Je suis content que vous ayez apprécié. Moi aussi, j’ai bien aimé faire cette photo (qui est une agrégation de 13 photos pour avoir la profondeur de champ).
Pour répondre à Vincent, j’ai simplement passé un pinceau de peinture rouille agrémentée de terre à décor rouge sombre sur les bords des rails, presque à sec, mais c’est plutôt grossier. On doit pouvoir faire mieux. J’ai essayé à l’aérographe mais j’ai eu du mal à maîtriser le jet, par manque de compétence sur cette technique et je n’ai pas recommencé !
Pour Fred alias Schwäbisch, l’influence de Weber/mbz a été très forte et j’ai bien noté l’accumulation de détails qui parsèment sa réalisation.
Artitec a en effet une production alléchante mais il m’a semblé que leur catalogue en ligne regorge de produits non disponibles et je me demande si leur situation n’est pas en état de fragilité.
Quant à l’aïoli, ce n’est vraiment pas un produit de saison, au moins chez nous, où nous en sommes toujours à la soupe et à la raclette. Tu as bien du mérite d’avoir fait ce choix culinaire 
.
Bonne soirée,
Eric
Je confirme : ce modéliste a frappé beaucoup d’amateurs grâce à cette photo dans le catalogue Märklin de 1981 ! Comme déjà dit, le modélisme prenait le pas sur le train-jouet (même du côté du 3 rails) : c’était le temps des articles de Jacques LE PLAT sur le modélisme d’atmosphère …
Dans le même esprit, un autre réseau m’avait marqué peu de temps après : celui de Rudolf ELSNER qui avait fait la une du numéro spécial de Noël 1986 de EJ :
Vorschau_518610.pdf (1,9 Mo)
C’est typé de la fin des années 70 et du mitan des années 80, on fait beaucoup mieux depuis : plus et mieux détaillé, des peintures et des patines plus subtiles, mais ces réalisations restent des références solidement ancrées en moi.
Amicalement,
Fred
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Si déjà on arrivait à faire ça ! 
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J’allais l’écrire aussi 
Et je ne sais pas si vous aviez remarqué les picots tellement discrets qu’on ne les voit qu’après plusieurs secondes d’observation attentive. Ce n’est ni de la voie M, ni de la voie K : une voie hybride ?
Bonjour Fred,
Cet ambiance est sublime ! Ok la patine est un peu stéréotypée mais pour le reste je trouve que c’est super bien détaillé.
Ah oui je n’avais pas vu les picots.
Et en regardant de près, pas l’impression qu’ils soient spécifiquement portés par les traverses.
Ça ressemble plus (sauf l’aiguillage) à une construction maison ?
@+
Ce n’est en effet pas du M, on voit des jours sous les rails. Le K a des picots larges.
Philippe Rondet montre une photo sur son site Trinville de voie VB de 1959 qui ressemble à la voie utilisée.
On peut imaginer que des fabricants allemands, inconnues de nous, aient pu eux aussi commercialiser quelque chose comme ça. La revue n’en parle pas ?
Voici un site reprenant l’histoire de la marque VB dont Marklin a repris ou s’est inspiré pour créer la voie M à plots.
Bonne lecture
C’est en effet magnifique mais on a l’impression qu’il a déversé le contenu de son sac à poussière sur le réseau. A moins que ce ne soit un effet des photos.
Il est vrai que nous passons notre temps à caricaturer la réalité et que chacun y met la représentation du réel qu’il a envie de voir.
C’est pratique, il n’a plus besoin de nettoyer son réseau 
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Je crois que de manière beaucoup plus prosaïque, Rudolf ELSNER n’avait prévu aucune protection contre la poussière pour son réseau … moi qui habite en plein centre-ville de Lyon, quand je vois la poussière qui se dépose en une semaine sur mon bureau, ça fait peur !!!
Un réseau en prend tout autant, et on ne peut pas demander à Marie-Pierre CASEY de passer un coup de PLIZ toute les semaines …
“Parce qu’elle ne va pas le faire tous les jours” !!!
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Quelques mots de plus sur le dépôt de Weber après lecture des cahiers spéciaux.
C’est celui de la rédaction de mbz et on aperçoit sur deux ou trois photos du numéro 2 Teil 1 qu’il fait partie d’un réseau plus grand (mais lequel ?) dont on voit quelques rails, qui ne sont pas du M, et l’alimentation par caténaires.
Et ça glisse moins bien sur le réseau que sur la grande table en bois. 
Voici le line manquant pour les voies VB
Désolé de ce petit problème
Marc
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Ce matin, essai d’arbres sommaires, à base de lichens, flocages divers et petits confettis, collés à la colle Néoprène en bombe :
Ils sont de petite taille, tout au plus une dizaine de mètres. Il me semble qu’on a tendance à diminuer la hauteur des arbres sur nos réseaux alors qu’un arbre mesure couramment 20 m de haut dans la réalité, ce qui fait environ 20 cm à l’échelle.
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Oui mais les grands arbres sont chers dans le commerce. J’ai choisi une autre solution sur mon réseau N dans les montagnes je mets des sapins que je construis a base d’un sapin artificiel acheté en solde après la Noël pour 19€. J’ai de quoi en faire des centaines. Ce n’est pas top sur des photos de près, mais quand on regarde les trains passer on ne remarque pas la taille des branches.
Les grands arbres sont chers si on en prend plusieurs d’un coup, mais dans le temps, selon la quantité à prendre ils ne sont pas si chers que çà.
C’est comme pour tout, exemple de 4 voitures à 70 € pièce, cela peut être cher si on en prend 4 d’un coup: 280€, alors qu’une voiture par mois cela reste raisonnable. Au final on aura tout de même les 4 voitures, mais dans un délai plus long (4 mois au lieu de 1).
Tout est relatif.
C’est une très bonne idée et c’est bien la masse végétale qui fait l’effet recherché. On ne regarde pas le détail de chaque arbre. On voit une forêt et pas une collection d’arbres, comme dans la réalité d’ailleurs.
Pour les grands arbres isolés, c’est une autre histoire et la solution parcimonieuse de KBS se justifie, mais le prix à payer est souvent de l’ordre de la dizaine d’euros pas arbre.
