Très belle ambiance nocturne. C’est très réussi. La différence entre le blanc chaud à l’extérieur et pur est un peu marquée, mais c’est probablement l’appareil photo qui l’accentue. Et c’est une bonne idée.
Vraiment très réussi comme toujours Manu !
Sympa, l’ambiance. Sympa.
J’adore et finalement le fond blanc c’est très bien. La différence de couleur de température sur les lampes ne me choque pas.
Il faudrait ajouter mon petit programme Arduino Nano sur le néon de l’abri pour générer des glitch’s …
A ta disposition pour t’en préparer un que tu pourrais connecter intercalé entre la led actuelle et ton alimentation accessoires. Normalement l’Arduino devrait s’alimenter sur ton 3V.
On se capte à mon retour du Sénégal, fin novembre et je te prépare ça ! J’en ferais deux car j’ai aussi l’abri de la Halte du Parc à préparer pour le dépot d’Obourg (mais sur du 12V d’alimentation sur le Nano).
Edit: j’ai un doute, le Nano a besoin de 3.3V minimum … ton alim fait vraiment 3V ou un peu plus ?
L’alimentation de l’éclairage est faite a partir de la sortie traction d’un transfo Fleishmann 6735 (14v maxi) dont le rotacteur est à 2/3 de la course
Et la led (qui contient déjà une résistance d’origine) est alimentée avec une résistance de 4,7 Kohms. Je n’ai pas de voltmètre donc aucune idée de la tension.
Aujourd’hui, travaux de peinture et de patine sur deux wagons couverts. Bientôt un tuto
● un couvert à parois métalliques de la poste allemande époque IV (Märklin 00760-17)
● un couvert à parois bois de la DRG époque II (Märklin 46160)
Des arbres «faits maison» pour mon réseau Ho
Épisode 336 • L’agencement de ma gare est presque terminé. Il me faut maintenant aménager une colline verdoyante avec des arbres volumineux.
Avant de réaliser les arbres, j’implante une cabine d’aiguillage. Je colle deux bandes de Dépron 3mm superposées, entre la voie, le quai et la colline. Le but est ici, comme en début de travaux, de noyer le ballast de la voie C Märklin/Trix.
S’agissant d’une maquette Cités miniatures recyclée de mon ancien module ZI Nord, le montage avait été décrit dans l’épisode 141. Je vous invite à vous y reporter. C’est un produit idéal pour découvrir la gamme de cette enseigne. Une led blanche à été installée à l’intérieur pour rendre visible l’ouvrier Preiser aux leviers de commande. Cette led a été branchée sur le circuit d’éclairage des quais avec une résistance de 10 KOhms. Une piste en sable relie l’entrée de la cabine à l’extrémité du quai. Une barrière de sécurité protège le personnel de la voie.
Photo 2799 : Tutoriel pour fabriquer des arbres sur mon réseau Ho. Source : letraindemanu.fr
Confection de la colline
La petite colline est sculptée dans du polystyrène extrudé plus facile d’utilisation que le polystyrène expansé car il ne produit pas de billes. On travaille au cutter (avec des gants de protection anti perforation) et avec des râpes. La structure, généralement composée de plusieurs couches, est entièrement collée à la colle vinylique non diluée. Attention, les colles à solvant attaquent les polystyrènes.
Photo 2800 : fabrication du relief sur réseau Ho avec du Polystyrène. Source : letraindemanu.fr
Il faut avant tout protéger le décor déjà existant avec un champs opératoire imperméable (un sac plastique recouvert de papier ménage fait l’affaire), protéger le fond de décor éventuellement en l’écartant et installer une paroi provisoire sur le coté. Je recouvre la structure de plâtre préparé avec un mélange d’eau et de colle vinylique. Le plâtre est travaillé avec de petites spatules. Des écorces taillées en long sont insérées pour étager les niveaux. De petites pierres sont insérées dans le plâtre pour simuler des rochers émergeants.
