Bonsoir,
Bravo ! Tes batiments sont magnifiques ! Ton essai pour imiter l’eau est très réaliste sur la photo…
Bonne continuation.
Thomas
Bonsoir,
Bravo ! Tes batiments sont magnifiques ! Ton essai pour imiter l’eau est très réaliste sur la photo…
Bonne continuation.
Thomas
oui, magnifiques bâtiments, j’adore le moulin…
Bonjour Eric,
Beau travail et les réalisations au plâtre sont sublimes.
Sincèrement Mark
Merci, mais c’est trop ! Je n’arrive pas à la cheville des modélistes patentés dont les réalisations enchantent les forums .
Bonjour,
je me demande si l’utilisation d’un capteur à effet Hall est équivalente à celle d’un ILS pour la détection du passage d’un train ou d’un véhicule du genre Faller Car System.
Quels sont les avantages comparatifs de ces deux instruments ?
Bonne journée,
Eric
Bonjour à tous, bonjour Éric,
Pas d’expérience avec un “capteur à effet Hall” (*), mais plutôt avec un capteur “optoélectronique”, par exemple, de chez Busch ; cela avait d’ailleurs été déjà évoqué, notamment ici :
Autrement, on aurait peut-être plus de chances d’obtenir une réponse dans l’une des rubriques appropriées (questions/réponses, technique…).
J’ai néanmoins ajouté un dans le message précédent.
À bientôt !
() Un capteur à effet Hall permet de mesurer une variation de champ magnétique. C’est donc un capteur inductif.*
[size=85]Source “Google.fr”[/size]
bonjour Tous
Eric : je ne sais pas si un capteur à effet Hall a déjà été utilisé en modélisme ferroviaire
un Ils c’est la déformation d’une lame magnétique sous l’effet d’une aimantation qui ouvre un contact, ce contact servant d’entrée dans un autre circuit électronique qui préservera la qualité de l’Ils
l’effet Hall : il n’y a pas de mouvement mécanique mais il est nécessaire de faire une mesure de tension par un circuit électronique de détection, signal alors utilisé
les deux systèmes comportent donc de l’électronique (opto-coupleur, ampli opérationnel bref des circuits intégrés)
je me trompe ?
amicalement, merci
Patrice
C’est un montage que j’ai trouvé dans la video youtube.com/watch?v=KeLdE0xYMOc à 8:50 en cherchant des informations sur le Faller Car System.
On y apprend :
avec le montage, comprenant en effet un transistor, un relais et une diode, :
Cela parait original mais quel en est l’avantage par rapport à un ILS ? Voilà la question que je me pose.
Un ils est plus fragile, il faut le tourner dans le bon sens, il souffre de grandes puissances et malgré tout risque de se brûler les contacts. Un montage électronique avec un capteur Hall n’a pas de contacts mécaniques et donc pas d’usure.
Bonsoir à tous
Wolfram a indiqué les principaux avantages des capteurs Hall face à l’ILS. Pour moi c’est la solidité des pattes, avec un ILS à la moindre force entre une patte et l’ampoule et bang l’ampoule se brise. Pour ceux qui font de l’électronique il a en plus la qualité de commutation sans rebonds.
Les désavantages du capteur hall sont liés au fait que c’est de l’électronique. Donc faible charge en sortie et surtout pas d’inductif sans protection. Et la nécessité d’avoir une tension d’alimentation digne de ce nom.
Au passage, le schéma montré est fait avec les pieds:
Bonne soirée
Delias
Merci à Wolfram et à Delias pour ces précisions, sur lesquelles je vais me pencher (sans chuter j’espère).
Bonne soirée,
Eric
Bonsoir,
Les automatismes, c’est bien mais comment rattraper les bavures sans un contrôle des éléments régulateurs et des aiguillages ?
J’ai investi du temps dans deux tableaux de contrôle, l’un pour la majeure partie du réseau, en principe automatisée (!), l’autre pour la partie gauche, prévue en semi automatique.
J’ai utilisé des plaques de prototypage électronique, sur lesquelles j’ai collé le plan du réseau, des petits contacteurs à poussoir et des commutateurs à trois positions. Il est prévu de protéger le tout par une plaque de plexi mince lorsque j’aurai fini d’implanter les contacteurs.
Quelques photos :
A noter une erreur à éviter à la commande : les contacteurs jaunes et orange ont des pattes trop courtes pour traverser les plaques, ce qui rend les soudures difficiles !
Bonjour,
Après une longue absence, due à quelques bouleversements personnels, dont un déménagement…, je reviens au modélisme ferroviaire.
Je n’ai pas essayé de voir si le réseau fonctionnait toujours, pour ne pas me perdre dans l’électricité et les faux contacts, et me suis lancé dans le paysage, en partie gauche d’abord. C’est l’implantation du Faller Car System (le Père Noël a été généreux dans ce domaine) qui commande le déroulement des opérations et je voulais notamment être sûr que les véhicules pourraient gravir la rampe qui donnera accès à cette partie du réseau.
