Oui vraiment une belle journée. Vivement la prochaine
Bonjour Manu,
je transpose ce travail sur une locomotive unifiée (BR 86, par exemple) en fin de carrière - et je me dis : chapeau ! C’est alors une loco qui a vécu, mais qui est encore entretenu, sans qu’on veuille pour autant lui faire gagner des concours.
Cependant… d’une, je connais un certain nombre de photos de la T12 à tous les âges, et je n’en connais aucune avec des traces de calcaire sur le flanc de la soute à eau. Le rebord est assez haut, si jamais ça déborde, ça s’écoule plus vers le devant… voici une photo de 1952 (les machines ne sont plus très jeunes) :
De plus, c’est une locomotive en époque I. Il est connu qu’à cette époque, les locomotives étaient repeintes très souvent ; en plus, on prenait soin de les astiquer et faire briller comme certains astiquent leur BMW le samedi après-midi…
Notamment les locomotives en service voyageurs étaient donc toujours nettes et propres. Pour exemple, cette photo d’une T14, âgée de 7 ans, dans le service que lui reprendrait une T12 peu après. Quelle propreté, elle a pu en rêver au début des années 1960 quand même les traits rouges disparaissaient sous la crasse…
On reconnaît des rayures verticales sur la soute à eau latérale, mais je me les explique plus par des balais de nettoyage que par du calcaire - et je remarque que le numéro, peint sur la soute comme pour ta T12, est clairement et nettement lisible, tout comme les autres inscriptions, et que les filets rouges qui contournent le flanc de la soute sont toujours visibles.
Comme dit, 50 ans plus tard les choses ont changé, l’effet de la guerre y a certainement contribué, mais pour un modèle en l’état des années 1910 je pense que c’est trop.
Après - c’est ta loco à toi, elle ne doit pas me plaire mais tu dois en être content.
Et, encore une fois, pour la fin des années 1960 qui m’intéresse principalement, il faudrait y aller comme tu l’as fait et d’année en année encore plus ; la main d’oeuvre devenait de plus en plus chère et les machines avaient fait leur temps, même les récentes BR 23 étaient crades et mal entretenues. La 38 1807 est - mise à part les bandages de chaudière mises en valeur - bien dans cet état de feraille roulante qu’on a pu observer au milieu des années 1970, pour une oeuvre de débutant c’est vachement bien réussi. La 130 TB encore plus, l’usure est indéniable mais plus discrète que pour la P8, c’est clairement une loco en fin de carrière mais dont on a encore besoin, qu’on maintient sans trop s’y investir (quel régal, le calcaire sur la pompe à air !)
Je n’y ai pas encore trouvé le courage… et quelque part, dans mon petit coin de nulle part avec un thème “si jamais…”, je peux partir du principe qu’on prenait le temps de soigner le matériel vapeur autant que les nouvelles diesel et électriques.
Tant qu’il a des connexions à 6 broches - oui. Sinon, il faut des adaptateurs de la prise réseau à 6 broches - j’en ai acheté, il y a un certain nombre d’années, chez tams, mais je ne sais pas s’il y en a encore au programme.
Je me permets de revenir sur ta conception avec la 6021 que je n’ai pas comprise. Est-ce qu’elle te servira uniquement pour la programmation d’itinéraires, et donc comme poste d’aiguillage digital ? Ou as-tu prévu une transition des trains entre une zone MS2 et une zone 6021 ?
Personnellement j’ai séparé aussi les appareils de la conduite, même si les deux sont pilotés par le fonctionnaire retraité sous Windows XP (puisqu’il n’est pas connecté au monde, c’est sans risque ; je pourrais aussi le mettre sous linux mais pourquoi ?), mais j’évite le passage entre deux centrales. Deux boosters branchés sur la même centrale sont sans souci majeur, dans mon cas, mais je n’ai même pas besoin de ça : les quelques rares locomotives fonctionnant en même temps ne surchargeront jamais le booster intégré.
C’est d’ailleurs ce que je pense chez toi aussi, si j’ai bien vu tu n’auras pas beaucoup de locomotives en marche en même temps, puisque tu les conduis manuellement ?
