Superbe ton Olaerts 
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Bonjour,
Pour éviter de sombrer dans la parano, un peu de petit train électrique, quelques photos mises à l’endroit et un zeste d’autodérision 
Focale fixe 35mm, F8, 1/6, déclencheur à distance.
On peut observer le raccord entre le décor et le fond de décor, qui est aussi une photo personnelle : un assemblage de 18 photos pour n’en former qu’une seule de deux mètres trente-deux de longueur sur trente centimètres de hauteur. On reconnaitra une vue de la ville de Dinant en Belgique, et sur la droite, le pont qui enjambe la Meuse, là où le capitaine de Gaulle fut blessé en août 1914, et sauvé par un médecin dinantais…
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Bonjour Pascal.
Ton décor et le fond de décor son superbement bien intégrés 
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Bonjour Philippe,
Merci.
Croisement d’une Type 15 tractant des ex-prussiennes et d’une Type 16 en tête d’un convoi de M1.
L’avantage d’un réseau absolument magnifique comme celui-ci, c’est que c’est un bonheur à chaque fois.
Pas un défaut, pas un truc qui traine. Nickel.
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Merci Vincent.
Hier, j’avais une heure devant moi et j’en ai profité pour débuter la patine de mon set de M1 Olaerts et un fourgon postal Piko.
Ici, la patine sera légère : je traite les essieux, et le châssis de manière classique au pinceau. Tout d’abord, un mélange de brun chocolat (mmm) et de noir (3/1 au niveau des propositions… Je ne suis pas à une goutte près, rien ne dois être homogène), que j’applique au pinceau sur les bogies et le bas de caisse.
Après un thé vert au jasmin, c’est sec et je peux appliquer, toujours au pinceau un peu de noir brillant sur les ressorts, les tampons, les têtes de roues sur les bogies, quelques trainées par ci par là, rien ne doit être uniforme. Cela simule la graisse là où logiquement elle doit se trouver. Sur les tampons, je placarde un peu plus (c’est évidemment relatif à l’échelle) pour simuler un peu de relief.
Je rallonge ensuite le reliquat du mélange de base brun noir avec quelques gouttes d’eau pour obtenir un jus sale que j’étale au pinceau sur les deux faces du fourgon ou de la voiture. J’estompe rapidement au papier essuie-tout (Sopalin), de haut en bas, et moins en bas qu’en haut. Le liquide se concentre dans les creux sur es reliefs et dans le bas/traverses toujours plus sales.
Enfin, du brun cavalerie avec un peu de noir pour simuler des traces de rouille, que j’applique avec parcimonie, presque au brossage à sec, sur les ressorts et les parties métalliques du châssis, là où la rouille est plausible. L’objectif, au-delà de la figuration de la rouille, est de donner un peu de lumière sur les parties sombres.
D’ordinaire, je passe les toitures au noir, puis brossage au gris. Cette fois j’ai appliqué au pinceau large le mélange de sale et le résultat me plait. Ce sera évidemment homogénéisé plus tard à l’Aérographe.
Pour terminer, avec un fin pinceau, j’applique le reste du jus de sale autour des portes, que j’estompe ou pas, le jus se cale dans les creux et fait ressortir le détail.
Un jour futur, je passerai avec l’Aérographe un voile de patine Decapod “châssis” pour homogénéiser la tonalité … du châssis, et un tout léger voile “poussière” Decapod, sur la caisse pour casser le brillant plastique et en accentuant au niveau des essieux, là où les projections de saleté se concentrent, dès les premiers km effectués par le matériel.
Au niveau du temps, c’est plus long de l’écrire pour le décrire que le faire. Une voiture me coûte environ 5 minutes de temps précieux.
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Merci pour cette description qui m’éclaire sur les modifications que je dois apporter sur ma méthode de patine.
Le fait de passer l’aérographe à la fin permet effectivement d’aller vite sur les autres opérations : en effet, pas besoin d’être hyper minutieux puisque le passage à l’aérographe va homogénéiser le tout et donc rattraper les éventuels excès d’enthousiasme …
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Bonjour
Merci de partager votre savoir-faire !
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Bonsoir,
Merci pour vos appréciation 
Sur ma chaine Youtube, ambiance Super 8 aux Robertmonts, ambiance tombée du jour…
Bonsoir,
Toujours aussi magnifique ton reseau !
Thomas
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Bonjour,
Merci Thomas.
Voici une autre vidéo, réalisée vendredi soir et à voir sur ma chaine Youtube.
L’express Lille - Bruxelles traverse la gare des Robertmonts.
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Sacré train de marchandises.
De quand date ce train de voyageurs?
Jusqu’en quelle année ces voitures de voyageurs ont été en service, stp?
Merci.
Errol.
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Superbes trains
Marc.
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Bonjour,
Merci.
Ces voitures sont des Types N, ex Nord Belge repris par la SNCB en 1940. Ces voitures sont des Nord Express de la Compagnie des Chemins de Fer du Nord française, à laquelle appartenait le Nord Belge à l’époque.
Ces voitures ont roulé en Belgique depuis les années '30 jusqu’en 1980 environ.
Ici, ce sont les modèles en livrée époque 3, vers 1960, produites par LSM. Du tout beau matériel.
Bien cordialement
Bonjour,
Voici un nouveau petit film vidéo à voir sur ma chaine Youtube.
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Bonjour Pascal,
C’est toujours un plaisir pour les yeux ces vidéos. Bravo ! Je viens de m’abonner à ta chaîne 
A+
Manu
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Bonjour Manu,
Merci de ta visite et merci pour ton abonnement à ma chaine. Je prépare déjà une autre vidéo. Tu peux voir que je ne les poste pas toutes sur ce forum.
Au plaisir
Pascal
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Et aussi à ta page Facebook en passant aujourd’hui ! 
A+
Manu
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Ben merci. Tu peux voir aussi mon compte Instagram, j’y suis très actif également : j’y ai d’ailleurs presque 1000 suiveurs (followers, d’après mes enfants, c’est beaucoup) : hubert.pasc
Je te souhaite beaucoup de plaisir avec tes petits trains Märklin.
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Bonjour à tous,
A voir sur ma chaine Youtube, ma dernière video. Un trafic rural plausible SNCB à la fin des années '50. Une type 204 (Nohab, Märklin) avec des voitures K (Olaerts), une Type 15 (Olaerts) avec des voitures ex prussiennes (Fleischmann) et enfin une Type 16 (Olaerts) avec des voitures M1 (Olaerts).
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