D’où la mise en place d’une route entre la ville et le futur village du méandre fossile de la partie gauche :
La base du relief est constituée par des découpes de polystyrène ou de Styrodur :
J’ai essayé plusieurs techniques pour recouvrir ces courbes de niveau,
J’ai démonté cet essai d’entrée de tunnel pour revenir au polystyrène, assemblé verticalement, recouvert de bandes de plâtre, troué pour insérer des rochers moulés fixés au mastic :
Le reste de la falaise du méandre a également reçu des rochers insérés, fixés au mastic et à la pâte à papier, le tout agrémenté de murs de soutènement en plâtre moulé (à la courbure des rails), toujours à partir des moules de Spörle :
Reste à fignoler le tout, à peindre après séchage.
Bon retour aux petits trains et parmi nous!
J’aime bien ton utilisation du polystyrène associé aux murs en plâtre.
Moi même je suis un fervent utilisateur du polystyrène que je trouve très facile à utiliser .
Bonne continuation.
Bonjour Éric,
je ne me connais pas en géologie (je laisserai ça à ma fille qui se connaîtra bientôt en tout, sauf en maths si on n’arrive pas à lui en donner goût), mais en signalisation…
De plus, le signal principal sur la voie visible est un signal à deux positions, soit fermé (Hp0) soit à deux bras en diagonal (Hp2) ce qui veut dire “avancer à vitesse réduite” - et c’est correct vu qu’on passe sur un aiguillage en position déviante -, mais celui pour la voie sortant du tunnel est un signal pour entrée de gare pouvant indiquer Hp0 et Hp2 mais aussi Hp1 “avancer sans réduire la vitesse”. Un simple signal à un bras suffirait, me semble-t-il. À moins que dans les quelques dm suivant, il y ait un autre aiguillage, pris par la pointe cette fois-ci…
(Eh oui, c’est compliqué, cette signalisation - mais rassure-toi, il y a pire : la mise en conformité des BRP pour l’accès des PMR… heureusement que sur nos réseaux nous n’y avons rien à faire.)
Bien vu Wolfram,
J’ai installé les signaux sur la base du fascicule Märklin, mais sans prétendre avoir résolu toutes les questions que pose la circulation des trains sur mon réseau et tout conseil sera examiné avec la plus grande attention !
Egalement, merci à xarklin pour ces encouragements.
Eric
Voila un réseau très prometteur même si je pense que certaines courbes font un peu serrées. Avec des voitures tin-plate de 24cm ca passe, mais avec des voitures plus récentes de 28 ou 30cm ce sera peut être moins esthétique ? Tu envisages une caténaire ?
Ta vidéo est très sympa : avec cette mythique BB, on imagine facilement son ronronnement dans une pièce qui sent le bois fraichement travaillé. Pas trop de résonnance avec !a voie M ?
Bonne continuation
Merci de tes commentaires, Manu.
En effet, il y a des courbes que les grandes locomotives et les longs wagons ne pourront pas prendre. Un choix initial.
Tu as vu aussi que je reste fidèle à du matériel d’une époque que l’on peut qualifier de révolue, idem pour la technique que j’ai voulue analogique.
Les caténaires sont prévues, j’ai déjà commencé dans les parties cachées avec du matériel maison à base de profilés de laiton. Le reste viendra plus tard, après (ou en même temps) le décor pour éviter le massacre des poteaux. Elles devraient être fonctionnelles, mais sans doute en simplifiant les automatismes de l’alimentation par la voie.
Le réseau ferré est monté sur du contreplaqué, quasiment toujours découpé juste pour soutenir la voie, jamais sur des plaques qui pourraient résonner. J’ai acheté un stock d’insonorisants qui ne m’ont pas servi. Et le bruit de la voie M est une vraie berceuse pour qui l’entend depuis 60 ans.
Bonne soirée.
Bonsoir,
Téméraire car mes incompétences en brasure laiton ont mis ma patience légendaire à rude épreuve !
J’avais dans l’idée de faire un viaduc en laiton au dessus de la rivière et avais acheté un lot de profilés laiton chez Tarteix à Paris.
Pour me faire la main, j’ai commencé par ce que je croyais être un “petit” pont suspendu, mélange du pont du Robinet à Donzère sur le Rhône et du viaduc des Rochers Noirs de Corrèze, pont qui doit assurer la liaison routière du Faller Car System entre la ville et l’île du méandre fossile.
Le projet a débuté par l’assemblage des IPN pour faire le support du tablier.
C’est là que ça s’est gâté, car la brasure, faite avec un fil de 0,5, un décapant en pâte et un fer à souder électrique à 400°, était totalement aléatoire. Un coup oui, beaucoup de coups non ! Un nettoyage à l’abrasif a commencé à arranger les résultats. L’utilisation d’un petit chalumeau à gaz a encore fait monté le score de réussite. Mais c’est vraiment difficile de faire propre. J’ai même commandé de la soudure liquide chez Decapod, efficace et plus discrète que les amas de soudure en fil qui s’accumulent au fur et à mesure des échecs !
Voilà le résultat
Bonsoir Eric,
Joli travail que la réalisation de ce sympathique pont suspendu. Une question : la soudure des fils de suspente en 0,50 s’est elle faite au chalumeau ou au fer à souder ?
Cordialement,