Finalement, je viens de lire votre périple du 1er février. Tout d’abord, heureusement qu’il n’y a pas de dommages corporels. Le feu, c’est méchant, et au village voisin, il y a quelques semaines, deux femmes ont trouvé la mort puisqu’elles n’arrivaient plus à sortir de la maison. Et la grande échelle est venue de Hochfelden, à une heure de route d’ici, puisque le SDIS 57 a décidé de ne plus en mettre à Fénétrange (8 minutes de route). Et pourtant, il y a beaucoup d’incendies puisque beaucoup de maisons sont encore chauffées au bois, même pas pourvus de chauffage central ou poêle à granulés.
Vous êtes sains et saufs ; le choc est profond, et j’espère que ton épouse trouvera le moyen de surmonter ce choc. Toi, tu as la CIC pour te changer les idées…
Merci pour tes observations chronologiques sur la patine.
Tutoriel : Motorisation facile d’un signal mécanique
Episode 456 • Les signaux mécaniques sont un véritable atout esthétique. Leur motorisation peut cependant inquiéter les débutants. Voici une technique accessible à tous pour un coût modique.
Cet article pourra intéresser tous ceux qui souhaitent motoriser une cible mécanique, qu’il s’agisse d’un signal mécanique ancien type carré ou disque, ou une cible pivotable type « D » ou « G » associée à un signal lumineux.
Lors de l’exposition organisée par l’AMCF 78 dans le cadre des festivités du 30ème anniversaire du Chemin de fer de la Vallée de l’Eure, je vous avais présenté une nouvelle enseigne « Le réseau de Saint-Léger » qui propose de la signalisation lumineuse et mécanique à des tarifs très abordables.
Cherchant, à cette époque, un signal mécanique pour la sortie de mon annexe-traction sur mon modeste réseau, j’ai donc acquis un carré violet mécanique auprès de ce fournisseur.
- Un beau signal et pas cher
- Choix du moteur MP5 de MTB
- Câblage du moteur
- ■ Câblage en 3 fils
- ■ Câblage en 2 fils
- Montage du signal
- Réglage du moteur
- Conclusion
Photo 3790 : Tutoriel motorisation facile d’un carré violet mécanique Le Réseau-Saint-Léger. Source : letraindemanu.fr
Un beau signal et pas cher
Dans ma pratique antérieure (1975/2000), j’ai eu l’occasion d’acheter des signaux lumineux et mécaniques Disque Rouge. C’était, à l’époque, le seul fournisseur à proposer une gamme assez complète de signaux français à un tarif abordable. Aujourd’hui, non seulement ces signaux sont esthétiquement dépassés, mais ils sont surtout proposés à un tarif vraiment prohibitif : selon le tarif en vigueur en février 2025, 86€40 un carré violet HO non motorisé, c’est franchement abusé ! Donc on oublie.
Puis, j’ai eu l’occasion d’acquérir, à la fin des années 90, deux signaux mécaniques LMJ. Chers certes, mais esthétiquement très réussis et livrés avec une motorisation par fil à mémoire de forme. Si l’artisan exerce toujours, ces signaux sont classés dans du haut de gamme, pas financièrement accessible à tout le monde (85€ le signal monté + 50€ avec motorisation montée, tarif 2024) sauf à l’acheter en kit… Et savoir monter ce kit délicat. De toute façon, il n’a plus de site internet depuis longtemps, donc pour le contacter et commander, c’est coton.
Le réseau de Saint-Léger, quant à lui, propose des signaux mécaniques à un tarif vraiment compétitif : 18€ [NDLR : tarif février 2025] le carré violet monté et fonctionnel. La motorisation est à prévoir en plus.
J’ai donc acquis un carré violet auprès de ce fournisseur. Livré parfaitement calé dans un emballage de polystyrène, le signal est vraiment joli. Il est réalisé en impression 3D à base d’acide polylactique. Les feux à leds sont pré câblés avec résistance soit au commun négatif soit au commun positif (à préciser à la commande ainsi que la couleur du mât). La cible est montée sur un axe en corde à piano qui dépasse largement sous le signal pour sa motorisation sous table.
