C’est clair que c’est plus joli de les mettre en vitrine sur des rails (je le faisais dans le passé) mais cela présente un phénomène parasite que beaucoup oublient, à savoir la création à long terme d’un plat sur les bandages de roues (ou un durcissement localisé à cause de la pression) et donc une usure prématurée et non uniforme de ces derniers.
Donc à choisir je préfère les poser ainsi, sans rails.
En Hollande j’avais 4 grandes vitrines faites maison pour y exposer mes trains.
Tu profites au max de tes trains, et les boîtes tu les ranges comme il faut pour les garder nickel si un jour tu voudrais revendre tel ou tel train. Les boîtes ont un % assez important dans la valeur d’un modèle.
Par contre si ta collection est démesurée, ce sera difficile de tout mettre en vitrine. Alors autant rester modeste pour profiter de tout ce que l’on a. La quantité ne donne pas plus de plaisir, enfin c’est un avis personnel.
En tout cas, chez toi tout est très soigné, j’apprécie énormément.
Sincèrement.
Philippe
Merci pour le compliment
Oui, j’ai toujours pris soin de mon matériel et ce, que mes machines soient neuves ou d’occasion. Et je partage ton avis pour la quantité.
Pareil pour les boîtes et notices, je les conserve toutes précieusement et lorsque j’achète une machine, il faut que la boîte soit en bon état (à part une exception achetée une fois sans boîte, une électrique revendue depuis l’épisode Catzilla, pour laquelle je me suis procuré la boîte d’origine avec notice par la suite).
A ce que je vois mes prévisions se sont réalisées, tu as encore craqué. Par contre, y a t-il encore une place disponible dans l’armoire pour cette nouvelle acquisition ?
Et maintenant que j’y pense, il me semble que je dois avoir cette machine verte quelque part dans tout mon bazar.
A noter que cette série de BR 44 ÜK fut construite en France à la Société Française de Constructions Mécaniques (ex-Anciens Etablissements de Cail (Fives-Cail, Nord) BR 44 1796 à 1820 ÜK.
Heuuuuu… je ne vois pas de quelles prévisions tu parles…
Pour la caser ça ira, la place est déjà faite pour elle dans la vitrine, j’ai juste retiré la boîte du petit Schienenbus vintage Märklin (il ira dans une armoire en attendant) et remonté l’emplacement.
Pour info il s’agit de la Märklin Delta réf. 34883 sortie en 1998. La finition et les détails n’ont vraiment rien à envier aux productions actuelles.
Je verrai bien comment elle roule (c’est du Delta, il faut être indulgent) mais je demanderais bien à Jean-Marie Daiviere @trainservice.be si c’est possible qu’il me l’upgrade avec un set motorisation/décodeur 60670 ou mieux encore, upgrader le moteur et me la sonoriser avec un décodeur sonore vapeur mfx, car elle le mérite.
De rien Fred, les BR 52 ont deux dômes, les 50 et les 44 3 ou 4. Je te mets les plans de ces 3 séries en versions d’origines, sachant que plus tard certaines machines ont perdues leurs pare-fumée ou ont été remplacés par d’autres types de pare-fumée
Ne pas oublier que les BR 52 sont toutes des machines de guerre (KDL 1, pour Krieg Dampf Lokomotive)
Cette série est une simplification au maximum de la BR 50. Elle est “allégée” d’où la série BR 52 ÜK (pour ÜberKriegslokomotiven), idem pour les BR 44:
Pendant la Seconde Guerre mondiale, à partir de 1942, la conception fut simplifiée en raison de la guerre et les exemplaires ainsi construits furent livrés sous le nom de série 44ÜK (locomotive de guerre de transition). Les caractéristiques les plus frappantes des locomotives ÜK étaient l’absence de déflecteurs de fumée (qui étaient de série à partir du 44 013) et l’absence de fenêtre latérale avant de la cabine du conducteur. À partir du numéro d’entreprise 44 786, toutes les machines ont probablement été fabriquées dans une version simplifiée. Pour les locomotives restées en service après la fin de la guerre, les simplifications ont été largement supprimées par la suite.
BR50:
Avec 3 159 unités livrées, dont 3 146 pour la Deutsche Reichsbahn, la série 50 est la locomotive standard la plus couramment construite. Dans le cadre du développement de la guerre, la locomotive à vapeur de guerre KDL 1 en a été dérivée, qui figurait dans la classe 52 de la flotte de la Deutsche Reichsbahn. Il a été construit en plus de deux fois plus de numéros, mais ne fait pas partie du programme d’achat de locomotives standard de la Deutsche Reichsbahn.
Techniquement (et visuellement) la transition entre les deux séries est fluide et les machines de la dernière série du BR 50 ressemblaient presque aux KDL 1 (BR 52). La conception a été encore simplifiée en plusieurs étapes et les locomotives des derniers lots de livraison ont été officiellement appelées « locomotives de guerre de transition » (ÜK).