Débuter (ou pas) en 3 rails ?

Comme le dit mfxman, en effet, le système 3rail permet une meilleure captation du courant. En 2R souvent les modélistes optent pour des unités multiples pour pallier aux éventuels problèmes de perte de contact.

En général seules Marklin et Hag produisent en métal, les autres grandes marques optent pour du plastique.
Mon avis personnel est que le plastique permet de produire des détails plus fins, d’un autre côté, j’ai une Re 6/6 Marklin qui a fait une chute d’un peu plus d’un mètre une fois, c’est le parquet qui se souvient de la rencontre, j’ai juste du changer un tampon sur la loc :smiley:

Bonjour,

je crains que la bonne captation du courant appartient au passé… Les picots de voie K au contraire ont tendance à s’encrasser très rapidement.
Et la bonne captation par un bon (!) frotteur ne faisant pas de doute, celle par les roues est plus difficile. Les machines nouvellement construites chez Märklin (je suppose que c’est pareil pour Hag) sont faites pour pouvoir être mises en 2rails. Donc, plus de captation par toutes les roues avec transmission par l’intégralité de l’essieu et sur tout le châssis. Il y a des languettes de captation derrière les roues comme en 2rails.
De plus il suffit de faire rouler un 3016 Schienenbus ou une 3029 petite loco vapeur trois essieux hlp pour voir que la prise de “masse” - mieux dit :de courant par les roues n’était déjà pas fameuse il y a 40 ans. Par contre, le vieux matériel Märklin, le 3016 en premier, profite du principe des châssis de voiture et wagon en métal et des attelages en métal. Ainsi en attelant des wagons à sa loco on multiplie le nombre d’essieux donnant contact au rail et améliore ainsi la prise de courant.
Le matériel remorqué moderne a des caisses en plastique, et si les attelages conduisent du courant c’est pas le “0” du rail mais le “B” des picots ou équivalent, pour assurer l’éclairage intérieur. D’ailleurs, le vacillement des éclairages intérieurs des voitures GL en plastique est très parlant…
D’où l’apparition massive de wagons nettoyeurs sur les rails à picots.

La voie C est très jolie. Juste que la géométrie des aiguillages Märklin en général laisse à désirer.

J’aime bien entendre le glissement des frotteurs. Mais parfois j’ai pu être jaloux des deux-railistes qui n’ont pas besoin de fixer un frotteur pour avoir du courant : il suffit de monter deux essieux tête-bêche et d’enrouler le fil de contact autour de l’essieu pour avoir les deux pôles. J’aurais alors éclairé mes voitures trois essieux…
En cc il était aussi plus facile de construire l’éclairage de tête et fin de convoi - juste avec deux diodes. Mais depuis le digital ils ont perdu cet avantage.

Il me semble que chaque système a ses avantages et ses faiblesses. Il faut bien regarder ce qu’on cherche, parce qu’on ne peut pas avoir les deux à la fois. C’est comme la Jeanne et la Marie, il faut choisir. Mais dans l’ensemble les deux se valent.

Merci à tous pour vos réponses constructives et bien argumentées. :sunny:
J’ose penser que vous avez fait le tour du sujet.
Comme indiqué précédemment, mon projet est reporté…mais pas abandonné !

Tu as raison, cependant sur les dernières productions Marklin vapeurs que j’ai pu acquérir, je trouve qu’il y a un progrès, le métal est plus lisse et les détails plus fins (notamment sur les trois modèles suivants 37015, 39550 et 39030). L’outil de production a semble-t-il évolué. Ce qui m’embête plus, c’est le tender qui est de plus en plus souvent en plastique (certainement pour des raisons de coûts).

Pour être précis je pensais surtout au matériel moderne quand je comparais le plastique au metal.

Il faut reconnaître qu’une machine vapeur en full métal c’est quelque chose d’impressionnant!