Photo 2801 : Protections avant travaux sur réseau Ho. Source : letraindemanu.fr
Une fois le plâtre sec, je travaille comme pour mon talus généralisé précédent : j’applique, à sec, de la terre naturelle. On peut aussi déposer de petits graviers par endroits. Le tout est ensuite humidifié au brumisateur puis collé à la colle vinylique diluée appliquée à la seringue. Des bouts de tapis herbeux MBR reçoivent au dos un peu de colle vinylique diluée puis sont posés sur la terre. Je travaille cette pose avec des pinces brucelles coudées, ce qui évite de manipuler ces beaux tapis avec les doigts. Avec mon aiguille montée sur la seringue, j’injecte un peu de colle vinylique dilué dans les «racines» du tapis. On laisse sécher au moins une journée.
Photo 2802 : Implantation de tapis d’herbe MBR, cailloux et écorces sur le réseau Ho. Source : letraindemanu.fr
Des arbres pas chers
Les arbres sont des éléments de décor essentiels souvent négligés par le modéliste en raison du budget qu’ils représentent. On a le choix entre le commerce spécialisé qui propose des arbres industriels rabougris et standardisés à moindre coût (Noch, Faller,…), ou le commerce artisanal qui présente de beaux spécimens, mais forts onéreux (Sylvia, Arboris Miniature,…). Si la production artisanale convient parfaitement à un petit diorama, on est vite confronté à la problématique du prix unitaire : une forêt, c’est un grand nombre d’arbres !
Partant de ce constat, j’ai, par le passé, réalisé plusieurs arbres «faits maison» : les premiers arbres de ma ZI Nord ont été confectionnés à base de branches de thym. Les arbres de fond de décor de mon ancien dépôt ont été réalisés à base de branchages. Ces derniers ont d’ailleurs été recyclés pour la gare de Sainte-Gisèle. Si, dans les deux cas, la hauteur me convenait (un arbre représente 4 à 5 étages), leur volume n’était pas satisfaisant.
Photo 2803 : Arbres faits maison recyclés de mon ancien dépôt et implantés dans la gare Sainte-Gisèle sur le nouveau réseau Ho. Source : letraindemanu.fr
Pour mon nouveau réseau, j’ai donc cherché de nouvelles solutions tout en préservant ma trésorerie en mettant à profit mes ballades estivales en vue de ce projet paysager. Les promenades montagnardes avec Madame et Blacky ont été profitables pour collecter branches, mousses, écorces et pierres.
Des produits basiques
Pour ces arbres, il ne m’aura fallu qu’un peu de colle vinylique, de la colle en bombe, de la laque à cheveux, des flocages, des branchages et herbages naturels. La sélection des branches est longue car il faut tomber sur des éléments aux bons diamètres et dotés de ramifications qui pourront être retaillées à l’atelier. Les chutes de tailles seront d’ailleurs conservées pour confectionner des stères de bûches. Rien ne se perd !
Pour les branchages et la mousse, il est indispensable de les passer au four à micro-ondes pour les stériliser. Oubliez le four classique, sinon vous obtiendrez des arbres dignes des forêts landaises après un incendie. On peut profiter de ces promenades pour collecter aussi de petites pierres, d’autant s’il y a un gisement avec des teintes spécifiques localement.
Les arbres
Un premier grand arbre est confectionné. Je choisis un beau branchage adapté. J’applique au pinceau sur les ramifications de la colle vinylique non diluée.
Photo 2804 : Encollage à la vinylique non diluée des ramification d’une branche collectée en promenade. Source : letraindemanu.fr
J’y colle des herbages qui vont donner le volume de l’arbre. Ces herbages reçoivent ensuite une couche de colle en bombe (au dessus d’une large feuille de papier publicitaire pour ne pas abimer votre espace de travail).
