Bonsoir Stef,
C’est bien ce que je voulais dire, je n’utilise pas de PU pour les petits trains!
Par contre, la cuisson n’est pas nécessaire, une température de 20° C suffit, plus accélère le séchage, c’est tout, d’ailleurs, il y a beaucoup de parties en plastique peintes sur les véhicules: rétroviseurs, boucliers AV et AR, calandres de camions, etc…
Denys
Bonjour,
Sur le C.F. du Vivarais ils utilisent de la P.U. non cuite, celai faisait une saison. En fin de saison la peinture est toute éclatée. Je suis allé chez Graphibus près de Nantes il a 6 cabines de peinture pour autocars, ils n’auraient pas fait cet investissement s’ils avaient pu s’en passer.
Kenavo
stef
Bonjour,
Je ne veux pas alimenter de polémique stérile, simplement rectifier quelques points, les amateurs ne vont plus rien comprendre!
Il ne faut pas confondre cabine de peinture et four de cuisson pour peintures!
Le PU deux composants se passe entre 18 et 30° C, on peut accélérer le temps de ducissement en montant la température de séchage jusqu’à 60° maximum, celà n’aura aucun effet sur la tenue dans le temps, simplement le mérite de pouvoir manipuler les pièces ou sortir un véhicule aux intempéries plus vite…
Quand on a le temps, on s’en passe, et c’est même mieux de laisser durcir tranquillement entre 18 et 30°, on aura un meilleur tendu et brillant.
Ce sont les peintures époxy en poudre ou liquides que l’on cuit entre 180 et 200° C, pendant une durée variable en fonction de l’épaisseur du support, de l’ordre de 5 à 15mn après l’application.
Pour le modélmisme, il vaut mieux composer sa teinte soi-même si on ne la trouve pas toute faite en employant des peintures toutes faites mono composants comme celles citées plus haut.
Je pense que Märklin utilisait de la laque nitrocellulosique autrefois.
Pour les CFV, je n’ai pas de solution, je ne peins en tant que professionnel que depuis 22 ans.
Denys