Bonjour à vous tous,
Je suis régulièrement le fil de Philippe, il fait vraiment du beau travail. Ce travail de caténaire est très réussi, bravo.
Pour moi aussi, je planifie au début pour me donner une idée de l’ensemble, et ensuite je vois sur place et au moment. Comme on dit, théorie et pratique sont 2 choses différentes. Je le constate régulièrement au travail.
Ce forum est une mine d’idées.
Sincèrement.
Philippe
Merci à vous,
Aujourd’hui début de journée pluvieux, donc j’en ai profité pour continuer mon électrification sur ma deuxième voie de parade.
C’est un lot viessmann d’occasion pour les fils, donc il y a du redressage et de la mise au point nécessaire…
Par contre la petite surprise c’est que les locos ne pourront pas faire la totalité du circuit pantographes au contact, ni même bridés, car comme au départ je n’avais pas prévu cette électrification, je n’ai pas assez de hauteur dans certaines parties cachées…
A moins éventuellement d’y mettre la caténaire spécifique …
Il y a au moins les 2 voies de parade ou je peux faire rouler au contact
Philippe
C’est joliment et soigneusement fait. Ne peux-tu pas isoler les parties basses et faire en sorte que les électriques n’accèdent pas à cette partie ? Comment est la “caténaire spécifique” ?
Non Éric, pas possible d’éviter ce passage
2 possibilités :
Un peu de terrassement dans le parc pour rehausser la Coline.
Ou la caténaire pour tunnel :
Philippe
C’est un méplat laiton, que tu peux trouver facilement (Tarteix à Paris par exemple) et fixer sur des poteaux bricolés ou faits maison. J’ai utilisé ce méplat pour la gare cachée en l’insérant dans une baguette de bois rainurée et ça fonctionne très bien. J’ai prévu dès le départ d’avoir des caténaires fonctionnels, avec des automatismes calqués sur ceux des rails.
Je retrouve cette vieille vidéo pour illustrer mon propos :
Les caténaires de la gare cachée
Bonjour,
Une autre solution peut etre de limiter la course des photographes à quelques mm au-dessus de la ligne aérienne visible.
Dans ce cas, on est au contact quand il y a une ligne et on a pas besoin de trop de hauteur dans les zones non équipées.
Attention à ne pas oublier les zones de transition pour rabaisser les pantos…
Thomas
Merci à vous, je vas approfondir le sujet, mais j’ai peu de marge de manœuvre…
Dans les tunnels de mon réseau précédent, j’ai fait des caténaires avec des tiges filetées et des rails N soudés. C’était facile, peu coûteux et assez robuste.
Marc
Un réseau monobloc est déménageable si cela est prévu dès le début de la construction.
Bien sur, ca complique la menuiserie et oblige à prévoir les câblages en conséquence, mais ça peut valoir le coup en ces temps modernes qui réservent parfois des surprises.
Dans ton cas, c’est trop tard, mais pour des lecteurs qui n’ont pas encore lancé leur projet, c’est une approche à ne pas négliger.
Bonsoir à tous,
Tom voulait que je refasse des vues d’ensemble de mon dépôt.
Pas sur que ce soit un exemple parfait, disons que c’est une interprétation personnelle…
La station diesel, intégrée un peu provisoirement car je ne suis pas super satisfait du modèle, un peu trop plastique à mon gout, elle évoluera surement à l’occasion.
L’huilerie/bureau de la feuille (maquette mkd)
L’approvisionnement charbon et fosse
La sablerie
le poste électrique
Vues d’ensemble
Bon , il reste pas mal de choses à fignoler…
Philippe
Bonjour Philippe,
Tous les éléments sont présents, c’est le plus important. Mon dépôt est également une interprétation très personnelle. Peu importe le flacon, pourvu que l’on ai l’ivresse.
Je pense qu’au delà du plan de voies (parfois dicté par l’encombrement disponible), l’essentiel est que le tout ai l’air cohérent et soit agréable à regarder, ce qui est le cas de ton dépôt.
Amicalement,
Fred
Ca me rappelle un échange sur le forum d’à côté (celui planté chez OVH). J’avais disposé les différents éléments sur mon plateau, avec mon interprétation et les manœuvres intéressantes.
J’ai eu droit à des remarques acerbes sur la séquence qu’il fallait respecter. Sur le pont … ou encore qu’il fallait recharger en eau, en sable et en carburant en entrant, etc.
Un peu vexée j’ai lu de la littérature sur le sujet et je me suis aperçue qu’il y avait différents ordres et processus selon les dépôts …
J’ai alors compris le sens de « compteur de rivets » et je me suis promise, tout comme Fred, que l’ivresse était plus importante que le flacon.