Photo 2805 : La mousse naturelle collectée lors de promenades est collée sur les ramification pour donner du volume. Source : letraindemanu.fr
Au dessus d’une feuille de papier alu, je dépose un flocage vert foncé Heki 1561. Le surplus de flocage qui tombe au fur et à mesure que l’arbre est tourné est ainsi récupéré. Rien ne se perd ! Nouvelle couche de colle en bombe puis nouveau flocage Heki 1561. On répète ainsi l’ opération avec un flocage plus clair Heki 1560 jusqu’à obtention d’un bel arbre de 20cm de hauteur. Un voile de laque à cheveux est pulvérisé sur l’arbre comme étape finale. On peut bien-sûr varier les teintes. Nos détaillants proposent de vastes choix en textures et couleurs.
Photo 2806 : Un arbre fait maison pour le réseau Ho. Source : letraindemanu.fr
Un second arbre de 24cm et un arbuste de 8cm sont confectionnés avec la même méthode. Les trois arbres sont implantés sur la colline. Quelques vaches offertes par Alain Sénès (alias Moduleho sur nos réseaux sociaux) apportent un peu de vie à cet espace champêtre.
Photos 2807 et 2808 : Un arbre de 24 cm fait maison pour le réseau Ho. Photo 2809 : Les nouveaux arbres plantés sur la colline à la sortie Ouest de la gare Sainte-Gisèle. Source : letraindemanu.fr
A suivre : les éclairages du quai en ilot, pose des plaques de gare et premiers voyageurs sur les quais.
Emmanuel
Cet article est rédigé en toute indépendance éditoriale et ne revêt aucun caractère publicitaire. Les marques, enseignes et produits utilisés ne sont cités qu’à titre strictement informatif. Les données techniques et tarifaires sont susceptibles d’évolution.
Excellent.
Je vais faire pareil.
Patine d’un wagon couvert Ho
Épisode 338 • Plusieurs de mes wagons doivent passer à l’atelier peinture. Pour cette nouvelle séance de patine, je travaille sur un wagon couvert Ho avec des moyens accessibles à tous.
Plusieurs wagons ont été livrés ces derniers mois à la compagnie. Ils nécessitent de passer à l’atelier peinture pour recevoir une patine. Lors de cette séance, je vais travailler sur un wagon postal (Deutsche Bundespost) à parois métalliques, époque IV (Märklin 00760-17). Ce wagon faisait partie initialement d un coffret de 24 wagons.
Photos 2812 : Tutoriel patine wagon couvert à parois métalliques Märklin 00760-17, époque IV. Source : letraindemanu.fr
Une technique accessible à tous
Les travaux sont réalisés aux peintures acryliques (Pébéo, Amsterdam) appliquées aux pinceaux. Ces peintures se trouvent très facilement dans les rayons arts graphiques. Toutes les dilutions sont à base d’alcool à 70°. Ce diluant s’évapore très vite et diminue les temps de séchage. Les pinceaux sont de petits pinceaux ronds à poils souples 3/0 et 5/0 pour les détails et petits pinceaux plats à poils souples pour les surfaces. C’est donc une technique accessible à tous.
Il est nécessaire de disposer d’une loupe sur pied pour peindre les détails.
Roues, tampons et ressorts
Je retire les essieux. Les flasques de roues sont peintes avec une rouille brune : mélange d’ocre rouge et d’ombre naturelle. On met de côté. Avec le même mélange, je peins les lames de ressorts et les boisseaux de tampons.
Photos 2814 : Tutoriel patine wagon couvert à parois métalliques Märklin 00760-17, époque IV. Le wagon avant travaux. Source : letraindemanu.fr
Volets et tringleries
Avec un gris graphite (gris métallique), je peins les volets et tringleries, les poignées et les arrêts de portes, les marchepieds centraux.
Photos 2815 : Tutoriel patine wagon couvert à parois métalliques Märklin 00760-17, époque IV. Peinture gris métallique sur les volets, tringleries, poignées et marchepieds centraux. Source : letraindemanu.fr
Retouches de peintures
Sur ce wagon à parois métalliques, je repeins quelques panneaux avec un mélange d’ocre rouge et d’ombre brûlée. L’idée est ici de reproduire ces retouches sur les wagons réels. Les couleurs sont en réalité très variées comme en témoignent les modèles trouvés sur le net. On peut d’ailleurs ne repeindre qu’une partie de panneau.
