Mon petit réseau de bureau

Joli, tu fais un envieux !!!

Tu nous postes une petite vue d’ensemble, pour qu’on se lèche un peu plus les babines !
:wink:

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Il ne s’agit que d’un test fonctionnel, la menuiserie n’est pas finie (mais j’en vois le bout !)

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Beau travail, Jérôme. Tu as bien avancé.
Alain

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J’ai largement de quoi m’occuper dans les 2 ou 3 prochaines semaines entre:

  • La mise au point de l’électronique pour la détection et le fonctionnement des aiguilles via Raspberry Pico (pour l’instant je galere, je ne suis pas du tout dans ma zone de confort !)
  • La finalisation de la menuiserie, incluant la découpe pour accéder aux aiguilles par le dessous,
  • La pose du liege et/ou le noyage des voies avec du Dépron,
  • Le cablage,
  • Etc

Cela dit, il est temps de réflechir a l’implantation des rails de contacts pour le niveau 1. Ci-dessous, mon premier essai - trains circulant a gauche facon SNCF mais gare bi-directionnelle souhaitée. J’aimerais bien quelques signaux décoratif, synchronisés par RocRail, notamment avant les entrées de tunnel mais aussi en bout de quai dans la gare.

C’est déja plus complexe que la gare cachée, car il y a beaucoup de parametres a anticiper.

  • Certaines zones entre aiguilles ne sont pas rétro-signalées. C’est peut-etre une erreur…
  • Peut-etre un troisieme rail de contact dans la gare pour un arret des autorails au milieu des quais?

Puis-je avoir vos avis, opinions, critiques ?

Par avance, merci !

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Bonsoir a tous, un petit “up” a propos de mon plan ci-dessus pour la pose des rails de contact.

Est-ce que ces implantations vous paraissent raisonnables pour une automatisation via RocRail ? N’hésitez pas a me signaler des choses qui ont tres peu de chance de fonctionner correctement en pratique.

Merci!
J

Juste faire attention à position / longueur des zones d’arrêt dans la gare, histoire que les trains s’arrêtent bien avant les aiguillages :wink:

C’est une question pour JohnjeanB
De ce que j’ai lu plus il y a de contacts de rétro mieux c’est car c’est eux qui permettent au logiciel de savoir précisément où est le train
Train Controller exige une courbe de vitesse très précise ( 1h30 de parametrage) pour se passer le plus possible des contacts .

Rocrail a une fonction BBT d’apprentissage pragmatique par le logiciel . La loco fait x essais d’arrivée et d’arrêt sur un canton et le logiciel mémorise les paramètres de décélération dans chaque cas et tu choisis celui qui correspond à l’arrivée de la loco sur le contact IN a la vitesse MIN . Et qui permet ensuite à la loco de s’arrêter sur une très courte distance , d’autant plus courte que tu définis une vitesse MIN très basse
Mais il faut aussi que tu aies une distance suffisante dans ton canton entre le ENTER et le IN pour que la loco puisse freiner de manière esthétique et réaliste pour attendre le début du IN
Un des avantages de Rocrail c’est que tu peux si tu souhaites faire cela pour chaque couple « canton / loco »

En conclusion sous contrôle de JohnjeanB le deuxième contact doit donc être relativement près de l’endroit où tu veux que le train s’arrête

Je ne sais plus comment Rocrail gère le centrage du train au milieu du quai en gare .

Perso je ferai des tests avant

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Jérôme,
Un autre commentaire. Sur la voie interne, les convois vont devoir emprunter deux TJD à chaque extrémités de la gare et surtout une , côté droit, avec une contre courbe pour rejoindre le quai. Ne serait-il pas possible de mettre un paire aiguillages entre le 27411 et le 24612 et de remplacer la TJD par un simple aiguillage? Ça laisserait aussi la place pour manœuvrer sur les voies de garage sans empiéter sur la voie principale.
Juste une suggestion

Oui c’est une des faiblesses de ce plan. Dans le sens Sud-Nord, la voie intérieure ne peut pas desservir tous les quais et interfere aussi avec la zone de manoeuvre. Je n’avais pas réussi a corriger ce probleme proprement via Anyrail (le mélange des géométries normale et élancée demande de la place pour des transitions “clean” entre les deux). Je vais voir in-situ si on peut faire quelque chose.

Je commence a me demander si je n’ai pas interet a convertir tous les rails de la gare en rails de contact…? Au point ou j’en suis, ce n’est pas le sacrifice de quelques rails supplémentaires qui changeront grand chose…si cela peut réellement apporter un plus (sécurité, flexibilité ou autre), je le fais.

*Extrait du WIKI Rocrail : *

Le bloc est la partie essentielle de base de l’automation du réseau de trains dans Rocrail, et ils doivent être configurés lorsque vous posez votre voie en plaçant des capteurs que Rocrail peut lire pendant son fonctionnement.

