Bonjour à tous,
Voilà un bon mois que je n’ai pas réveillé mon petit réseau étagère piloté par Itrain.
Après mes déboires avec la BR 03 qui ne voulait plus avancer, pour cause de collecteur encrassé, la voilà revenue avec ses compagnes.
Comme en plus c’est la seule “bavarde” du lot, le réseau était bien calme. J’en ai d’ailleurs baissé un peu le niveau sonore. Je n’ai pas accès à toutes les fonctions et n’arrive pas à supprimer la fonction pelletage qui n’est pas des plus agréable.
Comme j’ai mis pas mal de vidéos que et que cela fait un peu de temps que je n’ai pas parlé technique, je vais rappeler le découpage en cantons de mon petit réseau et cela permettra d’expliquer la philosophie que j’ai choisi pour la télésignalisation même si ce n’est pas un modèle du genre.
Voilà d’abord le positionnement des capteurs sur le réseau :
Ces capteurs sont de trois types :
En bleu : des rails de télécommande
En orange : des ILS
En vert : un double rail de contact
Il y en a aujourd’hui 18 (donc associés à deux S88 : un Marklin et un Viessmann) et ils sont un peu disparates. En effet, historiquement mon petit réseau utilisait une automatisation limitée à 3 rames avec des relais et j’ai gardé les capteurs d’origine qui étaient soient des rails de télécommande, soient des ILS. Ayant épuisé l’ensemble et ayant un rail de contact, je l’ai même exploité pour une fin de voie de garage pour sécuriser l’arrêt de trains qui peuvent faire différentes longueurs et qui peuvent se présenter soit par l’avant soit par l’arrière.
Comme on peut le voir, j’ai opté pour un capteur par canton avec arrêt défini à une distance programmée et donc avec un contrôle précis de la vitesse des locomotives.
Le dessous de table commence à être bien encombré de pas mal de ficelles malgré l’utilisation de 8 aiguillages avec décodeurs intégrés.
En effet entre les connexions de ces 18 capteurs aux S88, et celles à 2 K 83 pour les connexions d’autres aiguillages et d’un sémaphore (en attendant la recherche du meilleur emplacement pour un second), les fils sont assez longs et nombreux et ne sont pas rangés idéalement. J’ai laissé le câblage en « désordre », cela réduit les couplages entre fils, car je me souviens qu’étant jeune, en général quand j’essayais de faire beau et tiré au cordeau, ça ne marchait plus !!!
Je ferais peut-être une photo quand j’aurais réduit quelques longueurs "de tests un peu disproportionnées.
Je joins une petite photo du TCO Itrain associé à ce réseau. Cela permet de voir le sens préférentiel de parcours de cantons.
Pour complémenter ce post et suite à quelques essais pas très concluant de locomotive Delta sur le réseau, j’ai fait l’acquisition d’une machine dédiée au train de marchandises et compte tenu de l’espace réduit disponible, je cherchais une loco tender, plutôt qu’une 150 avec tender qui occuperait trop de place sur mes petits cantons.
J’ai opté pour une BR 94 MFX qui possède un bon moteur avec volant d’inertie qui a un fonctionnement très silencieux sur mon réseau.
Elle n’est pas sonore, donc on n’entend que le ronronnement du moteur !! J’ai été un peu déçu par la nature du frotteur qui a subit une belle cure d’amaigrissement mais qui remplit son rôle.
Cette machine est très détaillée et la sérigraphie de marquage est d’une finesse extraordinaire.
En conclusion pour aujourd’hui, je vais vous joindre une petite vidéo pour voir le “ballet” de 5 rames tirées par 5 locomotives avec pour chorégraphe “Itrain” que je vais ajouter après avoir sauvegarder ce post en le publiant sans la vidéo.
Bon week-end
Amitiés bretonnes