Les renforts de caisse
Les renforts de caisse sont peints (pinceau 3/0) avec de l’ombre naturelle très diluée. Comme nous n’avons besoin que de très peu de peinture, cette dilution est faite sur du papier aluminium : une toute petite noisette de peinture et une ou deux gouttes l’alcool à 70°. La dilution étant importante, il sera nécessaire d’appliquer une seconde voire une troisième passe. Bien attendre entre chaque passe, car cette peinture fonce au séchage.
Photos 2816 : Tutoriel patine wagon couvert à parois métalliques Märklin 00760-17, époque IV. retouche de peinture sur les panneaux et ombre naturelle sur les renforts de caisse. Source : letraindemanu.fr
Le jus crasse
Le «jus crasse» est la solution de nettoyage de mes pinceaux et dans laquelle j’ai aussi versé mes restes de mélanges de mes travaux de peintures depuis plusieurs années. Cette solution est à base du solvant de dilution : alcool à 70° pour mes peintures acryliques, solvant Humbrol pour les peintures de cette marque. Ces deux jus crasse sont conservés dans des pots en verre à couvercle hermétique type flacon de conserve.
Le jus crasse ne s’utilise jamais pur ! Il est beaucoup trop concentré.
Avec une seringue dédiée, je prélève 1ml de jus crasse et le mélange avec 3ml d’alcool à 70° dans un petit godet. Ce mélange est appliqué au pinceau plat à poils souples :
– sur le toit : du centre vers les bords ;
– sur les parois : du haut vers le bas.
Il est indispensable d’attendre 12heures entre chaque couches, car ces peintures foncent en séchant. Le résultat devra être observé à la lumière naturelle. Il sera sans doute nécessaire d’appliquer 2 à 3 passes pour obtenir un voile grisâtre efficace.
Photos 2817 : Tutoriel patine wagon couvert à parois métalliques Märklin 00760-17, époque IV. après application du jus crasse. Source : letraindemanu.fr
Vernis
Après séchage complet, et si tous vos travaux de peinture vous conviennent, on applique un voile de vernis mat en bombe (gamme modélisme). Ce vernis va faciliter l’accroche des terres à décor que nous allons utiliser.
Terres à décor
Je travaille les terres à décor (TAD) avec des pinceaux à poils souples exclusivement dédiés à ces produits. Les terres à décor étant des pigments de peintures, ils peuvent d’utiliser soit en dilution, soit à sec. J’utilise cette dernière technique. Je travaille au dessus d’une feuille de papier aluminium. Je peux ainsi récupérer le surplus de TAD entre chaque couleur. Rien ne se perd.
• Ombre naturelle : je trempe le bout d’un petit pinceau à poils rond dans le pot. Au dessus du pot, je tapote le pinceau pour faire retomber le surplus. Puis je tapote le pinceau au-dessus de la zone à traiter, dans ce cas précis, le bas de caisse. Débutez par une face avant ou arrière, moins visible que les faces latérales dans les rames en mouvement. On n’oublie pas les traverses porte tampons. Avec un second pinceau rond, large (type pinceau à maquillage), j’étale verticalement. Si besoin, on répète l’opération. Puis on fait la même chose sur les trois autres faces.
• 0xyde rouge (rouille) : avec un petit pinceau dont les poils souples ont été coupés courts, je dépose un peu de TAD sur les ressorts de suspensions et les sabots de freins. Je frotte pour incruster (attention à la fragilité des sabots). Puis je frotte avec une petite brosse à poils durs. On fait de même sur les trois autres suspensions et sur les quatre boisseaux de tampons.
• Rouille brune : on fait les mêmes opération que l’oxyde rouge, aux mêmes endroits.
• Brun roux : idem.
