Mon reseau "Toulouse-Irun"

Bonjour Pascal, bonjour Wolfram, bonjour à tous,

Je trouve que le comportement est plutôt correct avec votre dispositif :smiley:, sachant que beaucoup de paramètres vont influer sur la décélération au freinage ou l’accélération au redémarrage et dépendent de l’origine du décodeur mis en jeu.

Avec ce dispositif il faut jouer les artilleurs : un coup trop court, un coup trop long, en jouant sur les CV ad hoc (CV3 et CV4 voire le CV5) et/ou sur les longueurs des différentes portions de voie et ce, pour chaque type de machine. C’est assez laborieux, mais on y arrive. :wink: :wink:

NOTA : C’est le CV 27 qui définit le mode de freinage mis en jeu chez ESU et Märklin.

Bonne continuation pour ces expérimentations.

Amitiés du Morbihan

Bonsoir à tous,

Merci pour vos conseils.
En poursuivant mes expérimentations, j’ai essayé tout mon parc de locomotives, et j’en ai deux qui n’ont pas réagi comme je le souhaitais. Il s’agit d’une 231 ROCO et d’'une BB PIKO 96262 (cette dernière équipée d’un décodeur PIKO 56122). Ces deux locomotives ne s’arrêtent tout simplement pas au feu rouge malgré plusieurs tentatives de configuration des CV.

Néanmoins, en relisant Jean-Paul, je m’aperçois que je n’ai pas essayé de changer le CV27, tout simplement parce qu’il n’était pas listé dans les CV configurables mentionnés dans la doc des 2 locomotives. J’essaierai ça demain. Une question à Jean Paul cependant: Quand tu parles du CV27, c’est bien en mode de programmation DCC ?

Merci d’avance pour la réponse, Bonne soirée, cordialement

Pascal

Bonsoir Pascal

Oui, bien tes essais, sauf qu’il y a plus simple:


Le relais est en positon arrêt.
Ce schéma inclus une section d’arrêt, si on la supprime, il ne faut que un contact inverseur du relais.

Après la zone de transition est là pour ne pas devoir commuter à la dernière minute. Le relais est commandé par le signal, pas besoin de détection à l’entrée pour commuter la zone sur stop. La zone de transition doit faire la longueur du frotteur, ou des frotteurs connectés ensembles (cas de la 3015, les ancienne 150 Vapeur et l’Ae 8/8 de Roco)

Quand aux notices des décodeurs fournient avec les locs, c’est souvent une simplifiée avec juste quelques CVs. Il faut regarder quel est le modèle du décodeur et aller chercher sur internet la notice complète.

Pour la 231 Roco, c’est encore un décodeur ESU, ou c’est un Zimo? Il me semble que les deux furent utilisés en fonction de quand est sorti le modèle.

Bonne soirée

Delias

Bonsoir,

Pour répondre à Delias, la 231 Roco ref 68205 vient avec une documentation décodeur Roco 10732. Dans liste des CV il est fait mention du fabricant Uhlenbrock (CV8).

La diesel A1A-A1A Roco, ainsi que la 2D2, viennent avec une documentation de décodeur (AC) ref 10738. Je ne vois pas de mention de fabricant, mais c’est un décodeur qui fonctionne en protocole Motorola et non DCC.

Pour ce qui est du CV27, aucun décodeur n’accepte de renvoyer une valeur lorsqu’on essaie de lire cette adresse.

Mon problème est que tous ces décodeurs n’ont pas le même comportement sur mes différent tronçons. :frowning:
Les Märklin s’arrêtent sur le secteur ou se trouve la capacité. Les Roco 2D2 et A1A-A1A aussi. Si j’enlève la capa, les locos ne ralentissent même pas.
La 231 Roco s’arrête quand j’enlève la capacité. Mais avec la capa, la loco ne s’arrête pas.
La BB Piko refuse de s’arrêter, avec l’une ou l’autre des configurations. elle ralentit un peu quand la capa est absente.

