Voilà une bien belle 141R bien fumante. Heureusement que les fumigènes ne donnent pas une fumée aussi noire !!!
C’est vrai qu’on voit peu de locomotives fumer sur nos réseaux.
J’avais fait installé un fumigène sur la BR 38 que j’avais acquis “Au Pullman” en 2006. A l’époque, je n’avais qu’un controleur Delta, et donc impossibilité de couper le fumigène. J’avais donc prévu une voie de garage spéciale avec coupure du rail central pour désactiver la loco, donc son fumigène.
Je n’ai fait le test qu’une ou deux fois car la fumée qui s’échappait avait une facheuse tendance à tacher les décors environnants
Il faudra que je refasse un essai pour voir si mes souvenirs sont bons !!!
Si nos machines fumaient autant (et pas comme un fumeur asthmatique), la pièce deviendrait vite irrespirable.
D’autre part, j’ai lu, il y a quelques années, dans certains magasines que l’huile utilisée pour les fumigènes de machines vapeur laissait un dépôt gras sur les voies et le décor, créant par là des soucis de captage du courant. Je ne sais pas cequ’il en est actuellement. C’est pour cette raison que je n’ai jamais tenté d’installer des fumigènes dans mes machines vapeur. J’avais fait un essai avec un peu de coton dans la cheminée, mais le résultat ne m’avait pas convaincu.
POT DE TERRE CONTRE POT DE FER,
c’est le billet de la semaine sur www.trinville1962.fr
A mercredi prochain si tout va bien
Bonne semaine
Philippe
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J’aimerais ajouter : pour se lancer dans la construction d’un réseau fixe, il faut - ou au moins, il vaut mieux - être propriétaire de son domicile. On pourrait presque dire, de nos jours, qu’il faut être propriétaire et retraité… pour avoir l’assurance de ne pas avoir à déménager et donc de casser ce qu’on avait construit.
Pour tous les autres, la construction démontable a l’avantage d’être déménageable.
En langue allemande, on fait la différence entre un réseau en modules et un réseau en ségments. Ce dernier est un réseau composé de plusieurs éléments, mais qui ne vont qu’ensemble entre eux et dans une configuration bien précise, alors qu’un module suit une norme (dont existe un certain nombre), et que donc chaque module peut se joindre à d’autres, à tous autres modules suivant la même norme. Il y a, bien sûr, des modules composé de plusieurs ségments car comment faire autrement pour représenter une gare d’importance moyenne, avec des modules qui ne font pas plus long qu’1,50m ? Mais, la gare prendra une longueur en x fois la longueur d’un module standard, et le cercle peut se fermer.
Personnellement, comme je loge dans un logement de fonction qui changera encore deux ou trois fois jusqu’à ma retraite, je réfléchis entre ces deux options : modules ou segments.
Ou, quand je suis très hardi dans mes rèves, je pense à une caravane que je viderais de son mobilier (au moins partiellement) pour y installer mon réseau. Ce qui permettrait de présenter un réseau fixe à différents endroits.
Superbe le diorama “Perche sarthois” avec la loco Decauville Jouef en HOe (au 1/76)…
…
Ah la voie étroite, c’est le top…que de souvenirs toujours présents en ma mémoire !
Bon, va falloir que j’ajoute de la “vapeur” dans la construction du réseau (voie étroite incluse…).
Merci pour ces billets et tous ces échanges bien sympathiques au sein du forum !
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Bonjour à tous.
En attendant ma mise à jour du 4 septembre je vous convie à découvrir (enfin, après 8 mois de gestation) mon volet COLLECTION 2.
Celui-ci regroupe tout l’ensemble de mon matériel roulant, celui-là même qui circule sur Trinville 1962.
Que des vieilleries, bien sûr !
J’ai toujours entendu dire qu’on faisait de bonnes soupes dans les vieux pots…
Blague à part j’ai un sérieux retard à rattraper dans l’épluchage du forum !!!
Je vous retrouve début septembre
A bientôt
Philippe
Que de rêves ! J’ai bien aimé sur la page de garde les deux compères avec les fumigènes entre les dents. Et bien sûr, ces belles du rail.