Mon seul reproche concerne la couleur violette un peu flashy à mon goût. Une petite patine au jus crasse devrait pouvoir l’assombrir. Dernier point, mais qui concerne l’ensemble des fournisseurs : une résistance unique pour toutes les leds. Ce qui fait que le violet est moins lumineux que le blanc. Une résistance de valeur différente par couleur serait plus homogène.
Photo 3791 : Carré violet mécanique Ho Le Réseau Saint-Léger. Dans son emballage. Sur son support. Source : letraindemanu.fr
Choix du moteur MP5 de MTB
Dans un premier temps, j’ai opté pour une motorisation par servomoteur SG90 piloté par un décodeur accessoires, éléments vendus chez le même fournisseur. Mais j’ai vite été confronté à une problématique de paramétrage du servomoteur. En effet, d’origine le servomoteur pivote sur 1/8e de tour alors qu’il faudrait 1/4. Or, la Mobile-Station 2 (MS2) Märklin/Trix, si elle présente un indéniable rapport qualité/prix pour piloter les machines, n’est pas du tout intuitive pour les réglages de tels décodeurs d’accessoires, ni pour leur commande ultérieure d’ailleurs, puisque le keyboard n’est pas ergonomique. En plus, j’ai cramé le décodeur pendant ces essais infructueux.
Ne voulant pas m’avouer vaincu face à l’adversité, j’ai donc opté pour un moteur MP5 de chez MTB. Ce qui, au demeurant revient sensiblement au même coût d’environ 20€. J’ai donc découvert ce produit, souvent cité dans nos littératures, acheté sur le stand Loco-Revue à l’exposition de Dreux (voir le reportage vidéo ici). Le choix du MP5 est justifié par la présence de contacts auxiliaires qui permettent d’alimenter les leds du signal. Ce qui est un plus indéniable.
Les moteur MTB transforment un mouvement rotatif en mouvement linéaire. Il a été initialement conçu pour la motorisation d’aiguilles.
- Il peut fonctionner en courant continu ou alternatif, en numérique ou analogique.
- Mouvement lent
- Sa connexion est brochable avec détrompeur.
- Son câblage, en 2 ou en 3 fils, dépend de l’alimentation choisie. Commande par boutons poussoirs, inverseur MOM/MOM, Interrupteur ON/OFF/ON, commande numérique,…
- Deux sorties auxiliaires (permettant un rappel optique au TCC, une polarisation d’aiguille,…)
- Il est doté de contacts de fin de course
- Son débattement est réglable en 3, 6, 9 ou 12 mm
Photo 3792 : le moteur MP5 de MTB. Source : letraindemanu.fr
Câblage du moteur
Le câblage du moteur dépend du type d’alimentation.
■ Câblage en 3 fils
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C’est la technique 3 fils en commande numérique que j’ai utilisé
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Possibilité d’alimenter en courant continu ou en courant alternatif avec une tension comprise de 8 à 16 volts.
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Commande manuelle par Inverseur ON / ON, inverseur ON / OFF / ON, inverseur MOM / MOM, boutons poussoirs ou commande numérique par décodeur. En analogique, l’utilisation d’inverseurs MOM ou poussoirs nécessitent un appui pendant tout le mouvement. Possibilité de commande numérique.
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En commande numérique, utiliser un décodeur à relais (circuits de voie) type K84 Märklin (ou M84 Märklin ou équivalents d’autres marques)
Un bon schéma valant mieux qu’un long discours, voici les plans :
Photo 3793 : Plan de branchement électrique du moteur MP5 de MTB, commande manuelle. Source : letraindemanu.fr
Photo 3794 : Plan de branchement électrique du moteur MP5 de MTB, commande numérique. Source : letraindemanu.fr
J’ai fait le choix de brancher les leds sur une seconde sortie du décodeur. Ainsi, ma commande numérique étant séquentielle, l’inversion des feux est très légèrement retardée sans temps mort (aucun feu allumé). J’ai trouvé cela plus réaliste, mais c’est un choix personnel.
■ Câblage en 2 fils
Le site Le train de Jules ayant décrit le branchement 2 fils, il est inutile de faire redondance. Si cette technique vous intéresse, je vous invite à vous y reporter. Vous y trouverez également les plans de branchements du moteur pour un aiguillage polarisé ou un report au TCC.
