La "Rue de Suède" revisitée en Marklin Digital

J’avais cru comprendre que le virage se fait devant une porte … mais j’ai du mal comprendre :).

@+

En fait le module 4 sera un module d’angle visible. Il sera à droite du dépôt. C’est juste après ce module 4 que je dois passer une double porte. Et c’est la que ça se corsera.

Pour éviter les soucis de jonctions de rails avec un pont mobile (mauvaise expérience du pont mobile devant la fenetre), j’envisage peut-être une solution avec du Train-Safe. Plus cher, mais sans doute plus fiable. En plus, ça ferait de vitrines.

Pour éviter tout risque de chute si le Train Safe est retiré, j’envisage d’isoler électriquement le futur module 4 et le module 5 qui sera de l’autre côté : la phase alimentée par le module 4, le neutre par le module 5, le pont Train-Safe fait la jonction électrique. Sans pont, pas de courant traction sur ces tronçons.

Voilà l’idée.

Ok cool, je n’avais pas complètement rêvé :slight_smile:

Oui j’ai lu Philippe en parler récemment, je ne sais plus où sur le site. C’est effectivement une approche qui mérite étude car ça me parait bien plus sécurisé et fiable que des trucs bricolés …

Excellente idée que je mets dans un coin puisque j’ai moi aussi vraisemblablement un passage devant une porte à moyen terme :slight_smile:

Bonne suite !

Relooking d’une citerne à gasoil pour le dépôt

Dépôt

[ Patine ] ● Épisode 312 - Parmi l’important lot offert par Jeanne et Olivier, j’ai retrouvé des éléments d’une citerne Kibri. Je vais la relooker pour augmenter la capacité de stockage du carburant traction dans mon petit dépôt. Cet objet de décor volumineux masquera idéalement la limite du module.

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Les pièces sont en vrac, décollées et bien poussièreuses. Je commence par retirer les étiquettes “Shell” qui sont bien collées. Ponçage et acétone pour retirer ces marques inappropriées au dépôt, puis nettoyage des pièces à l’eau savonneuse avec un pinceau-brosse, rinçage et séchage. La seule tuyauterie est démontée.

Photos 2221 et 2222 : La citerne Kibri, objet des présents travaux. Source : letraindemanu sur Canalblog

Peinture

Les quatre pièces sont collées à la colle Faller. La citerne est ensuite repeinte à la peinture Humbrol 140 gris aluminium : trois couches de peinture diluée au White-Spirit pour obtenir une peinture assez fluide.

Socle

Pendant que cette peinture sèche, je confectionne le bac de rétention. En effet, en cas de fuite de la citerne, celle-ci doit être implantée sur une dalle avec des murets étanches. N’ayant plus de Carton-Plume® pelable (produit idéal pour reproduire un socle en béton), j’utilise un simple carton de 3mm d’épaisseur. Je la découpe en un morceau de 60 x 80 mm.

Pour les murets, je vais utiliser des touillettes en bois de 110 x 9 mm. Ayant leurs bouts arrondis, je découpe deux sections de 60 mm de long et deux sections de 70 mm avec la scie à chantourner électrique. Ces quatre morceaux sont ensuite collés à la colle vinylique à prise rapide pour former un cadre rectangulaire.

Une fois bien collé, j’applique vu Gesso® au pinceau plat sur le socle et sur les faces internes et externes du cadre. Il est ensuite travaillé avec un petit rouleau en mousse qui lui donne un aspect béton. Le Gesso® est un apprêt acrylique pateux, sorte de peinture blanche très épaisse. On laisse sécher. A la fin du séchage, avec une petite aiguille je trace quelques fissures, puis on peint le tout avec un gris béton acrylique (50% blanc + 25% noir + 25 % ocre claire). On n’oublie pas les tranches supérieures.

Photos 2223 à 2226 : Peinture de la citerne et du socle béton. Source : letraindemanu sur Canalblog

Patine

C’est à ce stade que la citerne va être métamorphosée. Je travaille avec des terres à décor (TAD) appliquées à sec avec différents types de pinceaux ronds à poils souples. Toutes les applications se font verticalement du haut vers le bas.

