Reventhal (PLR)

Bonjour Wolfram,

Je me suis sans doute mal exprimé (ou trop rapidement). Je voulais dire SI la colle utilisée n’a pas certaine(s) propriété(s), elle favorise elle-même la rigidité du support et du lien avec la voie (donc avec la propagation du son). Constat fait sur l’examen successif de deux beaux réseaux, soit disant isolés avec des semelles de lièges…
Ou bien il faudra indiquer à Pierre à partir de quelle épaisseur de liège cette solution fonctionne (4mm est insuffisant).
Mais il y a sans doute d’autres solutions…

Cordialement,

hello T & T
et bien Wolfram je ne pensais pas au vissage de la voie mais aux vis d’assemblage de la structure et justement le papier que je prévoyais était pour empêcher le contact des différentes parties de la voies entres-elles ;
par contre je n’avais pas pensé à la colle, mais un petit point de silicone ne serait il pas plus approprié car un cutter peut alors le couper ?

amicalement
Patrice d’ Hennuyères :afro:

Sur un réseau de type Loetschberg, il y aura évidemment caténaire, locomotives électriques entre autres.
Je prendrai mes dispositions pour que çà passe sans soucis.
La caténaire sera fictive, sans contact avec les pantographes et uniquement dans les parties visibles.
Caténaire avec poteaux CH, Sommerfeld ou Viessmann.

… à part-çà j’aurais une question pour les “pointures” de ce Forum. :wink:

Je compte faire rouler du matériel digital ET occasionnellement de l’analogique que je ne compte pas transformer, sous-entendu que dans ce cas c’est soit l’un soit l’autre.
Pour-çà j’ai évidemment une station mobile 60657 et un transfo de 32VA 66470 (blanc), ce dernier destiné avant-tout à alimenter aiguillages et signaux en analogique.
Je vais monter un inverseur sur le courant-traction et ma question est la suivante :
Les masses de traction doivent-elles aussi être commutées par l’inverseur ou puis-je les laisser ensemble sans passer par l’inverseur ?

D’avance merci pour vos avis.

hello Pierre
bien qu’étant une Pantoufle et non pas une Pointure, en attendant l’avis des Copains
je pense que oui tu peux le faire mais je choisirais un inverseur qui possède une position “off” et deux positions “on”

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ainsi tu te donne le temps de souffler pour installer la bonne combinaison alimentation / machine

car une loco analogique qui est alimentée en tension et bhen ça roule !
tandis qu’une loco digitalisée alimentée qui ne reçoit pas l’ordre de rouler (attention à un parasite qui ressemble à un ordre de rouler) et bhen elle ne roule pas !

maintenant y a t’il un problème de valeur maximum de tension dans un cas ?

amicalement
Patrice

Bonsoir,

une loco digitale sous alimentation analogique se comportera comme une analogique - elle partira dès qu’on ouvre le régulateur.

Il faut donc, pour pouvoir faire fonctionner un réseau tantôt en digital tantôt en analogique, prévoir des sections isolables comme en analogique.

Et, chose importante, il faut complètement séparer l’alimentation des aiguillages et autres appareils de voie de l’alimentation des trains. Si on garde les aiguillages en classique (comme toi), il faut les séparer du digital ; si par contre ils sont commandés par décodeur (comme chez moi) il faut pouvoir les commander par digital même en roulant en analogique.

En principe, un interrupteur 1* 1-0-1 tel que Patrice l’a montré suffit. Je prévois quand même un 2* 1-0-1, ou alternativement une prise 2 pôles sur le réseau, où brancher soit la centrale soit le transformateur, selon besoin.

Voir aussi l’un des messages récents dans le fil “Eisenloh”.

bonsoir à T&T

Wolfram :thks: : je ne savais pas qu’une loco digitale alimentée en analogique se comportait immédiatement comme une analogique
et je pensais qu’il fallait positionner ses switch “comme en analogique” :blush:

Pour une loco analogique posée accidentellement sur rails alimentés en digital que se passe t’il ?
Suivant le scope trouvé sur internet (apparemment le nom de l’auteur s’y trouve)

la valeur crête à crête est -15 à +15 donc 30 Volts : ouille ! :face:
la valeur approximative efficace serait la moitié donc 15 Volts mais peut aller jusque 20 ou 25 Volts et j’ai l’impression que la loco va démarrer sur les chapeaux de roues ? :affraid:

La valeur de la tension efficace serait donnée par un voltmètre à valeur efficace permettant les mesures avec des fréquences bien supérieur au 50 Hz. :cyclops:
est-ce que je me plante ?

amicalement
Patrice d’Hennuyères

Merci pour vos réponses.

