Le Madder Valley Railway de John Ahern d’une part :
et surtout le fabuleux réseau de la vallée du cheval blanc de Roye ENGLAND
Le premier a gardé son “flavour” d’avant-guerre et ses défauts de jeunesse, mais il en émane une nostalgie attendrissante.
Le deuxième est un réseau qu’il est impossible de concevoir tant que l’on ne pas vu : je vous laisse juger par vous même dans quelques prochains post …
Voici les photos du Madder Valley Railway : bien se souvenir qu’il s’agit d’un réseau qui a 90 ans … soyez donc indulgents avec ce vénérable vieillard …
Il n’y a pas à dire, mais les anglais sont vraiment de véritables artistes et passionnés !
Dire que ce premier réseau est pratiquement centenaire, dingue !
Et encore, je n’ai mis en ligne les photos de l’autre réseau, celui de Roye ENGLAND : je n’avais jamais vu un tel niveau de réalisme : en fait à certains moments, tu as l’impression de voir la réalité réduite 87 fois tellement tout est “vrai” : c’est incroyable !
Salut Vincent,
Oui, je te le confirme, et l’histoire de Roye ENGLAND en est bien l’illustration. J’essaye de vous mettre les photos en ligne ce soir.
Voici donc les photos du réseau principal, celui de Roye ENGLAND.
Comme le précise le site, il s’agit d’une reproduction d’un site réel de la campagne anglaise que l’auteur a voulu au milieu des années 30.
Contrairement au réseau de Jacques LE PLAT que je connais bien, je ne peux pas vous faire la description de celui de Roye ENGLAND et je vous renvoie donc au livre car il y a beaucoup trop à dire :
L’histoire du musée de Pendon et de l’homme dont c’était le rêve, Pendon contient ce qui est certainement la meilleure maquette de chemin de fer jamais construite. En fait, les appeler maquettes de chemin de fer est une insulte, car la principale est une reconstitution méticuleuse, basée sur la vallée de l’Oxfordshire du cheval blanc de la Grande-Bretagne au début des années 1930, qui se trouve être traversée par un chemin de fer. Tout ce que vous voyez a été construit à la main, et l’effet est stupéfiant.
La première édition s’est plus ou moins arrêtée à la mort du fondateur du musée, Roye England, et est épuisée depuis vingt ans. L’histoire originale comporte des chapitres supplémentaires qui montrent comment l’œuvre de Roye a été poursuivie. Avec ses 262 pages, cette édition est plus longue de 46 pages que l’originale, a été remise à zéro et comporte de nombreuses photographies supplémentaires, dont la plupart sont en couleur. Un véritable livre de délices et une source d’inspiration pour les modélistes.
Un reportage très intéressant (tiré des informations 1958 de chez Pathé !!!) ou l’on peut voir Roye ENGLAND travailler et transformer des cheveux en toit de chaume !
Voilà, j’ai passé plus de deux heures (je n’avais malheureusement que très peu de temps ce jour-là) de pur enchantement et je vous recommande cette visite à une heure de Londres.