Je débute par une passe d’ Ombre naturelle (ABE 676) sur l’ensemble de la citerne. J’en profite pour passer également sur le socle.

Sur les arrêtes supérieures je passe un peu de blanc (FR décor 19).

Sur quelques parties des parois, j’applique de la rouille en quatre étapes : Oxyde red (Artitec 70.003) en premier, suivi d’une Rouille orange (Artitec 70.001), d’une Rouille brune (Artitec 70.002) et d’un Brun roux (Artitec 70.009). L’ idée est donc de démarrer par la couleur la plus vive puis de finir par la couleur la plus terne, en estompant les différentes teintes.

Je dépose un peu de Noir (Artitec 70.005) sur les robinets.

Je termine avec une passe de Noir poussière (Heico 67 013) sur l’ensemble de la citerne et sur le socle.

Lorsque le tout me convient, je fixe avec un voile de vernis mat en bombe.

La citerne est collée sur le socle et ce dernier est fixé à son emplacement à la colle cyanoacrylate Colle21.

Photos 2227 et 2228 : la citerne Kibri relookée est en place dans le dépôt. Source : letraindemanu sur Canalblog

Il ne manque plus qu’un escalier pour accéder au toit de la citerne et travailler l’environnement de la dalle.

Emmanuel

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Super !
Je suis content de voir que les équipements du dépôt progressent !

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Patine du locotracteur Märklin Köf II BR 323

Parc moteur

[Patine (locomotives)] ● Episode 313 - Unique engin diésel de la compagnie, le Köf offert par Antoine est dédié aux manœuvres dans la zone industrielle. Une légère patine lui donnera un aspect usagé plus en adéquation avec ses fonctions

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Le locotracteur Köf est un engin de manœuvre d’origine allemande lancé vers 1932. Son objet initial était d’accélérer la cadence des trains mixtes sur les petites lignes en prenant en charge la manœuvre des wagons dans les gares, évitant ainsi de mobiliser la machine de la rame pour ces dernières. Plusieurs versions ont existé avec des motorisations différentes (gasoil, benzol, accumulateurs et une vapeur), plus ou moins puissantes (30 cv pour les plus anciennes à 240 cv pour les plus récentes) et des cabines ouvertes ou fermées. « Köf » désigne ici une minilocomotive diesel à transmission hydraulique. De très nombreuses compagnies ont possédé ces machines qui, de fait, existent en d’innombrables versions et livrées.

Le Köf étant très simple d’utilisation, son emploi était facile (personnel moins qualifié) et surtout moins coûteux en entretien.

Sa circulation en ligne était très rare compte tenu de sa vitesse maximale de 30 puis 45 km/h. Voilà un engin qui conviendra donc parfaitement aussi aux équipes de petits entretiens de ma ligne industrielle aux heures creuses.

Le modèle offert par Antoine est la référence Märklin 36827 du programme 2011. A cabine fermée et en livrée rouge grenat, il a une puissance de 90 cv.

Quelques modèles sur le net

Avant toute chose, on se promène sur le web pour récupérer quelques photos du modèle réèl. Comme cet engin a été très utilisé, on trouve assez facilement des photos couleurs.

letraindemanu (2229) Köf source Sebtus de

Photo 2229 : Köf II Br 323 270-9, Photo de Sebastian Tuschick, à Flensburg 1982. Source : Sebtus.de.
Photo 2230 : Köf II Br 323 346-7, Photo de Gerd Hahn. Source : Bahnbilder.de.

La seconde photo, de Gerd Hahn, me semble plus proche de ce que je souhaite reproduire.

La machine avant travaux

La patine doit être légère. En réalité, les personnels entretenaient plutôt bien leurs matériels. De toute façon, il est plus facile par la suite d’accentuer une patine trop légère que d’atténuer une patine trop prononcée. Les travaux se font sans démontage car l’engin est minuscule et des fils relient le toit avec le décodeur et le châssis.