Donc… Si j’ai bien compris :

  • Je sépare l’alimentation et la masse des aiguillages analogiques venant du transfo 66470 de celle du réseau de traction…
  • Il me faut alors tout de même un inverseur double ? Vu que la masse de traction analogique provient du même transfo.
    Il sera sensé isoler en même temps que l’alimentation (rouge) la masse de traction digitale (brune)

Oui, je conseille l’inverseur double, non pas à cause du transfo mais à cause de la centrale digitale. Ça me paraît plus prudent.

Patrice, les décodeurs delta de presque toutes les séries à clavier à souris n’ont pas de reconnaissance automatique de type d’alimentation. Les décodeurs digital et les delta à programmer par points de soudure, si. Donc, si on les alimente en C.a. la loco se comporte exactement comme une analogique (plutôt comme les 35xx au moteur 5***** analogique). À moins d’avoir déprogrammé le fonctionnement analogique, mais de série il est activé. (Le contraire serait ennuyeux pour les clients qui ne fonctionnent pas en digital.)

ok, merci Wolfram :cheers: pour ces explications :mrgreen:
amicalement
Patrice d’Hennuyères

Dans l’attente de la livraison des rails “C”… on s’occupe comme on peut avec un nouveau défi, celui de l’accès à la gare externe.
Contre toute attente, l’essai a été en grande partie transformé… :laughing:

Il reste à trouver une solution pour raccorder les voies.
Virer les éclisses est impératif, mais conserver les contacts au-dessous serait idéal, d’autant que la précision de l’assemblage est bonne.
Créer deux secteurs à partir de l’aiguillage m’éviterait de poser des connecteurs et des fils externes pour l’alimentation alternative des voies de garage.

Le contreplaqué “bakélisé” est en 12mm, suffisamment rigide pour supporter sans broncher une portée d’un mètre.

L’équerre de soutien se replie sur le côté… un support de bibliothèque, une charnière, un coup de mig et voilà ! Je prépare d’emblée deux tables pour quatre trains.

Il faudra probablement cacher tout-çà dans un tunnel…ce serait préférable. :unamused:

Prochain boulot : Renforcer la face avant de la table au raccord des modules. Je crains un affaissement au centre à cause du poids.

Le choix du panneau de sapin trois couches de 19mm est en réalité un compromis entre son poids et sa résistance mécanique.
Sur ce dernier point, je m’attendais à un peu mieux. Le centre du réseau commençait à s’affaisser un peu trop. :open_mouth:
Il est vrai que sur une longueur de 360cm les contraintes au centre sont plus importantes qu’aux extrémités qui sont elles, soutenues par les câbles.
La solution est passée par la pose en renfort d’un profilé en alu de 80cm. L’affaissement au centre est maintenant de 3mm… pas de quoi se faire du souci. :wink:

Détail qui a son importance, j’ai inséré une pastille aimantée pour maintenir l’équerre rabattable bien en place.
En effet, elle aurait pu une fois ou l’autre aller se prendre dans les câbles… bonjour les dégâts

Coup de chance… :wink:

Cette maquette ex- BR 50 rebaptisée 150 Z par la SNCF à la fin de la guerre était soldée à petit prix dans un commerce.
Modèle d’exposition digitale, elle n’a jamais roulé.
J’aime bien cette version sans les écrans pare-fumée qui lui donne ligne pure et un aspect moins “massif”, identique à la BR 50 3661 conservée en gare de Martel (Lot). (Wiki)

Très belle loco Pierre,
Sincèrement Mark

Vraiment impressionnante cette 150 Z… Du coup je renonce à acquérir la SBB C 5/6 2965 du Gothard. :sunglasses:
(Par ailleurs même plus livrable…) :unamused:

Mise en place des éléments du tableau de commande.