Sur le réseau, il y a 3 éléments minimum pour définir et réaliser un bloc: deux sections de rails et un contact de rétro-signalisation placé au milieu. Lorsqu’une locomotive active le point de détection au milieu des deux rails, Rocrail reconnaitra la présence d’un train sur cette portion de rails.

L’utilisation de plusieurs contacts de rétro-signalisation donnera des résultats meilleurs et surtout plus précis.

Une meilleure solution est l’utilisation de deux contacts, dont un à la fin du bloc. Le bloc dans ce cas sera alors formé de 5 parties: rail, contact, rail, contact, rail. Le premier contact avertira Rocrail que quelque chose entre dans le bloc, et le capteur du coté opposé dira à Rocrail que cela est actuellement arrivé.

3 contacts (un à chaque extrémité et un au milieu) peut forcer une locomotive à s’arrêter au milieu du bloc plutôt que d’atteindre l’extrémité du bloc. Des agencements plus complexes des capteurs peuvent permettre le ralentissement et l’arrêt d’une locomotive quand elle entre dans un bloc.

**L’important est d’avoir plusieurs contacts **
Qu’ils soient contigus ou non dépend de ton souhait de répérer tout wagon isolé

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Merci Francis pour ce résumé, je vais méditer cela.

Un 3ieme rail de contact par voie dans la gare me semble être un avantage pour plus de précision pour l’arrêt des rames selon leurs longueurs. Dans ce cas, les "blocks"seront contigus pour certaines voies, cette gare est minuscule :sweat_smile:

C’est bizarre, j’arrive à voir les 8/9 premières secondes puis ensuite l’image est cryptée !!!

Image Cryptée

Appuie sur le logo YouTube pour visionner depuis la plateforme directement. Si le problème persiste, je suis sans doute la victime des géants de la tech néo-capitaliste qui me jugent trop rétrograde :sweat_smile:

C’est pire, ça crypte dès la première seconde. Peut-être un pb de mémoire chez moi ???

Après un essai sur un autre écran, effectivement le problème vient de chez moi. Faut que je regarde plutôt du côté du paramétrage de la résolution de mes écrans, je pense !

Moi, je peut la visionner jusqu’au bout sans problème.

MarcD

Bon choix de logiciel.

Eh bien : Si le train entre dans un canton où il doit s’arrêter parce que le canton suivant n’est pas libre, il est freiné dès son entrée dans le canton, et il faudra bien régler les décélérations des trains et les vitesses pratiquées en fonction de la ligne - donc que le train pourra s’arrêter surement dans chaque canton. On peut éviter les arrêts en pleine voie, ou beaucoup de ceux-là, en utilisant la fonction “réserver 2e canton”, c’est donc qu’à l’entrée en canton n, le logiciel ne cherchera pas seulement le canton n+1 libre mais aussi déjà le suivant - et en entrant en n+1, le canton n+3. Et ainsi de suite.

Je n’ai pas de c80 mais des delta - mais : il faut bien régler non seulement Vmax, mais aussi Vmid et Vmin.
C’est à mon avis indispensable pour un fonctionnement rond et fluide de ces décodeurs de régler Vmin à la vitesse la plus basse qu’ils sont capables de rouler. Et alors, à la commande “stop”, ils s’arrêtent avec une marge de 2 à 3 centimètres maximum.
Les décodeurs régulés modernes, du c90 au MLD/3 en passant par toute sorte de LS3, MSD et Lokpilot2 et autre bizarrerie, et même l’antique Uhlenbrock ont ainsi une marge de <1cm.

Il y a possibilité de prévoir dans chaque itinéraire qui le permet, de libérer le canton précédent à l’arrivée sur Enter. À utiliser avec prudence, il faut vraiment que la distance entre le canton précédent et Enter du canton visé soit plus grande que la longueur de tout train !

Moi aussi - ligne bidirectionnelle sur voie unique. Et les zones de contact sont les derniers coupons avant l’aiguillage, ou les premiers après - selon le sens du regard. Ça suffit largement puisque je ne fais pas rouler des TGV sur LGV.

Très bon conseil, c’est ce que j’ai fait, avec même quelques voies parallèles de gare, afin de bien expérimenter tout cela.
Ça a donné ceci, à l’époque :

Et il est vrai, sur la première voie les zones ont été prolongées à 2 coupons mais seulement parce que les trains ne sont pas si longs et que je voulais avoir l’arrêt pas trop décentré. Autrement, on perd de la longueur utile, pour rien.