Photos 2231 à 2233 : Le locotracteur Köf II Br 323 Märklin 36827 avant travaux de patine. Source : letraindemanu sur Canalblog

Protections des vitrages

Les vitres et les feux sont protégés par du chaterton découpé aux bonnes dimensions. Une bande est également collée sur les flancs de roues de chaque coté. De même je protège les attelages Télex. Il reste en place durant tous les travaux.

Photos 2234 à 2236 : Protection des vitrages, des feux, des roues et des engrenages sur le Köf II. Source : letraindemanu sur Canalblog

Peinture " Jus crasse "

Je débute par un " Jus crasse " pour donner un aspect poussière. Pour mémoire, le " jus crasse " est une solution de tous mes résidus de travaux de peinture (acrylique) précédents diluée avec de l’alcool à 70° et conservée dans un pot en verre avec couvercle hermétique. Comme c’est une solution assez concentrée, je prélève 1 ml de cette solution que je dilue à nouveau avec 1 ml d’alcool dans un petit pot. On obtient donc un mélange grisâtre très allongé.

Je fais une première passe sur tout l’engin. Je débute par le toit et le dessus du capot, du centre vers les bords. Puis les parois verticales, du haut vers le bas. On n’oublie pas les tampons. L’application se fait avec un pinceau plat à poils souples.

On laisse sécher une demi-journée pour évaluer le résultat. En effet, les peintures acryliques foncent en séchant.

Peinture du toit

La peinture du toit se fait avec une ocre claire. Je dépose sur la palette 0,5 ml de " jus crasse " auquel je mélange une pointe d’ocre claire. Je débute la peinture par les joints de rivets puis j’étale au pinceau plat du centre vers les bords.

Peinture noire

Comme pour l’ocre, je mélange 0,5 ml de " jus crasse " avec une pointe de noir. J’applique sur les rivets de la caisse et j’étale au pinceau plat.

On laisse sécher.

Photo 2237 : le locotracteur Köf après travaux de peinture. Source : letraindemanu sur Canalblog

Terres à décor

La suite des travaux se fait aux terres à décor avec des pinceaux à poils souple dédiés.

Je débute par une rouille orange sur le bas de caisse, près de la main courante avant.

Puis du noir poussière esentiellement sur le capot avant, la grille de face avant et la face arrière de l’engin.

je dépose ensuite une passe d’ombre naturelle sur les marchepieds.

Le travail se fait avec parcimonie puis est fixé avec un voile de vernis mat en bombe. Ce vernis va considérablement atténuer la patine, voire l’anéantir. Il faut donc recommencer les différentes étapes à plusieurs reprises jusqu’à obtention du résultat souhaité.

Conseil : à chaque étape, prendre des photos de votre travail puis les regarder sur ordinateur de bureau : Les photos en gros plan sont d’excellent révélateurs des défauts.

Photo 2238 à 2241 : Le Köf après travaux de patine aux terres à décor. Source : letraindemanu sur Canalblog.

A ce stade, le résultat me convient. Je laisse sécher vingt-quatre heures le vernis avant de retirer les caches. Il me faudra sans doute faire quelques retouches sur ces points qui ont été occultés en bas de caisse.

Une journée plus tard, le Köf manoeuvre le wagon-atelier du service “Voies et Bâtiments”.

Photos 2242 à 2248 : Le Köf manoeuvre le wagon-atelier du service " Voies et Bâtiments " de la CIC dans la ZI Nord.

Malheureusement, après ces quelques tours de roues, le Köf vient de tomber en panne. Le moteur tourne dans le vide et la machine n’avance plus. Rien à voir avec les présents travaux de patine. Sans doute un problème de pignons. La Br 80 a été chargée de rapatrier le Köf à l’atelier.

A suivre donc

Emmanuel

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Bonjour Emmanuel,

Patine très réussie !

Je vais m’en inspirer pour une Kof III qui est en approche.

Bon week-end

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Bonjour Emmanuel.
Une superbe patine comme je les aime, ni trop ni pas assez.
Cela donne beaucoup de relief à ce petit Köf.
Bon WE.