Montage du signal
En premier lieu, on teste le signal : vérification de la bonne rotation de la cible et vérification des leds. Le signal étant livré avec une résistance montée, on peut tester directement à la sortie du transfo, de préférence une sortie en courant continu 12v. Personnellement, j’utilise la sortie traction d’un transformateur Fleischmann dédié aux accessoires à courant continu (éclairages bâtiments, lampadaires, leds à effet,…). Je bénéficie ainsi du rotacteur qui, aux 2/3 de sa course, délivre une tension d’environ 9v.
Dans du contreplaqué de l’épaisseur de votre support de voie (5mm pour ce qui me concerne), je découpe une plaque de 70×30 mm. Un orifice de dimensions a peine supérieure de quelques milmètres est pratiquée dans la support du réseau a l’emplacement du futur signal. Sur la face supérieure, je colle une plaque de Dépron 3mm (Toute la surface de mes modules est recouverte de Dépron 3 mm avant d’y installer le décor). Le Dépron, préalablement pulvérisé de Primer21 pour le protéger, est fixé à la colle cyanoacrylate Colle21.
Sur la face inférieure, je colle une plaque de contreplaqué 10mm de même largeur 30mm, mais plus longue de 15 mm à chaque extrémité. En effet, le signal sera installé ultérieurement par le dessous. La surlongueur de 15mm permettra sa fixation par vissage. Ainsi, le signal sera démontable facilement en cas d’intervention ultérieure sur la mécanique.
Je perce deux trous de 3mm de diamètre : le premier, à peu près au centre de la plaque, sert à passer la tringle de commande de la cible, le second, légèrement en arrière du premier, les fils des leds. Dans le trou recevant la tringle, il faut installer un petit tube en laiton. N’en ayant pas sous la main, j’insère en force deux pièces métalliques issues de fiches bananes femelles Märklin auxquelles j’ai retiré l’entourage coloré en plastique et la vis). Deux mis bout à bout font pile poil la bonne épaisseur.
Photo 3795 : Plan de montage du support pour signal carré violet mécanique. Source : letraindemanu.fr
On passe les fils. On les introduit dans de la gaine themorétractable de 1,6 dont la seule utilité est de fournir un fourreau de protection aux fils.
On colle le signal : Le Dépron est enduit de Primer21. Le signal est ensuite collé à la Colle21. C’est du one-shot. La Colle21 est appliquée au cure-dent à l’extrémité avant de la base du signal. Bien-sûr suffisamment loin de la tige. Pour la partie arrière, on a plus de surface.
Les fils, dans la gaine, sont ensuite collés sous la plaque de base du pied du signal vers l’arrière du support. C’est une double sécurité pour éviter un arrachage accidentel lors des travaux suivants et ne pas gêner les mouvements du futur moteur.
On place ensuite ce montage, à l’envers, dans un verre à soft, de 7 à 8 cm de diamètre intérieur et de 12 cm de profondeur. C’est le moyen que j’ai trouvé pour travailler sous le signal sans risquer de le détériorer.
Photo 3796 : le carré violet mécanique Le Réseau-Saint-Léger installé à l’envers dans un verre à soft et le moteur positionné provisoirement. Source : letraindemanu.fr
Un fois fixé, il faut plier la corde à piano. Opération délicate, car la tige est robuste et le signal l’est moins. Il faut donc deux pinces. Attention, avant ce pliage, il y a lieu de bien regarder le mouvement de la cible qui doit s’effacer latéralement du côté opposé à la voie.
Photo 3797 : réglage de la tige du signal carré violet mécanique Le Réseau-Saint-léger. Source : letraindemanu.fr
Réglage du moteur
Les moteurs MTB MP5 sont livrés avec :
- Un bloc moteur réglable. Il est doté de contacts de fin de course.
- Un connecteur brochable à 12 connexions rapides et détrompeur
- Une tige métallique
- Un ergot de réglage (pion)
- Notice
Le principe du signal repose sur le principe de la transformation d’un mouvement rotatif en mouvement rectiligne.