Non, tu ne te trompes pas du tout - et comme dit, si la loco et le logiciel sont bien configurés il lui en faut beaucoup, beaucoup moins. À Eisenloh, les voies de la gare visible seront - comme chez toi - moins nombreuses que celles de la gare cachée, mais elles seront nettement plus longues ce qui permet, en zone visible, d’avoir un arrêt “joli” et non juste devant l’aiguillage avec le dernier tampon encore presque dans l’aiguillage derrière. Par contre en gare cachée, j’ai besoin d’un arrêt précis et net, je pense même utiliser une action pour activer f4 à l’entrée en canton, et donc quand c’est la commande stop, c’est stop tout de suite. Avec une précision de 2 ou 3 mm. Déjà essayé. Ça marche. Il me faut encore un système de détection moins gourmand en longueur de voie.

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Bonjour à tous, une petite mise à jour sur ce petit réseau. Un compte rendu honnête et sans détours.

Ce petit réseau de bureau se porte bien. Pour rappel, c’est un petit réseau d’expérimentation / d’apprentissage, en “L” sur 2 niveaux. Mon rêve est ailleurs, et est en très lente gestation : la refonte complète de mon grand réseau actuel, que je veux fonctionnel pour ma retraite dans 15 ans :grinning:

Pour ce petit réseau, la menuiserie est désormais achevée, le câblage aussi (hors aiguilles et éclairages).




J’ai décidé de monter toutes les alimentations et matériel électronique à la verticale, un énorme gain de place. Mon doux rêve d’une planche rétractable, sur glissière, n’était juste pas réaliste même avec une MS2 !

Pilotage via MS2 avec passerelles CAN pour la traction et la rétro (29 rails de contacts). Solutions proposées par Christophe (@bobyAndCo) qui fonctionnent bien ! Par contre, le câblage de la rétro est conséquent, ce n’est pas juste un fil vers un S88.

J’ai beaucoup roulé et testé à chaque étape. Sans surprise, les défauts de ce réseau sont :

  • Les pentes raides : on tutoie le 5%. Avec 50cm de plus à chaque extrémité du L, on aurait fortement atténué ce soucis. Si on se limite à des compositions de 4 voitures, autorails et courtes rames marchandise, ça passe sans réels soucis cependant. Et, d’ailleurs, c’était bien le cahier des charges.
  • Gare en courbe - visuellement ça passe tout juste avec du R3/R4/R5/R9 mais il ne sera pas évident de créer un décor vraisemblable autour de cela : l’espace utilisable des quais est très réduit et il y a donc un risque permanent de fauche des personnages & lampadaires à cause du porte à faux des voitures.
  • Le manque de manœuvrabilité sous le plan, malgré un niveau 0 perché a 110cm. Cela est dû à la taille limitée de la pièce, pièce qui est vite encombrée. C’est assez pénible lorsqu’on travaille sur le réseau

L’avantage de ce tracé - de taille - est une efficacité assez redoutable pour les dimensions très réduites et particulières de mon bureau, avec 3 voies passantes en gare visible, 4 voies en gare cachée, 2 dépôts et des voies de garage en gare. Cela permet un éventail de possibilités pour la circulation, mine de rien.

Je me suis obstiné à poser une couche liège de 2mm d’épaisseur, ce qui m’a pris un temps considérable : le tracé du réseau ne se prête évidemment pas au simple déroulage du rouleau de moquette. Il a fallu ajuster, découper encore et encore et encore…tout cela pour un résultat plus que mitigé: je ne constate aucune réduction du niveau sonore. Une perte de temps monumentale pour un réseau tortueux - selon moi - et d’argent. Je ne recommencerai pas avec le liège. Un noyage des voies au Dépron est bien plus efficace - toujours selon moi - pour atténuer les nuisances sonores (mais c’est également chronophage à réaliser).

J’ai opté pour un système qui me permet de commuter numérique et analogique puisque j’ai hérité de mon feu paternel d’une collection assez importante de locos Mȁrklin des 50s au 80s, une partie de cette collection étant mes jouets d’enfance. Je me refuse à numériser certaines d’entre-elles, notamment les plus vieilles, ce qui les dénaturerait complètement. Pour autant je voulais les voir tourner régulièrement.

Le réseau est divisé en 4 zones électriquement isolées, dont la gare cachée.

Je tâtonne désormais avec Rocrail pour expérimenter des choses simples (je débute dans l’automatisation). C’est assez fascinant, mais certainement pas trivial. Il faut du temps, beaucoup de temps, pour expérimenter l’automatisation lorsqu’on débute.
Reste à trouver une solution pour les aiguilles, dont le pilotage sera un mix de solénoïdes et de servomoteurs. J’espère avancer sur ce sujet dans les semaines / mois à venir, en explorant l’Arduino et le bus CAN.