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Que devient le Kof et sa panne de transmission ?

Toujours en attente de la pièce par Marklin-shop Allemagne.
C’était annoncé dispo sous 2 à 3 jours + délais d’expédition…

Tu as trouvé la pièce fautive ? C’est chouette ça. Bientôt un retour à l’exploitation …

Oui c’est la pièce 21 sur l’éclaté : un pignon double. Le grand engrenage va à la vis sans fin du moteur à travers le châssis et le petit engrenage attaque les pignons des roues. C’est des engrenages en plastique. C’est le petit engrenage qui a cassé.

Extension sud du réseau : construction du module 4

Menuiserie

[ Module 4 ] ● Épisode 314 - Les vacances estivales sont propices aux gros travaux d’infrastructure. Bonne période donc pour débuter le chantier du module 4, module d’angle qui accueillera le site montagnard de " Cordon-les-Bains ".

Quand on habite un appartement HLM, il n’est pas toujours facile d’effectuer de gros travaux en raison du bruit des machines-outils. La période estivale est plus propice à ces chantiers, beaucoup de voisins étant partis en vacances. Je profite donc de ce mois d’août pour lancer les travaux d’infrastructure du module 4 titré " Cordon-les-Bains ".

Ce nom n’est pas choisi au hasard mais se veut un clin d’œil nostalgique au village de Cordon en Haute-Savoie. Le vrai village de Cordon n’a pas de gare. Situé à une dizaine de kilomètres au dessus de Sallanches qui le dessert par le rail, mon père fut l’un des tous premiers clients de l’hôtel « Le chamois d’or », lancé alors par Régis et Anne Petit-Jean qui perpétuaient la tradition familiale, qu’il découvrit dans le cadre d’un séjour thérapeutique au décours d’une tuberculose. Ce très bel hôtel, aujourd’hui classé **** (il était classé *** à cette période), avait un cadre magnifique. Ce superbe chalet bâti dans la pure tradition savoyarde avait un charme fou et était d’un raffinement qui le classait dans les établissements haut de gamme déjà à cette époque. Je me souviens encore de nos grandes tablées familiales (mon oncle et mes grands-parents nous y rejoignaient parfois) devant les larges baies vitrées donnant sur le massif du Mont-Blanc enneigé et le feu crépitant dans la cheminée. Car en plus du cadre luxueux, les repas y étaient succulents.

Photo 2250 : Hôtel " Le Chamois d’or " à Cordon (Haute-Savoie) en 2020. Source : site officiel de l’hôtel.

Dans les années 70’, nous nous y rendions, en train auto-couchette, chaque hiver aux vacances de Noël. C’est dans cette station que j’ai appris à pratiquer le ski. C’était une époque où la neige naturelle était abondante à Noël dans cette station familiale située à seulement 1000 m d’altitude, le haut du domaine culminant à 1600 m. L’été, ce beau chalet était un ravissement pour les yeux avec son fleurissement raffiné. C’était, et c’est toujours aujourd’hui, une hostellerie de grand standing.

Ce module se veut donc être une transcription, très libre je vous l’accorde, de cette ambiance savoyarde de mon enfance, avec ses chalets, ses troupeaux de vaches tintant au son des cloches à une époque où le pastoralisme était encore bien présent dans nos alpages, le bruissement des rivières,… Même si, à ce jour, je me questionne toujours sur la saison à représenter : difficile choix entre la neige hivernale, qui trancherait nettement avec les thématiques des autres modules, le réseau " tour de pièce " se prêtant bien à ces variations, ou la version estivale et ses fleurissements. Je n’ai pas encore décidé à ce stade de la réflexion. Ayant, dans ma vie antérieure de modéliste déjà tenté l’expérience du module hivernal, le résultat m’avait convaincu et cette version me tente même si j’appréhende un peu la reproduction de la neige avec les nouveaux produits disponibles mais que je ne maîtrise pas.

