Ah oui, trois mois chez moi, c’est de l’archéologie.
Pour la Gleisbox de la MS2, tu as bien raison de m’indiquer ce point. Et je vais aller voir ce stummiforum à ce sujet (merci google translate). D’ailleurs je comprends mieux pourquoi elle est mise à jour en même temps que la MS2, elle embarque donc des fonctionnalités de type centrale.
Alors en fait cela a bien évolué. Le pont tournant est commandé par un M84 en mode 2 avec trois sorties (sens, rotation, alimentation) qui attaquent une platine qui permet un positionnement précis et silencieux. Le décodeur de fonction est lui embarqué sur le pont pour gérer les éclairages du pont (cabine, tablier et gyrophare).
Je détaille tout cela dans l’épisode 3 ici et ici.
Tu as tout à fait raison, JRMI est une excellente option et, là aussi, après avoir joué avec l’Arduino je pense réserver son usage à des automatismes complexes, très adaptés à mon réseau. Me lancer dans une centrale personnelle n’a aucun sens.
Pour la partie logicielle, je n’ai pas encore décidé si je rejoins un projet comme JRMI ou si j’achète un iTrain ou équivalent.
En fait pour la partie CS, je n’ai absolument rien décidé, je réfléchis encore, je monte en compétence, je m’éclate avec les décors, j’ai encore le temps avant d’être devant un choix pas simple en réalité.
En tout cas, merci pour ta longue réponse qui alimente mes réflexions avec pas mal de matière à explorer.
J’ai contacté M. Noyelle et il m’a expliqué que le bâtiment avait effectivement une mezzanine qui servait pour la chaufferie. Et qu’il fallait de la place car c’était une chaudière de locomotive.
Comme j’ai prévu une chaufferie à part, effectivement mon huilerie peut avoir un plafond bien plus bas. J’ai prévu entre 3 et 4 cm.
Ce lien me semble faire référence à une version ancienne du logiciel Märklin, qui n’est plus disponible. La version actuelle a été blindée contre l’utilisation d’une Gleisbox. Mais l’autre est effectivement ce à quoi je pensais.
Après inspection, c’est un fil qui empêche le frotteur de se replier complètement. Un gros millimètre suffit à perturber.
Je voulais savoir si l’amplitude du frotteur est documenté chez Märklin et le cas échéant je vais enlever ce fil qui était présent pour d’éventuels soucis de conductivité sur le frotteur entre sa partie fixe et sa partie mobile.
Ce qui me fait poser une seconde question : avez vous remarqué ce type de problème sur vos frotteurs ?
Bonjour Julie
Ça m’arrive aussi parfois mais rarement avec des locos marklin.
As tu essayé cette solution qui a totalement résolu le sujet sur mon réseau? Mais qui je pense est plus destinée à résoudre un court-circuit rail/plot latéral.
Maintenant avec une photo du frotteur si c’est un fil qui bloque, autant faire en sorte de résoudre ça… (la loco a déjà été bricolée pour qu’il y ait un fil à cet endroit ?)
PS Je me suis trompé de post pour ce message, je vais le supprimer de son mauvais endroit
Mes aiguilles sont toutes équipées avec ce produit RZTec mais à mon avis il sert surtout à éviter les courts circuits avec les roues qui viennent toucher ces plots.
Bonjour,
Fil absolument inutile et qui entrave le bon débattement du frotteur de quasiment 1,5 à 2 mm.
A dessouder proprement en éliminant au maximum les traces de soudure.
Sinon, à remplacer par une pièce neuve de longueur équivalente (Märklin ou Roco silencieux, au choix).
Question auprès de l’intéressé, il s’agirait d’une précaution pour assurer la continuité électrique. Mais du coup elle gene sur les aiguilles élancées.
C’est noté, je vais opérer la machine dans la soirée. A priori le frotteur est neuf donc il devrait fonctionner sans problème. Au pire je le changerai, j’en ai un d’avance.
Le débattement du frotteur est indiqué dans la majorité des notices des loco Märklin (pour ne par dire toutes les notices). Un frotteur doit pouvoir remonter 2mm en dessus du plan de roulement, je te l’avais déjà dit…
Le fil compense un problème de frotteur peu ou pas usé mais vieux. Un frotteur qui travaille n’aura jamais besoin de cette béquille.
Je n’ai pas trouvé d’indication sur le débattement du frotteur. Et je n’ai pas souvenance de l’avoir lu dans la demi-douzaine de notices de mes achats Marklin (le reste des achats étant d’autres marques, pas vu non plus).
La 3066 qui me posait problème est arrivée sans documentation. Pas très grave puisqu’elle a été digitalisée avec un ESU. Le schéma éclaté de la 3066 ne nous apprend pas grand chose à ce sujet.
J’ai regardé aussi dans la doc de la 39678, rien non plus.
Bon je ne risque plus d’oublier cette information importante maintenant vu le nombre de tracas que j’ai eu avec mes aiguillages élancés, il me manquait celui là.
Il se trouve que j’envisage d’avoir pour Obourg une commande manuelle sur mes solénoïdes en parallèle de la commande par la mobile station, sans avoir un foutoir de fils dans tous les sens.
J’ai implanté un pupitre pour commander le pont et l’éclairage jour/nuit, c’était facile avec une connexion directe sur les entrées pull-up du M84.
Pour les aiguillages, c’est une autre histoire.
Du coup, ce boitier CAN-StellPult me parait extrêmement intéressant, compatible MS2 et plus tard CS2/CS3. Facile à brancher et à configurer.
L’un d’entre vous a-t-il déjà essayé ce type d’équipement ?
Cela doit bien marcher. Märklin a suffisamment bien conçu et documenté son bus CAN pour le permettre sans bidouille.
J’en avais développé une copie avec un ATTiny2313 (le petit frère des Arduino) et une paire de puce MCP2515/2551. Bon il n’a jamais dépassé le stade de l’essai sur breadboard.
PS la paire MCP2515/2551 peut être remplacée par la nouvelle puce MCP25625.