Mais quelle présence !
C’est peut-être un défaut de mes yeux, mais pour moi, la 007 est plus petite que ses soeurs… non seulement plus basse, mais plus menue aussi. Faut lui donner plus de crème…
Joli spécimen de “what-if” (ou, en français, “et si jamais”). Effectivement, il n’y a jamais eu de E41 452 (la dernière de la série, la 141 451, a déjà été livrée en 141 et non en E41. De plus, à partir de E41 (141) 121, les feux rouges n’étaient plus incorporés dans les feux blancs, et la gouttière n’a plus été montée à partir de la 141 435.
Mais… quand on n’est pas allergique aux what-if, et je ne le suis absolument pas, c’est un petit bijou et un point de couleur parmi les 141 si sobres.
Ah, quelle beauté ! Sauf erreur de ma part, c’est une construction Fleischmann, chant de cygne de la conception de locomotives à vapeur de la marque de Nuremberg. Il me semble que les bielles intérieures sont présentes, visibles seulement quand on retourne la machine pour lui regarder sous la jupe ?
J’ai alors un léger doute si elle a vraiment porté l’inscription “deutsche Bundesbahn”… mais peu importe.
… et avec attelage TELEX comme l’aînée !
Mais il faut reconnaître, pour les années 1960 la bonne vieille 3031 était remarquablement bien faite !
La cabine de ces machines bavaroises du juste-avant-la-guerre (celle de 1914-18) est inspirée par des modèles américains, où le personnel avait un certain confort dans des cabines spacieuses, avec places assises et une bonne visibilité. Tout l’inverse de la doctrine française de l’époque (et encore longtemps) qui rendait le poste de travail des hommes sur la machine aussi désagréable que possible, de peur qu’ils s’endorment. Même que pendant longtemps, on refusait la cabine tout court, et ne concédait qu’une sorte de pare-brise ! (Non, c’est pas une blague, si je retrouve ma source je vous la partagerai. Pas de blague, mais quel cynisme !) On trouve la même cabine (le même type) que celle de la 54.16 sur la BR 57 de Märklin.
La cabine prussienne (voir le modèle suivant) est bien moins grande, mais encore assez convenable par rapport aux françaises. Sobriété protestante contre opulence catholique ? Non, il ne faut pas exagérer.
La G 3/4H (Heißdampf, vapeur surchauffée) était bien performante, mais n’a pas pu convaincre les hommes du nord, et est donc restée limitée à sa région d’origine.
Ah, ça…
Je note aussi que la Märklin doit avoir 4 tuyaux d’air au lieu de deux, ce qui laisse penser qu’elle est disposée à la réversibilité. À vérifier…
D’ailleurs, l’histoire des tampons est un chouïa plus complexe. Märklin a gardé ici un standard valable jusqu’en 1988, et il est possible que les attelages en étaient la raison, mais on est en droit de se demander pourquoi un standard a été changé d’une hauteur non à l’échelle pour raisons techniques à une autre hauteur toujours pas à l’échelle (et toujours pour raisons techniques) juste un an après que Märklin sorte le premier attelage court pouvant s’atteler aux attelages anciens… je dis ça je dis rien.
C’est pas faux. À vérifier laquelle est l’aînée.
Il y a eu d’autres BR 56 avant ; entre autre une G8.2 (BR 55.25-56) avec un bissel rajouté que, je crois, Märklin a sorti il y a quelques années. Celle-ci est-elle de Fleischmann ?
Il y avait aussi, il y a peu, un modèle Liliput, mais je ne sais plus de quelle série d’origine ils s’étaient inspirés.
Ce n’est pas étonnant, c’est une locomotive des séries unifiées : on utilisait le maximum de pièces standardisées, les mêmes cabines, les mêmes surchauffeurs, etc., et aussi tant que possible les mêmes chaudières. Celle des 71 pourrait être celle des 81… (à vérifier)
C’est une question de goût, mais même si celle-ci est déjà à éclairage électrique, les feux étaient alimentés plutôt à faible tension, ce qui donnait une lumière bien jaunâtre. Certes, plus orange que le jaune des LED, mais pas blanche non plus. Ce sont des feux de vision, pas des phares (malgré l’envie de certains d’éclairer la voie, qu’assouvissent surtout les modèles Märklin des années 1950… )
Vu les feux c’est indéniablement une Fleischmann (je n’aime pas leurs feux à cercle rond !).
La “vraie” 18 620 a été créée en mettant une nouvelle chaudière, plus performante, sur le châssis d’une vieille S3/6. Malheureusement, pour raison d’une erreur de conception, il y eut des soucis avec les chaudières nécessitant une baisse du timbre de pression (14 atm au lieu de 16 atm), et la puissance de la chaudière dépassait ce pour quoi le châssis avait été construit. Une machine est préservée, et le train roulant d’une autre.
C’est tout à fait juste. Elle a été créée pour manoeuvrer dans les gares partiellement sous caténaire, alors que la traction thermique n’était pas encore au point. Plus tard, les V60 paraissaient plus pratiques.
Bonjour
Petite arrivée dans mon cheptel du dernier membre de la série des BR 210 reproduites par Roco, à savoir la BR 210 004-8 dans sa robe bleue et ivoire
Le modèle sur lequel je suis tombé est une version digitale sonorisée d’origine mais dans une configuration 2 rails - Il va falloir que je la transforme en 3 rails à l’instar de ce que j’avais fait sur une BR 215 Roco
Sauf erreur, cette BR 210 est particulière car sa turbine à gaz a été déposée; Elle est devenue équivalente à une BR 218 classique.
On observe que la sortie d’échappement de la turbine a obturée:
Amicalement
Bernard
Bonjour,
Comme la date de révision l’indique, c’est à la fin des années 70, début années 80 que la turbine fut enlevée et la série entière fut renumérotée 218.9 en 1982 avant d’être affectée à Braunschweig.
Roco n’a toujours pas reproduit cette série des 218.9.
Hello Bernard…
j’ avais Zappé ce poste …
mais t’ inquiéte , je vais le zieuté un peu chaque jour…
Amicalement…Marc59
Hello…
une très belle 242…
Merci pour les info , il me semble l’ avoir vu ,lors de ses premiers essais , mais la vidéo a été supprimée , la svwatika fait toujours peur…
Je la trouve superbe.