Bonjour à Tous,
Comme l’a dit quelqu’un sur ce fil, je fais parti de ceux qui trouvent l’herbe du voisin meilleur.Étant en voie C trix ( deux rails) ,
Comme la dit Wolfram pour les voies de retournement il faut des modules.
Pour la rétro signalisation, les modules sont à consommation de courant. L’investissement est deux fois plus cher car sur les module AC, on branche 16 contacts alors que les DC uniquement 8.
Toujours pour la retro, les contacts sont plus aléatoires, car en 3 rails tous les essieux mettent à la masse. Sur du deux rails, uniquement les essieux alimentés ( conducteur);Donc plus sensible aux faux contacts Je galère avec des petites loco alimentées par un essieux ( DHG500) sur les aiguillages,Elles s’arrêtent en permanence.
En deux rails, il vaut mieux alimenter les cœurs d’aiguillage, ce qui impose de faire très attention à la prise en talon de ceux-ci.
Donc si c’était à refaire je prendrais peut être du 3 rails. Je trouve que les picots sont maintenant bien intégré et que des solutions pour éviter les court circuits on été trouvées. seul le bruit du frotteur me gène un peu ( et encore)
Sincèrement Mark

Personnellement, le seul point qui me désole, c’est que la voie K semble (définitivement ?) mise de coté par Märklin. :frowning:
Pour le reste, je ne regrette en rien mon choix du 3R, le seul système qui permet réellement un tracé de voies libre, sans avoir à ce tracasser des polarités.

Bonjour
Je partage tout à fait ce qui vient d’être dit concernant le 3 rails et la voie** K.**
Il y a maintenant un certain nombre d’années que j’ai remplacé la** M** par la K.
Sans être compteur de boulons, j’avais un petit complexe par l’aspect jouet M lors de visites d’expos.
Effectivement il y a une énorme simplicité de créations en étant affranchi des polarités pour aiguilles et autres retournements.
Par contre peu de temps après déjà à l’époque, le détaillant rue Réaumur était pessimiste pour l’avenir de la K avec l’avènement de la C .
Exemple concret du laissé de côté de cette voie, j’ai demandé jeudi un devis Au Pullman pour des petits éléments 2235, 2234 etc verdict délai 3 semaines car,
" pas tout en magasin" ?. Aussi pas d’aiguille triple prévue dans le style 2273 !
Meilleure source “en français”?
Pour la “prise de masse” lors d’une récente transformation d’une Jouef en Märklin, par simple conexion d’un shunt on obtient (pour cette loco) 8 roues conductrices,
plus de soucis sur aiguilles.
Bon 3 rails
Francis

Bonjour à tous,

J’ai fait comme Obelix, je suis tombé dans la marmite du 3R quelques mois après ma naissance avec un coffret Märklin que le père Noël m’a offert alors que je n’avais même pas 2 ans :smiley:

Et depuis 60 ans je n’en étais pas sorti … pourtant j’en ai très souvent eu envie en voyant la quantité de modèles modernes électriques et diesel SNCF disponibles en 2R comparée à l’indigence en 3R.

Finalement il y a 3 ans j’ai acheté 2 locos et 4 ou 5 wagons à l’échelle N, quelques bouts de rail et aiguillages à la même échelle, histoire de voir et je ne le regrette pas … depuis j’ai une vingtaine de locos, pas loin d’une centaine de voitures et wagons et un petit bout de réseau à l’échelle N en construction avec un pont transbordeur, un pont tournant et une quinzaine d’aiguillages.

Le passage au système 2R ne m’a nullement perturbé, faire une boucle de retournement en 2R avec l’électronique du 21ième siècle est un jeu d’enfant, même la gestion d’un pont tournant est assez simple… et les petites machines 2R captent très bien le courant sur des rails de bonne qualité et même sur les aiguillages.

Donc je dirais que techniquement chaque système a ses avantages et inconvénients et je conseillerais au débutant de choisir le système dans lequel il trouvera le plus facilement les modèles qu’il souhaite acquérir, les rails qui lui plaisent le plus, etc…

On peut toujours modifier des modèles 2R pour le 3R mais si au final on fait cela pour plus de 50% des modèles qu’on achète, autant se mettre au 2R.

Bonne journée :sunny:

Bonjour à tous,

Mais vous avez tous oublié la différence FONDAMENTALE entre les deux systèmes : en trois rails, il y a un** merveilleux “forum francophone pour les passionnés de märklin”** où les membres ne passent pas leur temps à s’insulter et à s’entre-tuer ! :laughing:
Bon, c’était juste une boutade, je n’ai pas pu résister, tant certains Forums sont mal tenus… (Merci Daniel, entre parenthèses, pour ton travail).