La V60 Märklin, sur la première photo, toute petite, porte-t-elle encore sa livrée DB ép.III - ce qui me laisse songer que vous l’avez repeinte vous-même ?
Je découvre les voitures grandes lignes SMCF, qui doivent peser une tonne - et le sigle de la marque, de nos jours un tel “plagiat” sur une autre marque ne resterait pas impunie. (Chez notre ami Pierroviaire, je n’avais vu de mémoire que des wagons-marchandises, plus petits mais bien lourds eux aussi.)
La remorque autorail ROCO est-elle en métal ? Je ne connaissais de Roco que des modèles à carosserie en plastique injecté, et aussi seulement à partir du milieu des années '70. Ou s’agirait-il d’une autre marque ayant porté le même nom que l’entreprise de Salzbourg ?
La notice du wagon SMCF à monter soi-même (Märklin aussi a vendu des maquettes à monter, wagons et locomotives) m’amuse :
La construction de ce wagon est de la plus grande simplicité et ne demande aucun collage.
…
Visser les petits écrous à l’intérieur de la caisse sur laquelle vous aurez eu soin de coller, avant, les deux petits panneaux porte-étiquettes n°4.
Bref, si une page m’inspire tant de commentaires, j’en suis émerveillé. Et j’aimerais bien voir Trinville en vrai (et vous rencontrer par la même occasion), mais je crains que le pays Royannais soit un peu en dehors de vos rayons…
Magnifique collection de marériel des années 50/60.
Je me souviens de cette belle 232 de chez JEP qui me faisait saliver devant les boutiques de train au passage du Havre à Paris au début des années 60.
La V60 Märklin, sur la première photo, toute petite, porte-t-elle encore sa livrée DB ép.III - ce qui me laisse songer que vous l’avez repeinte vous-même ?Oui, je l’ai eue d’origine, au début des années 60, dans sa livrée DB. Et depuis que j’expose Trinville à l’extérieur je la présente sous cette couleur informelle. Est-ce bien réussi, je ne sais pas, mais toujours est-il que j’ai fait disparaître le rouge caractéristique de la DB. D’ailleurs mon ami Pierre m’avait fait remarquer à l’époque que les roues devaient être noires ; ce que j’ai corrigé aussitôt.
En ce qui concerne la notice de montage du wagon CTC (rendons grâce à la perspicacité de Wolfram) il est vrai que l’analyse est amusante mais je pense qu’en ces temps où tout devait être collé, il était remarquable de pouvoir assembler un wagon sans colle. Les panneaux porte-étiquettes, à leurs yeux, faisaient partie de la décoration et non de la construction.
Quant à la remorque ROCO (qui vient tout droit de chez Pierre) elle est effectivement en plastique et ne date pas des années de mon enfance.
A quelques exceptions près, le matériel date des années 40-50-60.
Comme je l’annonce en première page de ce volet, je détaillerai beaucoup plus par la suite. Il me faut pour cela rassembler un maximum de renseignements.
Wolfram, j’expose à Nancy au mois d’octobre : Royan-Nancy voilà une belle promenade !!!
Ces deux petits wagons qui plaisent bien à Francis font toujours sourire lors des expos - le but est atteint !
Jean-Paul, ma 232 JEP a une énorme valeur sentimentale : ma grand-mère, aux dires de mes parents, s’est saignée pour me l’offrir. Tout ce petit matériel je l’affectionne particulièrement - chaque pièce représente un coup de coeur ou un être cher. D’où l’obstination de garder en état toutes ces vieilleries…
Voilà, à très bientôt
Philippe
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… Tout ce petit matériel je l’affectionne particulièrement - chaque pièce représente un coup de coeur ou un être cher. D’où l’obstination de garder en état toutes ces vieilleries…
…Bonjour à tous,
Philippe : Sentiment partagé , au moins pour certains de notre génération ; même si nous sommes loin de posséder de si belles collections !
Jean-Paul : idem pour les boutiques et vitrines du Passage du Havre (Le Pélican, la Maison des trains, en bas de l’escalier…) ; et puis les trains JEP ! Ah ! Sans le savoir, nos chemins se sont probablement croisés, notamment dans les années 60…
, au moins pour certains de notre génération ; même si nous sommes loin de posséder de si belles collections ! 