Lorsque ces travaux vous conviennent, on passe un voile de vernis mat en bombe sur tout le wagon à une vingtaine de centimètres. Attention, ce voile de vernis risque d’atténuer, voire d’anéantir le travail aux terres à décor. Si tel est le cas, rien de grave : il suffit de répéter les opérations.
Photos 2818 : Tutoriel patine wagon couvert à parois métalliques Märklin 00760-17, époque IV. après application des terres à décor. Source : letraindemanu.fr
En fin de travaux, on nettoie les bandes de roulement des roues (gomme Roco ou coton-tige avec un peu d’Eau écarlate), on remonte les essieux en mettant une toute petite goutte d’huile.
Un wagon patiné de plus dans mon parc. Il a bien meilleure allure qu’à sa sortie d’usine et n’a plus cet aspect plastique d’origine.
Photos 2819 : Tutoriel patine wagon couvert à parois métalliques Märklin 00760-17, époque IV. Avant et après travaux de peinture et de patine. Source : letraindemanu.fr
A suivre : patine d’un wagon couvert à guérite, à parois bois, époque II.
Emmanuel
Bientôt une caténaire sur le réseau de la CIC ?
En vue de l’acquisition d’une motrice électrique d’occasion, j’envisage l’installation d’une caténaire au moins sur ce qui sera le circuit principal. Vos conseils et observations seront appréciés
L’arrivée prochaine d’une motrice électrique m’interroge sur l’opportunité de l’installation d’une caténaire. En raison du coût, j’envisage une caténaire d’occasion installée sur ce qui sera le circuit principal, c’est à dire hors embranchements futurs. Ce choix économique imposé par le budget aura en plus l’intérêt à obliger à des changements de machine pour la desserte des embranchements.
De ma vie antérieure, je n’ai utilisé que les anciennes caténaires Märklin des années 80, certes increvables et faciles d’utilisation, mais pas très esthétiques à coté des productions Viessmann, peut-être plus fragiles cependant.
Dans une première tranche je souhaite équiper la gare de Sainte-Gisèle. Avec seulement une voie principale et une voie d’évitement, il semble que le coût en occasion pourrait être absorbable. Compte tenu des poteaux à installer, il me faut l’intégrer avant la fin des travaux qui sont déjà bien avancés.
La voie principale mesure 140 cm entre les deux pointes de cœur. la voie d’évitement est à géométrie de voie C avec des aiguilles standards en R2.
Sur la voie principale, je dois avoir la place de caser la base des poteaux entre la voie et le relief négatif, donc coté spectateur.
Pour la voie d’évitement, je n’aurais pas d’autre choix que de les incruster dans le quai coté BV, à moins que des poteaux doubles puisse être implantés dans le quai en ilot (problème des lampadaires déjà installés).
J’opterai bien pour les plus grandes sections de caténaires disponibles pour limiter le nombre de poteaux, d’autant que la gare est sur 3 modules démontables de 58 cm chacun.
Auriez vous des observations, conseils et suggestions ?
Merci d’avance.
Facile et pas cher. faut juste trouver les bonnes textures en forêt…
Manu,
Effectivement, de longues sections reviennent moins cher, cependant, vu la qualité de tes réalisations, s’il y a des courbes, tu vas le regretter car il faudra les courber.
De plus, il faut planifier à partir des aiguillages pour la meilleure pose. Moi, j’ai installé la caténaire Sommerfeld, je pense un peu moins chère que Marklin/Viesman mais existant pour de nombreux pays et type de courant.
Tu peux également envisager de la fabriquer toi même, il y a des tutos sur le sujet. Tu peux ainsi respecter la pose réelle et faire les section que tu veux.
Bonne réalisation
Marc
Hello,
vaste sujets que la caténaire. Personnellement j’ai pris le parti de ne poser que les poteaux et de renoncer à tendre les sections de câbles.
avec le pantographe bridé, les locomotive roulent sans souci et sans arracher ce qu’il y a sur le passage.