Plus sérieusement, j’ai la chance de suivre le développement de deux réseaux en parallèle : celui en deux rails de mon beau-père (réseau assez énorme) et le mien (plutôt petit).
Les “+” du système Märklin :

  • les qualités électriques de la voie (je parle de la voie C, je ne connais pas la voie K). Les faux contacts sont plutôt rares et l’entretien de la voie est beaucoup plus simple qu’en deux rails. De plus les roues des locos ne s’encrassent pas à la vitesse de l’éclair…
  • la facilité de construire ou d’essayer un plan de voies grâce à la géométrie de la voie C : la conception avec le ballast intégré évite à peu près tout problème de géométrie au moment de la pose… et après ! (le sytème roco présente sans doute les mêmes qualités (?) ; la voie profi-fleischmann : oui, c’est certain !!)
  • le système est conçu pour jouer et non exclusivement pour mettre en vitrine… Donc sans doute quelques concessions sur le plan visuel (la hauteur des boudins de roues par exemple… obsession de ceux qui ne font pas tourner leurs trains), mais des locos qui déraillent un peu moins fréquemment. Sans parler des voitures d’autres marques - encensées dans certaines revues de locomotives - qui tombent en petits morceaux au fur et à mesure qu’on les manipule… (même avec le plus grand soin)

Le système garde à mes yeux l’avantage si l’on souhaite jouer.

Cordialement,

Entièrement d’accord.
Pour moi, le principal intérêt du modélisme ferroviaire, c’est de jouer au train électrique !
:cheers: :cheers: :cheers:

Bonjour à tous,

Tout ces arguments étaient vrais dans les années 70/80 mais depuis beaucoup d’eau est passée sous les ponts et les choses ont grandement évolué.

On n’est plus à l’époque où Jouef faisait des rails en profilé d’acier creux (à noter que Märklin en faisait autant à cette époque), avec des éclises en acier mou … Aujourd’hui les rails du système 2R sont toutes en maillechort avec des éclises en acier à ressort qui font un excellent contact et ne se déforment pas, ces rails offrent un excellent roulement, un entretien facile et les contacts sont excellents.

L’encrassement rapide des roues ne se produit qu’en analogique, mais en digital qu’on soit en 2R ou 3R l’encrassement des roues est identique.

Quant à la facilité de construction qu’offre la voie C, on la retrouve de façon identique en 2R si on opte pour la voie C Trix, mais la voie C présente de gros défauts à mes yeux:

  • aspect jouet, pour moi c’est juste une voie M modernisée
  • roulement bruyant
  • offre en appareils de voie extrêmement limitée
  • absence de rail flexible, ce qui supprime toute liberté quant aux rayons de courbure employés, ce qui nécessite de jongler avec des coupons de compensation dès qu’on veut compliquer un peu le dessin du réseau, etc. donc finalement beaucoup de contraintes dans le tracé d’un réseau.

Pour mon ancien réseau Märklin j’avais opté pour la voie K qui propose une excellente voie flexible permettant de faire des entrées en courbe en forme d’hyperbole (pas d’horribles passages brutaux de la droite à la courbe), permettant d’adapter le rayon de courbure comme on le souhaite sans aucune contrainte (on peut par exemple faire un quai de gare en courbe très légère), minimisant le nombre de contacts (on coupe le bout de rail qu’il faut à la longueur souhaitée au lieu d’empiler des éléments de compensation) … En voie K on peut faire 10 mètres de rails en droite, en courbe, en zigzag,… avec seulement 11 éléments (10 contacts) … combien en faut il en voie C ?
En 2R tous les fabricants proposent des éléments flexibles …
A l’échelle N Peco propose des éléments flexibles de 92 cm … ce qui correspond à un élément de voie de 1,70m à l’échelle HO qu’on peut tortiller à sa guise sans aucun raccord :smiley:

Bon dimanche :sunny:

Bonjour à tous,

Les deux réseaux dont je parle ont tous les deux été commencés très récemment (l’un à la fin des années 2000, l’autre en 2012). Ils sont donc numériques, modernes et assez loin de la voie Jouef… et de l’analogique. Pourtant l’encrassement des roues n’est pas le même… C’est un constat, pas une spéculation.

Cordialement,

Il faut sûrement chercher l’explication ailleurs que dans la différence 2R/3R !!

Cela peut être dû par exemple à un excès de lubrification du matériel ou à l’utilisation d’une huile trop fluide ou à un local plus poussiéreux, etc.

En analogique il y avait une explication qui est que le courant continu crée un champ électrique qui attire la poussière, mais en digital un signal DCC est sur le plan électrique identique à un signal Motorola/mfx, donc il n’y a plus de raison technique expliquant cela.

Personnellement je n’ai pas constaté que les roues de mon matériel à l’échelle N (système 2R digital) s’encrassaient plus vite que celles de mon matériel Märklin, je dirais même que c’est plutôt le contraire probablement parce que l’abondance de paliers en plastique auto-lubrifiant réduit considérablement les besoins de lubrification …

Enfin pour moi c’est loin d’être un critère que je prendrais en compte pour choisir un système plutôt que l’autre.