Au fond un transfo pour éléments d’éclairages et accessoires divers. Il sera raccordé au seul pupitre de commande bleu.
Placé à l’arrière dans un souci de répartition des poids, contrainte qui n’existe pas sur un réseau normalement à plat… :mrgreen:


Tous ces pupitres sont installés sur un panneau amovible qui ménage suffisamment d’espace au-dessous pour le passage des fils.
Ce panneau est simplement posé sur des supports magnétiques, étant appelé à être très souvent démonté pour le câblage.
A côté du transfo, l’inverseur double qui permettra de passer du mode digital à l’analogique.

Deux plateaux pour l’accès ou la sortie des trains du réseau sont terminés… Il en faudra certainement d’autres par la suite :wink:
Testées à l’Ohmmètre, toutes les voies sont opérationnelles en connectant simplement les plateaux sans aucun effort.
Pas besoin d’autres connections à établir, çà reste simple et pratique… ouf…
Il me suffira de créer deux secteurs en sortie d’aiguillage K pour l’accès sur l’une ou l’autre voie.
…Heureux !

Une bizarrerie de RailModeller Pro :open_mouth:

La voie marquée d’une flèche m’avait donné du mal à la conception logicielle.
Curieusement, alors qu’aucun chevauchement n’est visible sur plan… au montage réel, il manquait 4 mm environ.
J’ai repris manuellement ce raccordement avec des éléments standard et çà colle pile-poil.

Les voies en vert-clair sont celles actuellement mises en place.

J’ai fait ma commande de rails selon le décompte de RailModeller Pro… j’espère juste que je ne vais pas me retrouver avec une galère… :blush:

A part-çà j’ai fait un gabarit pour le contrôle des pentes… à 3,2 % .
J’ai augmenté le pourcentage de 2,83% à 3,2 histoire de gagner un peu en hauteur pour obtenir plus de marge pour les passages inférieurs. (environ 10cm)

Bonsoir,
Je rencontre des problèmes similaires avec AnyRail6.
Il y a des écarts jusqu’à 24 mm ce qui remet parfois en cause l’architecture des raquettes de retournement et ouvre d’autres possibilités de réseau.
C’est impossible dans la modélisation AnyRail6, alors que cela se réalise parfaitement sur le réseau réel!

Certes ces outils sont fort utiles, mais je conseille donc aux utilisateurs de logiciels de modélisation de réaliser des essais préalables avant de figer leur réseau.

Bonne soirée à tous
ROZ

Merci Roland pour ton info sur ces logiciels… .
Ne disposant pas et de loin de tous les éléments de voies j’ai peut-être eu tort de faire totale confiance à ces plans virtuels… je verrai bien au final :confused: !

Un bout de “feuille de route” :
Cette construction est prévue pour être entièrement modulaire sur plusieurs niveaux.
Le premier niveau est la table en deux parties boulonnées de 150 x 175cm ce qui me donne une surface de 5,2 m2 de 350 par 150.
Pour raccorder le câblage des ces deux parties principales j’ai choisi de me fabriquer le “connecteur multipôles du pauvre”… :laughing:


Au dessus, un nombre non-défini encore de modules de 100 x 50cm enfichés verticalement sur la base avec des chevilles de bois de 8mm.
Sans aucune vis de fixation, ils ne seront solidarisés qu’après le montage final à domicile. Ceci concerne le montage du tracé des voies uniquement.

Par la suite d’autres modules s’imbriqueront par dessus avec le décor, les routes, les emplacement de maisons etc.
Pour le décor j’hésite encore sur la manière de faire, mais je suis tenté par le polyester qui, à cause des fortes odeurs qu’il dégage et l’utilisation d’acétone ne peut être fait qu’à l’atelier.
… qu’il faudra ensuite recouvrir de plâtre au autre matériau, mais qui permet par sa solidité des interventions par-dessous en retirant un module-décor complet.

Bref… du TAF pour tout l’hiver et même plus… :wink:

Ce projet avance bien, je suis toujours autant admiratif devant la qualité du travail en terme d’ordre et de précision. Un plaisir à voir !

Pour le décor pourquoi ne pas envisager le classique grillage à moustiquaire+bande de plâtre? Il permet également une intervention par le dessous et constitue une solide structure de base.

Bon dimanche (qui sera aussi consacré à la menuiserie du réseau pour moi !)
Grégoire