Pourquoi ce choix:
-
A nôtre échelles le câbles de contacte serait tellement fin si on le reproduit à l’échelle.
-
une catenaire tendu et quasi fonctionnelle implique parfois un nombre de poteaux importants ce qui allourdi la perspective.
-
Et simplement la crainte de “gâcher” mon décors avec une catenaire trop importante
voilà
en pleine réflexion sur la partie HOm de ma maquette
Bonjour,
J’aime bien la patine du wagon réalisée avec subtilité. Peut-être faudrait-il insister un peu sur le toit, encore que sur les photos on ne le voit pas trop.
Bonne continuation
Philippe
Le faire toi même
Inspire toi tu forum d’à côté, je crois que tu suis déjà les travaux de Martial
La faire toi-même, surtout toi qui est très manuel.
À l’achat, cela coûte très cher, peu importe la marque.
Je suis en Märklin/Viessman. Le rendu me plait mais j’y ai laissé un gros billet.
A.
Bonjour Manu, bonjour tout le monde,
Pas mieux que Julie et Antoine : à faire soi même. Il existe (mais tu le sais) une ‘‘foultitude’’ d’exemples sur le net de la fabrication de caténaires. En plus avec ton expérience et ton savoir faire en modélisme, tu devrais arriver à un fort beau résultat.
Cdlt,
Claude papaciela
Bonjour Manu
Sur mon reseau, j’ai opté pour de la catenaire de chez Viessman. Elle a l’avantage d’etre “abordable” au regard d’autres marques mais elle est très germanique dans sa conception.
N’avais tu pas fait un article sur ton blog en son temps sur ce sujet ?
Thomas
Il y a bien eu un article sur une caténaire tendue. Mais c’etait l’article d’Alain-Georges, contributeur invité. Je n’étais donc pas l’auteur des travaux.
Eclairages du quai central de la gare
Episode 341 • Après avoir installé les réverbères sur le quai principal, j’installe les éclairage du quai central de la gare Sainte-Gisèle.
De mon réseau précédent, j’ai retenu une leçon majeure : Sur un module, on travaille toujours en commençant les travaux du fond pour terminer par les décors de premier plan. Cela évite les contorsions et la casse d’éléments parfois couteux.
Photo 2823 : Installation des lampadaires sur le quai central de ma gare Ho. Source : letraindemanu.fr
Des lampadaires modernes
Voulant varier les éléments de décor, j’ai opté pour des lampadaires modernes doubles. Ils diffusent une lumière blanc froid qui tranche ainsi avec les réverbères du quai principal. Ce subterfuge permet de suggérer au spectateur que cet établissement de pleine ligne a été modernisé au fil des ans, ce qui renforce son ancienneté.
Photo 2824 : Installation des lampadaires sur le quai central de ma gare Ho, vue panoramique. Source : letraindemanu.fr
Pour mémoire, toutes les lignes d’alimentation électrique ont déjà été préparées lors de l’étape du câblage des modules (Voir photos 2596 et 2597). Chaque ligne est dotée d’une résistance de 3,9 KOhms. Il ne me reste donc plus qu’à souder les fils des lampadaires sur les câbles correspondants. Les soudures sont protégées par de la gaine thermorétractable de Ø 1,6mm.
Les lampadaires sont implantés dans des jardinières à base de boulons comme sur l’autre quai. Les luminaires sont calés dans de la mousse synthétique récupérée d’un vieux jouet à Blacky (avec Blacky, les jouets ont une durée de vie somme toute très limitée), puis collés à la cyanoacrylate Colle21. Un peu de terre naturelle recouvre le dessus du sol. Quelques gouttes de colle vinylique solidifient le tout. Des bouts de buisson fleuri MBR entourent les pieds pour égayer le quai avant l’arrivée des premiers voyageurs.
Photos 2825 à 2829 : Les lampadaires sur le quai central de ma gare Ho. Source : letraindemanu.fr
A suivre : Pose des plaques de la gare et premiers voyageurs
Emmanuel