Bonne journée :sunny:

Bonjours CHAROST , bonjour à tous ,
moi mes début dans le train le voici : 2 ans je jouais au train en bois 4 ans du Mehano p’tit réseau en rond thème western puis j’ai voulu agrandir . J’avais fait une gare 3 voies et pour mes 5 ans j’ai reçu deux wagons Märklin moi bien content d’avoir reçu ça je file jouer … (n’oublions pas que märklin a les roues en métal et mehano en plastique les wagons )donc je les accroches à ma composition je passe l’aiguillage … hop des étincelles et le trains déraille :exclamation: 7 ans coffret de départ märklin my world ( anciennement start up ) et la c’était le coup de foudre pour le 3 rails et depuis cette date je suis toujours et je resterais en 3 rails :wink:
Bonne chance pour ton projet qui promet d’être :cheers: Bonne continuation et bonne semaine :smiley:
@+
Sacha

Je pense que la raison est “mécanique”, le contact patin/picots est généralement très bon et pour le retour (ce n’est plus aussi vrai sur les locos modernes) il y a plus de roues pour établir le contact avec LES rails.

Bonjour,
Ça aussi ce n’est plus forcément vrai… La bonne prise de “masse” de jadis se faisait par les attelages et tout le train derrière. Une loco seule roulait moins bien… Et à voir le frémissement des éclairages dans les voitures 27cm…

Pour l’encrassement je me demande si la forme de la tête de rail et le profil des roues n’y sont pas pour quelque chose.
En même temps - jadis sur M j’ai régulièrement enlevé une couche noire des roues (qui me collait sur et sous les ongles après, à la grande joie de ma maman).

Bonjour à tous,

Cela fait 60 ans que je joue avec un train Märklin et comme Wolfram je me souviens des séances de nettoyage des roues de mes locomotives et wagons Märklin à l’aide d’un cure dents … Je me souviens aussi que les picots de mon ex-circuit en voie K s’oxydaient très vite dès que le circuit n’était plus utilisé pendant quelques semaines et qu’il fallait du temps avant que les frotteurs aient fait le ménage correctement, d’ailleurs j’avais éprouvé le besoin d’acheter un wagon Roco nettoyeur de rails essentiellement pour que la rétrosignalisation fonctionne sans défaillance :no:

Personnellement je suis convaincu que la réputation de bon fonctionnement des machines Märklin n’a rien à voir avec le système 3R, ni même avec un moindre encrassement des roues et des rails …

Mon point de vue est que cette réputation a ses origines dans le bon vieux moteur Märklin qui, aidé par la masse souvent élevée des machines, présente une grande inertie, même en coupant le courant les anciennes locomotives Märklin parcourent 20 à 50 cm sur leur ère … cela permet de gommer l’effet des micro-coupures de courant … C’est encore mieux que les volants d’inertie que les constructeurs rajoutent aujourd’hui …

Sur un circuit Märklin un peu encrassé, les locomotives crachent des étincelles parce qu’elles passent en force sur la crasse grâce à leur inertie …
Sur un circuit 2R, les vielles locomotives Jouef ou Méhano s’arrêtaient par manque d’inertie…

Mais depuis les choses ont bien changé, les constructeurs de 2R ont rajouté des volants d’inertie, des prises de courant sur toutes les roues, il y a même des décodeurs équipées de super-condensateur qui permettent aux locos de rouler sur plusieurs cm sans capter le courant…

Bonne journée :sunny:

Bonjour à tous,
Bonjour Jean-Louis, :wink:

Hum… :scratch: …en lisant ceci, sur notre forum (Märklin), je serais (presque) tenté de dire (amicalement bien sûr !) que cette analyse est, disons, un peu orientée… :unamused:
Sur l’essentiel des différents points évoqués, tout en respectant l’avis de chacun, mon analyse prendrait plutôt une orientation différente… :arrow_right:

*1) Aspect jouet ? ***
Dans la mesure où le ballast est destiné à recevoir une “bonne patine” ; sûr qu’à l’état brut, on peut faire mieux…
(mais je me demande avec quel autre type de voie “ballastée” on pourrait établir une quelconque comparaison :question: …mes références : la Jouef des années 50/60 et la Tourelle avec traverse en béton des années 60/70 ; je crois qu’il y a eu aussi une voie ballastée Roco, ainsi qu’une Fleischmann…; ces voies sont-elles encore aux catalogues ?)