J’ai bien sûr essayé de jouer avec les différentes valeurs de CV.

Bon, je vais réfléchir la dessus :scratch: . Bonne soirée

Pascal

Bonsoir Pascal, bonsoir à tous,

Le fait d’enlever le condensateur ne peut pas améliorer le fonctionnement, car c’est un réservoir qui permet de polariser le décodeur avec une valeur négative. Je pense même que la valeur de 10 microfarads est beaucoup trop faible, et il me semble avoir vu sur un schéma une valeur de 220 microfarads. Il ne faut pas oublier que c’est ce condensateur qui alimente le décodeur et le moteur de la loco pendant la phase de ralentissement et qu’il faut de l’énergie emmagasinée pour parcourir le bout de rail. :wink:
Le schéma proposé par Sylvain est préférable et la résistance de 1,5 k permet aussi d’alimenter le décodeur dans la zone d’arrêt, ce qui permet un redémarrage plus “normal”.

A bientôt

Amitiés bretonnes

Bonsoir Pascal, Bonsoir à tous

Jean-Paul a parfaitement raison!
Si la loc réagit sur le circuit sans condensateur, c’est qu’il réagit à un signal asymétrique (freinage type Lenz).

Je ne sais pas où j’avais la tête hier, Roco n’a pas monté de décodeur ESU, c’était bien des Uhlenbrock avant les Zimo.
Il faut que je ressorte mes notices (je dois avoir cette version) pour savoir sur quel CV le freinage type Märklin est contrôlé. Chaque marque de décodeur l’a à une place différente.

Pour lire les CV il faut être au format DCC et sur voie de programmation. (ou DCC Railcom+ sur voie principale).

Bonne nuit

Delias

Bonjour Jean Paul, bonjour Delias,

J’avais bien vu le schema avec le condensateur a 220 micro F, et c’est a la suite de ca que je me suis fait peter au nez deux condensateurs de 100 mIcroF :astonished: . Soit parce que je les ai montés a l’envers, mais plus probablement parce qu’il ne tiennent que 14 volts.
Je me suis donc rabattu sur un 10muF qui tient 50V, et comme j’en ai 5, je vais pousser jusqu’à 50 muF. Je vais donc me fournir en capacités plus grosses.

Cordialement

Pascal

Bonsoir Pascal

Ah oui 14V c’est pas assez, la tension de service est dans les 20V, donc prendre au moins des 25V, voir des 35V si comme moi on fait un réseau mixte analogue/digital. Histoire de ne pas les faire exploser en cas d’erreur de câblage… (car l’alimentation en analogique ne devrait jamais arriver).

Bonne continuation

Delias

Bonsoir,

Faisant suite à mes essais, j’ai donc fait les choix d’architecture suivants :

  • Je vais faire des zones de freinage et d’arrêt suivant le schéma de Delias proposé plus haut, donc munies d’une zone d’arrêt complet. Je pourrai les utiliser avec toutes les locos sauf la 231 Roco (toutes mes tentatives de configurer les CV ayant échoué). Seule la Piko s’arrêtera brutalement sur la section d’arrêt. C’est pas terrible, mais bon…
    Je prévoirai la possibilité de configurer le système pour que tous les relais au repos, les zones de freinage et d’arrêt soient neutralisées, permettant donc un pilotage digital manuel, digital piloté par un PC, et également un fonctionnement en analogique.