Il faut donc ouvrir le moteur pour accéder au disque et régler la course de la translation : on a le choix entre 3, 6, 9 et 12 mm de débattement. On place le pion dans le trou désiré. La notice est très claire. Pour ce qui me concerne j’ai opté pour du 9mm. L’opération est simple, mais nécessite d’être soigneux pour le remontage. Il faut tester le moteur avant son installation.
Dans la plaque de base du réseau, je perce un trou de diamètre 6 mm sur le coté du signal opposé à la voie. J’insère, par le haut, une vis de 6 x 120 mm à tête plate. Le choix du diamètre est imposé par la longueur et surtout la stabilité nécessaire du support a venir. Par le dessous, j’insère une rondelle et un écrou afin que ma vis soit parfaitement fixée et immobile.
Un second écrou et une seconde rondelle sont insérés puis j’insère une plaque de CP 10mm de taille 7 x 10 cm préalablement percée d’un trou de diamètre 6 à une extrémité. Enfin, rondelle et écrou viennent immobiliser la plaque sur cette tige à environ 7 cm de profondeur par rapport au dessous du réseau. Cette plaque va servir à poser le moteur MP5. Les dimensions de la plaque et la longueur de la vis permettent un réglage ultérieur du moteur quelle que soit la façon dont à été pliée la tige de commande de la cible. On a ainsi une marge de manœuvre plus large.
La tige fournie avec le MP5 est coupée de telle sorte qu’elle prolonge la tige du signal jusqu’au moteur. Une gaine thermorétractable de 1,6 mm fait jonction entre les deux tiges. Elle va servir d’amortisseur et évite de forcer la rotation du signal au delà de sa course. Encore une sécurité.
Le plus délicat est ensuite de trouver la place exacte du moteur pour assurer une rotation correcte de la cible. Un élastique permet de fixer provisoirement le moteur pendant ces réglages. Dans la mesure où le moteur a un mouvement linéaire de gauche à droite alors que la cible doit rotationner sur 90°, le positionnement du moteur se fait avec le moteur arrêté sur sa mi-course et la cible pivotée à 45° (attention la cible pivote du côté opposé à la voie).
Lorsque la position du moteur est enfin trouvée, il suffit d’utiliser un scotch double face pour le fixer définitivement.
Ce montage permet de conserver une liaison amovible entre le signal et son moteur par la gaine thermorétractable. Ceci autorise donc un démontage sans casse en cas d’intervention sur l’un des éléments en cas de panne.
Photo 3798 : Installation de la motorisation du carré violet mécanique vue du dessous du réseau. Source : letraindemanu.fr
Photo 3799 : Installation de la motorisation du carré violet mécanique vue du dessous du réseau. Source : letraindemanu.fr
Conclusion
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La motorisation du signal mécanique par le moteur MP5 de MTB est accessible à tous, quelle que soit l’alimentation électrique (AC / DC) et le type de commande (analogique ou numérique).
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Contrairement au servomoteur qui nécessite un bloc de pilotage onéreux, le MP5 se suffit à lui-même.
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Le raccordement des tiges par gaine thermorétractable permet de séparer le bloc moteur du bloc signal, très utile en cas d’intervention ultérieure sur l’un ou l’autre des éléments. La gaine joue également le rôle d’amortisseur pour ne pas forcer la rotation.
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Le montage d’un premier signal nécessite de prendre son temps pour bien appréhender les mouvements et les branchements. Les suivants seront plus simples.
Photo 3800 : le signal mécanique carré violet installé en sortie de dépôt est désormais fonctionnel. Source : letraindemanu.fr
En conclusion, je suis ravi d’avoir choisi ce signal mécanique chez Le Réseau de Saint-Léger. Indéniablement, il apporte une vraie plus-value esthétique au réseau. Sa motorisation est plus simple qu’il n’y parait, il ne faut donc pas hésiter à se lancer, d’autant que le coût total du signal motorisé est d’environ 40 euros. Sa seule restriction est la nécessaire place sous le réseau, d’environ 15 cm pour travailler facilement.
Emmanuel
Avertissement : Cet article a été rédigé en toute indépendance éditoriale sur la base de références achetées en exposition auprès des fournisseurs. Les marques et produits mentionnés ne revêtent donc aucun caractère publicitaire. Les informations techniques sont communiquées à titre strictement indicatif et sont susceptibles d’évolution dans le temps.