Je dois quand même avouer quelque chose d’assez déplaisant…lorsque je commute en analogique (en enlevant au préalable toutes les locos numériques, bien sûr) : tout marche si bien…tout de suite. Pas de prise de gueule. On pose, on branche, ça roule, aucun problème, aucuns faux contacts, les locos ont une telle inertie…j’avoue avoir un brin de nostalgie pour cette efficacité.

Et je ne peux m’empêcher de me poser la question : toute cette infrastructure électronique avec le numérique, pour quoi exactement ?! Réalisme, défis intellectuel, automatisation sophistiquée ? Oui, mais rien ne vaut l’efficacité de l’analogique selon moi…J’adore le numérique, mais tout ne fonctionne pas immédiatement comme prévu. Et le câblage reste conséquent. L’énorme déception avec cette “technologie”, selon moi, est le phénomène des micro coupures qui nécessite des nettoyages incessants des rails : cela casse le rythme et le jeu…et le 3R n’est pas (plus) un avantage du tout :sleepy:

Ce petit réseau est réalimenté tous les 1.5m avec une connexion de masse pour chaque rail de contact…donc l’alimentation électrique n’est certainement pas le problème. J’ai pas mal de matériel exotique (Jouef converti, Roco, REE etc) mais ce n’est pas forcément le matériel exotique qui est le plus affecté par les microcoupures, même sans PowerPack…je pense que Roco est exemplaire, Marklin l’est beaucoup moins…bon, je sais, c’est un sujet polémique !

Prochaines étapes : pilotage des aiguilles, développement de mon érudition avec RocRail, pose de PowerPack pour plusieurs machines, et mise en place du décor autour d’une belle gare :heart_eyes:

Plein de bricolages, il me tarde !!

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Ah, et je me pose la question de poser une caténaire - non fonctionnelle of course. J’ai des kilos de vielle catenaire Marklin, je me dis dis qu’il y a peut-etre un truc a tenter moyennant peinture des poteaux etc. Je suis bien conscient des désagréments. A voir.

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Bonjour,

Belle avancée sur ce petit réseau en L. Effectivement, les pentes sont assez fortes, moins sur le plan initial que j’avais transposé. Mais tu sembles avoir un utilisé un plan de roulement assez épais avec en plus du liège.

Pour ton grand réseau, voici deux conseils de réalisation.

  1. Concernant le liège, je l’utilise sur mes réseaux, mais en voies K ou N à ballaster. Là le liège a un double effet, un peu de réduction de bruit mais également faire un ballast plus épais. Pour faciliter la pose, je découpe des bandes de liège de 2 cm de large, équivalent à une demi voie avec ballast. Je les colle en suivant la ligne médiane du plan 1:1 que je place sur la plateforme de voie. Un peu de colle à bois, des petits clous pour maintenir les courbes et le tour est joué. Ainsi, pas de découpes difficiles et pas de pertes.

  2. Pour la plateforme, je découpe des plateformes de voie en suivant le plan, avec un cm de chaque côté. Ces plateformes sont posées sur des chandelles fixées au châssis. Cette méthode réduit considérablement le bruit engendré par les vibrations de la planche.

En ce qui concerne la caténaire, j’ai utilisé les vieilles Märklin dans les zones souterraines ou celles peu visibles. Pour la partie bien visible, j’ai utilisé des Sommerfeldt car cette firme propose des caténaires type belge. Les vieux mâts sont encore “presque” d’actualité en Allemagne et peut-être en France. Tu peux toujours les utiliser et prendre de nouveaux fils plus fin chez Märklin ou autre fournisseur.

Bonne continuation

MarcD

Bonjour Marc,

En fait, ce fut un délicat compromis entre la hauteur sous plafond dans la gare cachée, et les pentes qui en résultent. La, j’ai 9.5cm de hauteur sous plafond dont environ 0.5cm est pris par l’éclairage par led & cablages divers. Reste donc 9cm pour passer la main et faire la maintenance. Moins que cela, la maintenance s’annoncait trop galere pour moi…on aurait pu gratter 1cm, grand max, je pense, pas plus. Je crois que le plan que tu proposais initialement avait ces quelques centimetres en longueur supplémentaires (+10 ou 20cm de mémoire) qui font la différence pour les pentes.

Pour le liege, oui, en voie K cela fait sens. En voie C, pas convaincu du tout. Le liege que j’ai utilisé n’était pas tres souple pour suivre les courbes, il se déchirait. Une galere. D’ou mon approche: on tapisse l’ensemble. Mais, meme ca fut galere. In fine, en l’état, le bruit reste acceptable. Une fois les voies noyées avec du Depron, je suis confiant que cela sera silencieux.

Idéalement, oui, il aurait fallu faire des semelles de voie qui suivent juste le tracé, rien de plus a droite & a gauche. Cependant, c’est plus fastidieux a réaliser et il faut etre au clair d’entrée sur l’implantation / “la géographie” du décor. Ce qui n’était pas mon cas.