Superbe réalisation,je n ai malheureusement pas de machine patinée, mais c est a l étude.sont jolie tes machines.je vais certainement commencé avec des wagons…
Il faut pas hésiter à essayer sur des wagons…Personnellement , je préfère les patines plutôt légères. Le mieux est de commencer avec de la terre à décor et de l’alcool iso-propyle…et l’avantage c’est la réversibilité…
Il faut pas hésiter à essayer sur des wagons…Personnellement , je préfère les patines plutôt légères. Le mieux est de commencer avec de la terre à décor et de l’alcool iso-propyle…et l’avantage c’est la réversibilité…
Bonsoir “nilkram” ,
N’hésites surtout pas à développer ta technique en photos. Tu auras certainement remarqué au fil de la lecture des postes du forum qu’il y a pas mal de demandeurs
Une Type 26 SNCB, réf 37157.800, série spéciale patinée d’origine disponible chez Olaerts.
Belle machine Pascal, on reconnaît là les lignes simplifiées de la BR 52 (Comparativement à la BR 50).
Une Type 26 SNCB, réf 37157.800, série spéciale patinée d’origine disponible chez Olaerts.
Belle machine Pascal, on reconnaît là les lignes simplifiées de la BR 52 (Comparativement à la BR 50).
Bonjour Jean-Yves
La Br 52 c’est une des locos aussi denominées de “locos de guerre” (avec la Br 42) non?
Oui, c’est effectivement une “kriegslok” issue de la BR 50 mais qui a été très simplifiée pour économiser la matière précieuse de l’époque, l’acier … d’où sa silouhette minimaliste. D’origine elles en sont pas équipées de pare-fumée. Celles qui en on reçu sont le plus souvent des adaptations de pare-fumée récupérées sur des machines hors-service.
La BR 42 est une version plus puissante issue de la BR 52 (1800 CV au lieu de 1620) et plus lourdes que les premières (97 tonnes en service au lieu de 84) et il y en a eu un peu plus de 2800 de construites (Plus de 8000 pour la 52).
Attention toutefois de ne pas confondre la BR 52 de 1942/45 avec celles construites par la DDR en 1960 (200 machines) d’une part et également ne pas confondre avec les 052 nnn de la DB qui sont des renumérotations des BR 50 (050, 051, 052 et 053) en raison du nombre important de BR 50 récupéré.
Oui, c’est effectivement une “kriegslok” issue de la BR 50 mais qui a été très simplifiée pour économiser la matière précieuse de l’époque, l’acier … d’où sa silouhette minimaliste. D’origine elles en sont pas équipées de pare-fumée. Celles qui en on reçu sont le plus souvent des adaptations de pare-fumée récupérées sur des machines hors-service.
La BR 42 est une version plus puissante issue de la BR 52 (1800 CV au lieu de 1620) et plus lourdes que les premières (97 tonnes en service au lieu de 84) et il y en a eu un peu plus de 2800 de construites (Plus de 8000 pour la 52).
Attention toutefois de ne pas confondre la BR 52 de 1942/45 avec celles construites par la DDR en 1960 (200 machines) d’une part et également ne pas confondre avec les 052 nnn de la DB qui sont des renumérotations des BR 50 (050, 051, 052 et 053) en raison du nombre important de BR 50 récupéré.
Bonjour Jean-Yves
Merci pour tes precisions
J’ai une Br 52 et aussi deux Br 42 en la version Franco-Crosti (la insider et la version noire ). Sont des belles machines.
Le problème de la patine, c’est que soit c’est parfait, soit c’est “pas fait” !
Autant si on se rate sur un bâtiment en plastoc on s’en fout, mais sur une machine même en milieu de gamme Märklin çà me ferait plus c…
L’autre souci c’est que des wagons neufs avec une machine patinée ou au milieu de bâtiments ni peints ni patinés çà fait bizarre. Bref, c’est très beau mais quand on commence bonjour la suite …
A la limite çà m’arrive de le faire sur les modèles les moins chers du catalogue, et encore, ce sont plus des petites transformations plutôt que de la patine …
Entièrement d’accord avec Jean-Yves, la patine sur loco est un art particulièrement difficile : on peut passer vite du réalisme saisissant au gâchis énervant…