Très chouette tuto et ces signaux sont vraiment très beaux !
Amicalement,
Vincent
J’ai eu l’immense chance de rencontrer Manu lors de notre rencontre entre Franciliens.
C’est un super Tuto , comme a son habitude. Notre maitre “Jedi” du modélisme. Bravo.
Phil,
Merci pour ce tuto Manu !
Je connaissais l’existence des moteurs MP5 via cette vidéo, effectivement pour des aiguillages : https://www.youtube.com/watch?v=K5uxqO-LXLI
Si vous ne connaissez pas cette chaine, en résumé c’est comment créer un réseau en mode tranquille (avec les erreurs que cela induit). Je regarde ses vidéos de façon régulière.
Circulations sur le réseau Ho d’Errol
Episode 457 • Plusieurs modélistes se sont retrouvés autour du grand réseau Ho d’Errol. Chacun ayant amené quelques matériels, les circulations ont été nombreuses et variées. Retour en images sur cette rencontre réussie.
Cet article a été publié sur le fil ouvert par Errol consacré à son réseau
Bonjour les amis.
Quelques explications sur mon manque de participation actuellement.
En premier lieu, des inquiétudes sur ma santé, avec brochoscopie et biopsies pulmonaires. Les résultats se sont finalement avérés bénins.
La gestion de l’incendie majeur qui a détruit la résidence secondaire de mes Beaux-parents le 1er fevrier dernier. Elle a nécessité plusieurs déplacements sur site pour rencontrer les experts et maîtres d’œuvre.
Pour couronner le tout, ma belle-mère (84 ans) a fait un triple AVC il y a un mois. En plus de sa longue hospitalisation, il a fallu déménager le beau-père (87 ans) dans une résidence adaptée.
Et pour conclure, mon beau-père est hospitalisé en soins intensifs cardio depuis hier, avec un pronostic très incertain.
Y’a des périodes comme çà…
A plus tard
Bon courage Manu !
Vianney
Bon dis donc… Tu les cumules…
Bon rétablissement et bon courage pour la suite Manu !
Amicalement,
Vincent
La bonne nouvelle c’est que ta santé va mieux.
Cela va te permettre d’affronter les mauvaises autres nouvelles.
Ch’ui de tout cœur avec toi Manu…
Phil,
Hou là.
C’est effectivement beaucoup à la fois. Et malheureusement, vous attendent encore beaucoup de paperasse et de décisions à prendre parfois d’un jour à l’autre.
Bon courage à toi, et aussi à ton épouse et ses parents !
Bonjour Manu,
“Le privilège de l’âge qu’ils te disent …” je t’en foutrais moi du privilège de l’âge. !!!
En espérant que tout ces ennuis s’estompent rapidement pour vous. Bon courage en tout cas.
Cdlt,
Claude papaciela
Bonjour Manu, oui je te souhaite aussi beaucoup de courage pour les jours à venir. Amicalement, Bernard
Bonjour Manu,
Bien longtemps que nous n’avons plus de tes nouvelles …
Ce petit message simplement pour voir comment les choses se passent pour toi et ta famille, les problèmes de santé et la gestion de l’après incendie.
En espérant que ça s’arrange,
Amicalement,
Vincent
Bon courage a toi,
Olivier
Bonjour a tous,
Merci a vous pour votre sollicitude.
Depuis plusieurs mois maintenant, nous avons du gérer les hospitalisations puis les déménagements de mes beaux-parents.
Il m’a aussi fallu me déplacer plusieurs fois en Baie de Somme pour m’occuper de la résidence secondaire de ces derniers. Et la gestion du chantier, qui n’a toujours pas débuté, réserve déjà des surprises : il faut un moral en béton et des nerfs d’acier pour gérer des professionnels qui ne cassent pas des briques…
Bon, actuellement on est en vacances avec mon epouse et Blacky.
Bientôt de retour
Bon courage à vous face à cette avalanche d’em***des. Profitez de vos vacances, autant que faire se peut ! A bientôt !
Content d’avoir de tes nouvelles
bonnes vacances !
Vianney