Le synoptique du circuit que je prévois de faire est le suivant :

Il est constitué de 8 cantons à sens unique, et 3 cantons en double sens, totalisant 14 sémaphores. Il y aura 26 (à optimiser) zones de détections de présence auxquelles il faut que j’ajoute 8 détections sur les voies de la gare cachée, voire quelques autres sur les voies de garage du niveau principal.
14 aiguillages à commander (hors voies de garage), dont quatre peuvent être commandés deux par deux. Les voies de garages ajouteront 7 aiguillages à commander sur la gare cachée et 5 sur les garages du niveau principal.
Le sens de circulation étant toujours le même dans la gare cachée, je prévois de ne pas câbler les aiguillages dont la position est invariante ou qui sont toujours pris à rebours.
Je ne sais pas trop quoi dire de plus pour ce soir

Cordialement

Pascal

Bonjour Pascal,

ce que je vais dire n’est que mon opinion personnelle et ne t’engage pas - mais quand même… :wink:

Ce que tu viens de décrire me semble être une surcharge technique. Les modules pour automatismes sans ordinateur (modules de freinage) font double emploi avec la gestion par ordinateur. Il te faut donc concevoir le fonctionnement du réseau en double, une fois par modules et une fois par contrôle informatique. De plus, il faut veiller à ponter les modules en cas de fonctionnement informatique.
Si tu regardes le fil du Petit réseau d’étagère, ou mes films du circuit d’essai (lien “Eisenloh” dans ma signature), tu verras que l’ordinateur gère très bien les freinages et arrêts sans modules - sans même qu’il y ait la moindre coupure d’alimentation. Il fait comme toi en mode manuel : “loco x est arrivée à l’entrée de voie 3, je vais la ralentir progressivement et l’arrêter exactement a la fin du quai.” Sauf qu’il peut le faire pour vingt locos en même temps, et indépendamment des réglages du décodeur (il suffit qu’il les connaisse).
Et les possibilités sont multipliées. Je m’amuse un peu des gens qui veulent programmer rocrail pour qu’il fasse exactement comme les automatismes de nos pères en 1975 - on peut en faire tellement plus, avec tant de variations !

Bref, mon conseil est de ne pas monter tout, mais de faire un choix avant de te mettre au travail.

Bonsoir Wolfram,

Depuis quelques mois que je parcours ce forum, j’avais bien noté que tu étais un ardent défenseur de la solution pilotage par ordinateur. Je dois avouer que ton conseil est plein de bon sens. D’ailleurs, si j’ai fait plein d’essais pour tester une configuration de module de freinage (qui ne me donne pas pleinement satisfaction au bout du compte), il n’y a pas de raison que je n’essaie pas la solution PC+Rocrail. Je vais donc m’y atteler sur mon petit circuit d’essai.

Cordialement

Pascal

Bonsoir Pascal,

ardent défenseur… :scratch: peut-être.
Chaque configuration a ses avantages et ses inconvénients. En pesant les uns et les autres, je suis arrivé à la conclusion :
Il n’y a pas LE modèle à suivre pour tout le monde. Si j’aime bien les boutons je reste en aiguillage analogique. Il y en a même qui construisent des bancs à leviers, avec les blocages entre les itinéraires croisants. Respect. Ça doit être génial pour jouer à l’aiguilleur.
On peut le faire sur la CSx. Mais elle a un écran assez petit et coûte cher - pour moins d’argent un vieux ordi fait pareil voire mieux.
On peut créer des automatismes sur la CSx. Mais peu, et que des simples.
On peut créer des automatismes avec des modules. Avec les pépins que tu as décrits…

Pour jouer avec un train à la fois, ou chaque train son circuit, on n’a pas besoin de grand équipement. Les pupitres font l’affaire. Que les locs soient pilotées en analogique ou en digital.

Ce qui me semblait important à dire, c’est surtout de faire un choix réfléchi - mais de choisir. Car en cumulant les systèmes, on gagne peu en avantages mais doit assumer la plénitude des inconvénients augmentés par des interférences entre les systèmes.

