Merci pour le temps que tu passes à me trouver des solutions. Un génie, notre modérateur !
J’ai bien pensé à faire des trucs comme-çà mais ton expérience me conforte.
Je vais terminer le gros de cette caténaire en voie pleine et finirai cet endroit critique tranquillement par la suite.
Il faudra que j’arrive à souder ces écarteurs sans faire des tas disgracieux.
Il est certain Philippe que réaliser un réseau de type montagnes Helvétiques sans caténaire est un non-sens.
J’ai mal planifié mon truc au départ à cet endroit-là c’est certain.
Petite question : quand on sépare en deux électriquement un réseau pour alimenter la section 1 par la centrale et la section 2 par un booster, comment fais-t-on au niveaux des rails à !a jonction ? Je suppose qu’il faut isoler électriquement le conducteur central ? Si tel Est le cas, doit-on installer une bascule de frotteur ? Car Si le frotteur passe il ponte alors les deux circuits ?
A une époque lointaine, on installait une bascule entre le circuit digital et le circuit analogique afin de faire soulever le frotteur, pour qu’il n’est pas de court-circuit. Dans le sens de 2 zones alimentées l’une par la centrale et l’autre par le booster, une simple éclisse isolante suffit. Il n’y a pas de risque !!
L’éclisse en soit exerce simplement la protection du signal entre la centrale et le booster , c’est tout ! Pour faire simple .
A ma connaissance le Booster n’est qu’un apport de puissance. Il transmet exactement les mêmes informations que la centrale vers le matériel roulant.
Il faut bien-sûr délimiter les secteurs que la centrale et le Booster vont chacun gérer, mais le passage du frotteur est sans incidence.
Selon les notices des différentes générations de boosters, il n’est jamais fait mention de la nécessité d’installer des bascules.
Mon expérience qui se limitent aux 6021 + 6017, les bascules sont inutiles, la centrale et les boosters peuvent être momentanément ponté sans risque.
De mes connaissances techniques, les boosters sont conçu pour sortir le même signal que la centrale et “en phase”, donc le pontage de deux zones commandées par la même centrale ne doit pas poser de grand problème. C’est très clair en analysant les schémas de la 6021 et 6017 et de même le signal de la voie est présent sur deux pôles des connecteurs du bus Märklin des CSx!
Les bascules sont nécessaires pour le passage d’une centrale à une autre ou d’un système digital à un système analogique (bon c’était possible au le bon vieux temps, quand les décodeurs ne cramaient pas en analogique…)
Il est bien précisé dans la notice des 60174 et 60175 que la polarité entre le booster et la voie doit être la même que entre la centrale et la voie, cela pour éviter justement de ponter des signaux en opposition.
Reste pour moi une inconnue dans le cadre de l’utilisation de plusieurs CSx, je ne sais pas dans le détail comment sont générés les différents signaux numériques émit par leur centrale respective.
Retour à la caté…nerfs (à rude épreuve)
P’tite astuce pour les entrées-sorties de tunnels en cas de panto accidentellement trop haut :
La hauteur à l’attaque est de 105mm j’espère que çà suffira pour les mono-bras.
La hauteur d’attaque du pantographe en sortie de tunnel peut être librement choisie. Tout dépend des circonstances locales…
L’important tout de même est de s’assurer que la pente de la section d’attaque ne soit pas trop raide, surtout pour les pantographes unijambistes se présentant ouverture en avant. Les quelque 3 centimètres de l’image entre le point d’attaque et la section horizontale du fil de contact me paraissent un peu courts. Mieux vaut prévoir, car la modification est plus complexe après-coup.
Mais avec un “rodage” suffisant de la caténaire, cela peut peut-être convenir. Faire des essais sur une voie ad hoc permet de s’en assurer.
Merci pour ta remarque.
Sur les photos ci-dessus, l’élément de caténaire n’est pas horizontal et donne un effet un peu trompeur.
En fait, l’abaissement est sur une longueur de deux sections (tendeurs verticaux)
Je remonte le fil inférieur bien au-dessus du porteur et les soude ensemble.
J’espère que çà ira…
Premier essai de bridage de la course d’un panto Roco.
Matos : filin de fil torsadé détricoté. Il offre une bonne résistance et reste peu visible. Nul besoin de le souder juste le torsader.
Inconvénient: difficile à mettre en place sur Roco. Sur Märklin on peut passer sous le support pour le réglage ce qui semble plus simple.
Seconde tentative un peu moins crade…
Si çà tient dans la durée, ce serait chouette… pas de colle, pas de soudure et le panto reste repliable grâce à la souplesse du fil de cuivre.
Reste la solution d’un gabarit pour obtenir le même développement partout.
Et … au risque de faire hurler, un point de colle forte et transparente à un point d’articulation.
Après avoir garanti la toiture.
…La peur de l’accident probablement.
Ou alors on voit aussi des caténaires carrément sans les fils…
Je suis étonné quand-même, ces fils sont vachement solides et supportent beaucoup.
Il faut beaucoup pour les déformer. C’est de la bonne qualité cette Viessmann.
J’ai intérêt à faire gaffe, mais pour équiper ces vingt voies de parois latérales il faut au bas-mot 36 mètres de rambardes…
Vingt plateaux de 100 cm. à couvrir de chaque côté sur 90 cm si le compte est bon.
Je partage l’avis de Philou75, il y a toujours moyen de réduire ou d’allonger un pas d’espacement des catenaires.
Pardon pour les observations mais il me semble que les déviations sur les aiguillages ne sont pas assez anticipées.
Bon , j’arrive un peu tard et vous êtes déjà sur un autre sujet.
Voici tout de même une présentation de Sommerfeldt sur la méthode (vous noterez le mouvement du panto dans l’intro, c’est tout de même plus sympa que des pantos bridés… )
)