A Obourg, on passe par le pont pour repartir, et on recharge en eau, sable et carburant en sortant, n’en déplaise à ces grincheux.
Philippe je le trouve très bien ton dépôt, une belle harmonie dans cet espace. Et de belles manœuvres pour tes machines.
Bravo !
Bonjour Julie,
Tu as tout résumé en quelques phrases …
Et c’est pour ces raisons que je ne publie rien ailleurs que sur ce forum. Je reconnais que certaines réalisations sont absolument incroyables de réalisme et que je n’arriverai jamais à ce stade de perfection. Mais ce n’est pas mon but. Mon but est comme le dit @Manu93 “le plaisir avant tout” !
Peu me chaut de plaire ou de déplaire, je me fais plaisir 
Merci @Phil2517 
Évidement je prend ton exemple comme inspiration pour donner cour à ma libre interprétation. C’est que j’aime beaucoup ton réseau comme je te l’ai dit 
Comme vous pour moi le plaisir passera avant Et il y a la contrainte de place qui joue aussi…
J’ai lu ça aussi… Mais ça me pose un problème. D’autant que c’est l’équipe de la locomotive qui recharge.
Je travaille dans la chimie et on s’assure toujours qu’un appareil fonctionne avant de le charger… Ça devrait être la même chose ici je trouve… Ce sera mon cas
Merci encore Philipe
C’est un peu aussi ma réflexion … inspecter un matériel avant de le recharger. J’ai mis le matériel d’inspection sur la voie d’entrée : la fosse d’inspection mais aussi une passerelle de visite pour les diesels (à monter). Perso, ça me parait plus logique et Mlle Pélerin a décidé dont acte :D.
Le seul point “critiquable” de mon dépôt, c’est de devoir passer par le pont pour passer de la voie d’entrée à la voie de sortie. Mais c’est là aussi totalement assumé. J’ai remotorisé ce pont et je fais en sorte d’en faire un point d’attention du spectateur. Donc pas de manoeuvre sans un mouvement du pont. Reste plus qu’à espérer qu’il soit robuste 
Merci à Philippe, je ne suis pas étonnée, il est aussi une des sources principales de mes inspirations.
@+
Moi j’ai réglé le problème, y’a pas de fosse visible. On imagine qu’elle est dans l’atelier béton pour les gros travaux. J’ai juste une voie pour faire le plein d’eau, de charbon, de fioul, et de sable. Une voie pour garer le Köf ou la BR80 (spc’est selon l’humeur du jour), les deux voies d’accès à la remise béton pour stationner la 050TA et la T12. La grande voie avec remise en brique pour garer la Br01 et… La nouvelle locomotive…
De toute façon, je n’ai plus de place dans cette annexe. On peut toujours imaginer qu’il y a un plus grand dépôt au terminus de Saint-Gisèle.
Et oui, le plaisir avant tout !
Bonjour à tous, et merci pour vos encouragements 
C’est vrai que comme on l’a évoqué dans le fil d’Obourg, il faudrait dans un monde idéal tout planifier, et ne se lancer dans la construction d’un réseau qu’une fois tous les éléments en place sur le plan (voies, annexes techniques, gare, dépôt, voies d’acces et circulation des voitures, décor…)
Personnellement je n’ai pas une bonne vision des choses sur plan, c’est d’ailleurs pour cela que j’interviens peu lorsque quelqu’un demande un conseil sur un tracé. Heureusement qu’on a un specialiste sur le forum, qui a un œil expert pour cela (Zorgzib)
Maintenant un dépôt « idéal » demande une place importante, je dois dire qu’au départ de mon projet, l’idee avait trotté dans ma tête sur la surface disponible de ne faire qu’un dépôt…
D’un autre côté, le manque de planification nous fais rechercher des solutions, c’est une partie du jeu aussi et ça y met un peu de sel 
Mais comme dit Manu , l’important c’est le plaisir qu’on y prend, et le plaisir d’echanger aussi
Bonne semaine
Philippe
j’ai utilisé la même méthode pour mes deux réseaux actuels. Seul problème rencontré avec le premier, j’ai collé le liège de la semelle de voie directement sur le papier, ce qui ne colle pas très bien à l’infrastructure en dessous. Heureusement, le ballastage a réparé ce souci.
Pour le deuxième, au lieu d’imprimer les voies complètes, j’ai imprimé la ligne médiane et découpé un côté que j’ai retiré pour coller le liège (par demi bande). Ensuite j’ai pu retirer tout le papier et coller l’autre demi semelle de voie.
MarcD
Une solution, c’est de mettre du bon vieux papier carbone entre le plan et la base du réseau.
Je n’ai rien inventé… 
C’est la manière dont le talentueux Bernard STEIN travaillait.
Voir à partir de la 11’
Amitiés
Thierry