Pour ton démarrage avec Rocrail je veux bien aider où je peux. Juste… je l’utilise en configuration allemande, et si tu comprends assez l’anglais ou l’allemand tu trouveras beaucoup plus d’explications et d’aides pour Rocrsil en ces deux langues qu’en français. Et malheureusement, Fabricep n’est plus sur ce forum pour pouvoir aider…

Bonjour Pascal
J’ai moi aussi au début tester le module de freinage je trouvais ça génial. Je reprenais le train miniature après près de 30 ans d’arrêt et un vieux circuit en voie M de mon père, alors forcément ! J’ai commencé à élaborer des plans pour les généraliser mais très vite je me suis rendu compte que l’investissement n’était pas négligeable d’une part et que cela allait fortement compliquer le câblage de mon réseau. C’est en suivant ce qui se faisait sur le forum que j’ai finalement décidé de piloter mes trains avec un PC et iTrain. Un vieux PC fait largement l’affaire (en fait c’est même un vieux mac mini). Jean-Paul, Gilles et Yannick n’y sont pas pur rien dans mon choix :wink:
Maintenant, j’abonde dans le sens de Wolfram, il faut que ton choix soit réfléchi en fonction de la façon dont tu entends jouer au train. Le PC c’est super pour regarder tourner ses trains on peut quasiment tout faire comme dans la réalité mais on est également passif devant le spectacle. Ce n’est plus toi qui conduit mais l’ordinateur. La partie “active” qui va te permettre d’admirer le spectacle devant ton réseau, est elle en amont quand il faut programmer le logiciel. C’est une partie qui peut prendre beaucoup beaucoup de temps avait parfois de belles séances à s’arracher les cheveux devant son écran…
L’une (analogique ou câblage et conduite directe via des modules) offre c’est sûr beaucoup plus de sensation de jeu et de conduite, l’autre (la conduite PC) offre des fonctions de réalisme très étendues.
Dans mon cas, je ne regrette pas du tout mon choix de pilotage avec iTrain, il correspond à ce que JE souhaitais faire. Par contre, lorsque des enfants viennent voir mon train, ou même ma fille, eux préfèrent de très loin toucher aux boutons (c’est d’ailleurs assez paradoxal alors que la plupart des jeunes d’aujourd’hui ne savent plus rien faire sans une tablette ou un smartphone…), ils se précipitent sur la CS qui malheureusement n’est pas prévu pour sur mon réseau …
Je ne fais ici que partager ma propre expérience sans vouloir t’influencer dans un sens ou dans l’autre mais avec l’unique but de t’inciter à la réflexion pour choisir … ta voie :smiley:
Dis toi qu’il Il y aura de toute façon ensuite toujours quelqu’un sur le forum pour t’aider si besoin.
Bonne réflexion et tiens nous au courant !
Xavier

Bonjour,

Oui… mais.
Rocrail permet de conduire des trains manuellement, ce qui est très agréable pour les manœuvres ou pour piloter un train avec caméra à bord. Juste pour le choix des itinéraires, il faut faire confiance au logiciel - un peu comme le machiniste en vrai. On peut aussi l’utiliser pour jouer à l’aiguilleur, c’est alors (mais c’est mon goût à moi) plus agréable qu’avec les lignées de pupitres.
Encore, il faut l’essayer pour savoir si on aime.

bonjour à tous,
pour compléter les propos de mon ami Xavier, avec iTrain l’on peut certes choisir un pilotage entièrement automatique, mais également choisir
une conduite entièrement manuelle, (à partir du TCO du logiciel) où l’on s’ouvre manuellement la voie pour relier un point à un autre, ou faire des manœuvres,
et/ou une conduite semi manuelle ou l’on désigne au logiciel, ce que l’on veut et c’est lui qui s’ouvre le chemin, en donnant, pour une loco, son point de départ et son point d’arrivée. ce dernier choix à l’avantage de pouvoir s’inscrire dans un pilotage automatique, iTrain gérant la sécurité des déplacements de l’ensemble des locos
mais avant tout, c’est à toi de définir tes priorités
amicalement
Yannick

Bonjour Wolfram, bonjour Yannick,
Vous avez bien fait de commenter/compléter mon message précédent. Effectivement, on peut passer en mode manuel pour le pilotage.
Dans mes propos, c’est vrai que j’étais plus sur la ligne “j’appuie sur un boitier de commande pour changer la position d’un aiguillage et je tourne le potentiomètre du transfo” quand j’évoque le mode manuel.
C’est certes un peu réducteur… j’espère n’avoir froissé personne :blush:
On peut effectivement arriver au même résultat avec le logiciel et la souris sinon :wink:
Bon week end à tous, attention aux orages, pensez à débrancher vos centrales !

