Effectivement il est comme sur beaucoup de sujets, difficile de se faire une idée et ensuite que cette idée bien que fondée reste vraie. les différents fabricants sortent des nouveaux matériels de manière asynchrone et le meilleur produit de l’année 201x est peut être dépassé par le concurrent l’année x+1 et inversement l’année x+2
Par contre sans être en quête de la dernière avancé technologique, il faut choisir une voie et essayer de si tenir pour rationaliser la gestion, perso je n’ai pas envi de changer tout les ans tous les décodeurs de mon parc d’où mes interrogations pour faire le bon choix et ce en restant raisonnable au niveau budget. Changer ou équiper de décodeurs une petite centaine de machines, revoir les motorisation d’au moins la moitié n’est pas sans douleur pour le porte monnaie sans parler du reste de l’équipement digital.
Suite a mes différentes lectures, je pense être convaincu au moins de faire un test sur l’apport du changement su stator (je crois) par un aimant permanent. A mon stade j’imagine adapter mon parc de machine en fonction de son utilisation. Inutile, je pense de faire trop de frais sur la motorisation une machine dont la destination principale sera d’être sur le dépôt et idem sur des modèles X dont la motorisation n’est pas top. Et aussi de mettre des priorités comme par exemple ne pas toucher au delta dans un premier temps puisqu’elles fonctionnent en digital.
Travail de fourmis et sauts de puces (non programmable) mais ce forum au travers de ses participants sont pleins d’enseignements
Bonjour Patrice.
Si cela peut te “rassurer”, j’ai sur mon réseau des machines Delta avec décodeurs de première génération (languettes à souder), de seconde génération (4 micro-switches), de troisième génération (8 micro-switches), des machines digitales avec décodeur c80 (par de compensation de charge), décodeur c90 (avec compensation de charge et vitesse maxi programmable par une sorte de vis), décodeur mfX, décodeurs TAMS, Uhlenbrock, Viessmann et ESU et tout cela se côtoie sans problème. Mes décodeurs Delta de première génération ont près de vingt ans.
Bonjour Patrice.
Si cela peut te “rassurer”, j’ai sur mon réseau des machines Delta avec décodeurs de première génération (languettes à souder), de seconde génération (4 micro-switches), de troisième génération (8 micro-switches), des machines digitales avec décodeur c80 (par de compensation de charge), décodeur c90 (avec compensation de charge et vitesse maxi programmable par une sorte de vis), décodeur mfX, décodeurs TAMS, Uhlenbrock, Viessmann et ESU et tout cela se côtoie sans problème. Mes décodeurs Delta de première génération ont près de vingt ans.Bonjour Francis,
Qu’ils se côtoient tous et fonctionnent tous, cela ne fait aucun doute; ils obéissent tous au protocole Motorola… …
Mais certains Delta (ou même C80) ne démarrent qu’au sixième cran de vitesse et permettent difficilement de faire avancer une machine à faible vitesse sans risquer de la voir se planter.
Certains très anciens (Motorola1) ne savent même plus dans quelle direction démarrer s’ils ont été arrêtés plus d’une demi heure; c’est d’ailleurs en grande partie pour cela que Märklin a créé le Motorola 2. Et comme les feux ne s’allument pas à l’arrêt quand on redémarre on ne sait pas toujours dans quelle direction la loco va partir…
Donc on est bien d’accord qu’ils fonctionnent, mais on ne peut pas dire que ces décodeurs offrent le même confort qu’un décodeur moderne …
Bonjour Jean Louis.
Tout à fait d’accord avec toi pour le confort et la vitesse lente.
Ce que je voulais dire à Patrice, c’est qu’il n’est pas indispensable de changer tous les décodeurs dès qu’une nouvelle version arrive sur le marché.
Sur les machines d’autres marques et équipées en digital d’origine avez vous une idée des marques de décodeurs utilisés?
Chez Piko ce sont des Uhlenbrock plutôt corrects en général …
J’ai une Mehano équipée d’origine d’un ESU Lokpilot Basic, très bon aussi …
J’ai une Electrotren et des Roco, mais je ne sais pas ce qu’elles ont … Elles n’ont jamais roulé car achetées juste quand j’ai décidé d’abandonner le HO pour le N … Elles seront sûrement à vendre un jour à moins que je ne repasse au HO …
Pour illustrer les propos de Jean-Louis, voilà un exemple de courbes de vitesse d’une locomotive 040 TC SNCF, sur laquelle j’ai remplacé le décodeur Delta par un décodeur multi-protocole ESU micro.
C’est plus facile de travailler à vitesse lente après remplacement du décodeur et on peut faire des démarrage et freinage en douceur, surtout si on pilote avec un PC, avec des vitesses définies sur les cantons !!
Désolé mais je n’y connais rien en digital, merci de confirmer mon interprétation des graphiques
Décodeur Delta :
La machine commence a bougé au cran (pas) 2 arrive a 43km/h au 3 pour au maxi (140km/h) au 5 avec une petite anomalie sur le haut a partir de 120.
Décodeur ESU :
Elle démarre dès le cran zéro avec une progression régulière jusqu’à sa vitesse maxi
14 pas de vitesses pour le Delta et au moins 18 pour le ESU
avec des vitesses définies sur les cantons !!