Voir ci-après photo de la voie C patinée (réalisation par un membre du forum - 2011) :
[attachment=0]voie_c10.jpg[/attachment]
Conclusion : patine du ballast = “l’aspect jouet” disparait…

*2) Roulement bruyant ? ***
Tout dépend du support des voies, sachant qu’un rail non ballasté nécessite un support en liège ou autre matière encore plus isolante…
(une semelle en liège, à mon avis, ne diminue pas autant que cela le bruit, sauf sous la forme, à la rigueur, de granulés de liège collés…)

Dans mon cas, la voie repose sur des tasseaux rapprochés et non directement sur des planches (contreplaqué…), permettant un accès plus aisé (câbles…) et je constate aucun phénomène de résonance… :no:
Et puis, ne s’agissant pas de longues barres soudées (LGV…), avec le “cliquetis” des roues de la locomotive à vapeur, j’ai l’impression de me retrouver à la “bonne époque” ; il ne me manquerait plus que les odeurs si particulières venant de la locomotive, mais aussi celles des voitures de voyageurs… :vieux:
En conduite numérique, on pourrait y ajouter tous les bruits inhérents à la locomotive sonorisée ; *conclusion : *la question “du bruit” prendrait alors une toute autre dimension, jusqu’à échapper à un tel raisonnement …

3) Offre en appareils de voie extrêmement limitée ?
Et pourtant, à part, peut-être, une TJS (traversée de jonction simple), on trouve pratiquement tout ce qui pourrait être nécessaire à la construction d’un réseau attractif…Il me semble avoir lu que Märklin devait étendre sa gamme d’aiguillages aux grands rayons… :scratch:
Que manquerait-il encore aujourd’hui ?
J’ai même réussi à incorporer un croisement de 48,6°…
…et avec tous ces “coupons” de voie, impossible de construire un réseau bancal…; conclusion : alors, que demande le peuple ? :stuck_out_tongue:

*4) Absence de rail flexible ? *
Comment cela, en y incluant le ballast ?
Il me semble que cela aurait existé, mais pas chez Märklin…
Autrement dans quelle matière (non rigide), le ballast devrait-il être conçu ? En caoutchouc, en matière plastique souple… ?
Mais aussi quel serait l’intérêt ? N’oublions pas qu’il existe un rayon (5) de 644 mm environ et même, avec le rail courbe 24912, un rayon de 1115 mm, ce qui supposerait un espace particulièrement important consacré au réseau…
J’ai une petite expérience du rail flexible en HOe *(voie étroite, laquelle peut s’inscrire autour des bâtiments industriels, dans un relief accidenté…) *et ce, malgré le faible écartement (comme la voie N), j’avoue que c’était loin d’être évident à mettre en œuvre en terme de géométrie et de symétrie des voies ; la pince spéciale pour couper les rails, la lime, le stocks d’éclisses… tout cela est indispensable, en sus de la patience lorsqu’il faut s’y reprendre à plusieurs fois…sans compter les traverses qui se désolidarisent des rails, car cela implique de les fixer progressivement…) :angry:
J’imagine, de surcroît, la complication en présence d’un conducteur central…
Donc en définitive et en conclusion, pas autant de contraintes que cela dans le tracé du réseau ; sachant que, le plus souvent, on associe le décor à la configuration du réseau et plus rarement l’inverse…
À ce sujet (Edit.), voir également ce topic :
[size=150]LIEN[/size]

Ce n’est que mon point de vue ; comme cela a été dit à d’autres occasions et aussi, ici, par d’autres membres, je garde en mémoire la devise (en langue française) de Märklin “brancher et jouer”.
Dire maintenant que mon propos va dans le même sens ; à chacun d’en juger ! :joker:

Bonne journée ! :zen:

Bonjour à tous,
Assez d’accord avec toi Daniel, je n’avais pas osé contredire Jean-Louis.
La voie C peut en effet se décorer, alors qu’il n’est pas possible de rattraper le profil de rail de la voie K…

La voie Profi-Fleischmann souple est assez géniale, mais elle repose sur un petit talus de ballast et elle permet d’obtenir de très très grand rayons. Il faut déjà avoir trois ou quatre mètres de ligne droite-courbe pour avoir un chouette effet visuel… donc imaginez la dimension du réseau pour l’intégrer… C’est une vision assez élitiste de ce hobby (pour les très grands réseaux) ou destinée à ceux qui ne jouent pas (pour réaliser un superbe module par exemple).

Cordialement,