Bonjour à tous,

Merci pour tous ces retours, très instructifs.

Je vois qu’il faut que je fasse des essais avec Rocrail et avec I-train. J’imagine qu’ils proposent tous les deux des versions d’essai gratuites.

J’imagine aussi que si on part sur ce type de solution, on n’est malgré tout pas toujours obligé de piloter avec le PC (qui peut être un portable qui n’est pas là à demeure). On peut aussi piloter manuellement grâce à la station (dans mon cas l’ECOS) qui elle, reste en permanence à coté du train.

Cordialement

Pascal

Bonjour Pascal,

bien sûr, on peut…
Ça a un inconvénient quand même : le logiciel ne connaîtra au démarrage suivant ni la position des aiguillages ni celle des trains. On peut configurer le logiciel afin qu’il bouge tous les aiguillages dans deux sens afin d’en connaître le sens, ou d’envoyer la commande même si l’aiguillage devrait être dans la bonne position. Le premier prend du temps, le second peut peser sur les moteurs…
Et pour les trains, il faut les inscrire un à un dans les bons cantons.
Bref… Même si Eisenloh est petit et qu’il n’y aura pas plus que sept trains en même temps sur le réseau, il ne sera pas conçu pour fonctionner sans ordinateur, au moins pour aiguiller et suivre les trains.
Pour le pilotage, et c’est l’avantage de rocrail sur iTrain en version classique, j’ai un sprog2 pour les aiguillages, DDx pour le s88 - et actuellement aussi pour commander les trains, mais ce sera remplacé plus tard par la nouvelle centrale tams. Ou par un transfo classique - je pourrai ainsi commander manuellement les trains tout en maintenant la surveillance des voies par Rocrail.

Si ça t’intéresse, j’en écrirai un peu plus dans le fil dédié.

Bonsoir à tous, bonsoir Wolfram

Je continue mes essais avec un test de Rocrail.

Ce logiciel m’a l’air d’avoir des possibilités énormes, par contre, je trouve qu’il n’est pas facile à mettre en oeuvre. En particulier, il y a pour tout un nombre de champs pléthorique, mais seulement quelques uns,peu nombreux, sont indispensables. Le tout est de trouver lesquels.

Si j’ai, dans un temps raisonnable, réussi à connecter mon Ecos, à piloter manuellement des locomotives, et à dessiner mon petit TCO, en revanche, après 1h30 d’efforts, je ne suis toujours pas parvenu à adresser dans Rocrail mon aiguillage, mon feu et mes quatre détecteurs.

Peut-être, Wolfram, si tu as cinq minutes peux tu me mettre sur la piste. Par exemple l’aiguillage est commandé par le signal de voie DCC à l’adresse 1. voici ses paramètres sur l’ECOS, et les menus Rocrails que j’ai configurés. tous les menus déroulants correspondant à des champs vides ne proposent aucune option.

ecos-aiguille.png

En outre, je n’ai pas saisi ce que tu décris comme un avantage de Rocrail sur Itrain. Qu’est ce qu’un sprog2 et un DDx,et en quoi est ce un avantage de Rocrail ?

Cordialement

Pascal

Bonjour Wolfram
pascal te pose cette question
“En outre, je n’ai pas saisi ce que tu décris comme** un avantage de Rocrail sur Itrain.** Qu’est ce qu’un sprog2 et un DDx,et en quoi est ce un avantage de Rocrail ?”
et bien !
moi aussi je suis curieux de savoir pourquoi tu as écrit cette remaque
à te lire
amicalement
Yannick