Donc avec Itrain on peut fixer la vitesse par canton? Pour un canto, n fixe un nombre de pas et la vitesse du convoi sera la vitesse de la machine sur le pas correspondant? (je ne sais pas si je suis clair?)
Pour le Delta, il n’y a pas de progressivité, et la courbe de vitesse va saturer au dessus du cran 6 ou 7. Il est normal que la courbe soit brisée entre les pas. Cette locomotive avait un très bon ralenti en analogique car elle a un moteur continu (DC). Le problème c’est que pour des vitesses raisonnables, en Delta, il n’y a que 3 pas utiles
C’est la raison de ma digitalisation avec un décodeur compatible DCC, car on pourra passer à 128 pas .
Pour le décodeur ESU, on peut dire qu’il y a une petite anomalie dans la courbe, car il est évident qu’on n’a rien entre 0 et 1 : Il devrait y avoir une petite marche d’escalier. C’est le logiciel qui lisse la courbe. Quand je fais l’étalonnage je prends au départ des pas de 5 en 5 pour voir l’allure de la courbe et je rajoute des points à basses vitesses.
Pour l’instant, je l’ai laissé en mode Motorola. Je n’ai pas été jusqu’au pas 27 pour l’étalonnage, compte tenu de la vitesse déjà atteinte au pas 25. Je n’ai pas retouché le CV5 correspondant à la vitesse max, ce qui permettrait encore d’améliorer la progressivité en abaissant la vitesse max à 100 km / H par exemple dans ce mode.
Avec Itrain, on peut programmer différentes vitesses, dont la vitesse max dans le canton, et le logiciel prendra le bon pas pour que la vitesse atteinte soit très proche de la vitesse cible. On a l’information sur l’indicateur de vitesse : vitesse cible et vitesse réelle.
Pas de problème, s’il faut expliquer d’autres points sur ce sujet.
Cette locomotive avait un très bon ralenti en analogique car elle a un moteur continu Peut on en déduire que les Marklin avec leur moteur universelle n’ont pas un bon ralenti et que les transformer en continu avec un aimant permanent améliore ce point?
Peut on en déduire que les Marklin avec leur moteur universelle n’ont pas un bon ralenti et que les transformer en continu avec un aimant permanent améliore ce point?Non en analogique les moteurs universels peuvent avoir de très bons ralentis.
Je pense que certains fabricants de décodeurs proposent des aimants permanents parce que développer un décodeur pour moteur universel nécessite des études supplémentaires qu’ils jugent non rentables. Concevoir un bon décodeur pour moteur universel avec une compensation de charge efficace représente un investissement en temps non négligeable et proposer la transformation avec un aimant permanent est plus simple.
En fait c’est plutôt une sorte de standardisation, cela permet de couvrir pratiquement tous les cas avec un seul type de décodeur.
Jean-Louis a raison, il ne faut pas généraliser, mais je trouve que cette locomotive, avec un moteur très souple DC, était particulièrement gâchée par le décodeur Delta.
J’ai digitalisé une BB 9223 (3038), donc avec moteur universel, et sans mettre d’aimant, avec un décodeur Uhlenbrock 76200 et le résultat est tout à fait satisfaisant. Là j’ai limité volontairement le CV5 à 25 pour ne pas atteindre des vitesse de TGV à cause d’une majorité de R1 sur mon réseau, et voilà la courbe de vitesse obtenue en mode DCC 28 : c’est tout à fait satisfaisant. Nota la compensation de charge est active.
Là, on ne démarre vraiment qu’à partir du pas 2. Au pas 1, la loco avance par petite saccade: L’asservissement de charge doit y être pour quelque chose. J’ai essayé de bouger d’autres CVs sans améliorations probantes.
J’allais justement dire que ce serait bien d’avoir des courbes avec d’autres décodeurs
J’ai trois 7200 (verte, capitol et béton) je pourrai essayer de faire 3 digitalisations différentes mais pour le moment je n’ai pas de centrale!
Suite au propos de Jean Louis, Je viens de regarder sur le site ESU, Pour le 3 rails il faut mettre un aimant permanent et ensuite un décodeur LockPilot V4 en 64610,12.14 ou 16 (uniquement la connectique qui change) le 64610 et le 64616 existe en kit avec selfs et aimant + platine 21 broches pour le 16
Ensuite; il y une déclinaison en V4 M4
Pour du 3 rails, il faut prendre du multi protocole?
Sur machines d’autres marques ou Marklin avec moteur continu c’est le même décodeur sauf pas d’aimant? et sur les petit engin on peu partir sur la version micro?
Que se passe t’il si l’on pose la machine sur de l’analogique? j’ai lu sur la doc qu’il fallait prendre le bon décodeur avec renvoi a une liste que je n’ai pas trouvé
Non en analogique les moteurs universels peuvent avoir de très bons ralentis Je voulais que le moteur universel perdant en ralenti une fois digitalisé
et permettent difficilement de faire avancer une machine à faible vitesse sans risquer de la voir se planter.
et on peut faire des démarrage et freinage en douceur, surtout si on pilote avec un PC, avec des vitesses définies sur les cantons !!