Un module d’angle visible

Contrairement au petit module de liaison " aveugle ", c’est à dire non visible du spectateur, qui relie ZI Nord à ZI Est (le dépot), le module 4 sera, lui, un module d’angle visible des visiteurs sur deux faces, la face avant légèrement en biais et la face latérale. Il a les dimensions hors tout suivantes : largeur 65 cm / 40,5 cm , longueur 102 cm et hauteur (de façade) 45 cm.

Ce sera un module " de parade ", uniquement destiné à mettre en valeur les trains en mouvement dans un bel environnement montagneux. Pas de gare donc, ni même de halte, juste un signal lumineux type guidon d’arrêt puisque notre ami Alain Sénès, alias Moduleho sur nos réseaux, m’a offert un superbe exemplaire analogique fabriqué par Leb-Modélisme, d’autant que ce signal sera bien visible de la façade latérale. La voie sera en voie C. La courbe sera au rayon de R1 36 cm. Initialement, j’avais prévu du R2, mais cela empiétait trop sur l’espace décor du premier plan que je voulais préserver. Ce n’est pas bien grave : mes trains sont courts et roulent paisiblement. La voie est en légère pente : de + 7,5 cm côté dépôt à + 8,5 cm coté opposé. En réalité, si le plan des rails est relativement horizontal, l’effet profondeur est ici créé par un module légèrement plus bas que les autres, avec du relief négatif qui permettra d’étager les quelques bâtiments.

Photo 2251 : l’emplacement du futur module 4 se situe à droite du dépôt et fera partiellement face à ZI Nord. Source : letraindemanu sur Canalblog.

Côté décor justement, j’ai prévu un cadre plus montagnard et verdoyant (ou enneigé) pour mettre en valeur des productions de chez " Bois Modélisme ". Deux chalets ont retenu mon attention : le " chalet des Grisons " et le " chalet de tourisme ". Ces belles pièces trouveraient place au premier plan, desservis par une route. Un petit parking pourrait accueillir des véhicules de l’époque de mes parents : Renault 16, Peugeot 504,… Cela fait plusieurs années que ces maquettes me tentent. Ce nouveau module sera donc l’occasion de mieux connaitre les produits de cet artisan hexagonal.

Photos 2253 et 2254 : les chalets proposés par Bois-Modélisme et envisagés sur le module 4. Source : site officiel de Bois-Modélisme

Voilà pour la présentation générale de ce nouveau module. Il est temps d’attaquer les travaux de menuiserie… avec la musique d’époque en version originale du clip ! Un tube cultissime qui vous rappellera sans doute de bons souvenirs.

Emmanuel

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Bonjour,

Sympa la musique :slight_smile: et le nouveau module !

Pas tenté de faire une construction intégrale pour le chalet ?

@+

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Nous avons la chance d’avoir quelques artisans français de talent qui nous proposent de jolis produits… Autant alors en profiter. Je doute d’avoir les compétences et le matériel suffisants pour faire mieux qu’eux ! J’ai testé Cités miniatures et Architecture et passion. Au tour de Bois-Modélisme ! Et sur le module d’après, je verrais si Minifer propose un produit qui sera en rapport avec le thème qui sera retenu. car autant le patriotisme économique vis-à-vis de nos détaillants m’a un peu refroidi, en revanche je n’ai jamais été déçu de nos artisans.

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Une bien belle histoire et un projet bien intéressant.
Philippe

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Bonjour Manu,

Vivement les premières photos de ce module d’angle !

Je suis sur que tu vas réussir à effacer le côté très serré de la R1 avec le décor.

A bientôt

Thomas

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Tu n’as pas moyen de placer un cercle complet de rayon 1 (24130) pour avoir une circulation fermée dans cet angle ? Avec 2 aiguillages courbes, tu fais les embranchements avec ZI Nord et ZI Est …

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Non. J’ai juste de quoi faire un 1/4 arc de cercle mais pour passer les ouvrants, je vais opter pour le Train-Safe. C’est ce que j’avais fait sur mon réseau précédent et ça marchait bien.

Les pièces commandées chez Marklin pour le Kof ont été expediées…

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