rail de contact en voie K

bonsoir :slight_smile:
envisageant de recourir pour une partie de mon futur réseau à de la voie K, je voudrais savoir comme faire pour transformer un rail “ordinaire” en rail de contact. Je connais bien la manip en voie C (sectionner le contact sous la voie et isoler) mais je ne vois trop comment ça se passe en voie K. un des anciens fils parle de “sectionner” une file de rail mais je ne vois pas trop comment faire concrètement. si qqu’un a une photo ou un schéma pour illustrer, merci d’avance :youpi:

bonsoir :slight_smile:
envisageant de recourir pour une partie de mon futur réseau à de la voie K, je voudrais savoir comme faire pour transformer un rail “ordinaire” en rail de contact. Je connais bien la manip en voie C (sectionner le contact sous la voie et isoler) mais je ne vois trop comment ça se passe en voie K. un des anciens fils parle de “sectionner” une file de rail mais je ne vois pas trop comment faire concrètement. si qqu’un a une photo ou un schéma pour illustrer, merci d’avance :youpi:
En voie K, les éléments ont les rails déja isolés! :cheers: (pour autant qu’ils ne soient pas raccordés à un aiguillage ou autre appareils de voie…)
Il suffit donc de remplacer les éclisses métalliques par des éclisses isolantes.
J’utilise les éclisses PECO, assez faciles à trouver, car très utilisées dans tous les réseaux 2-rail!
Voili, voilà!

Cordialement

Bonjour,

Pour ma part je n’aime pas trop les éclisses isolantes car par définition on ne peut les mettre qu’à des jonction de rails (pas le choix de la longueur du canton isolé sur les voies flexibles) et surtout elles sont sensibles aux variation de température et il est fréquent de retrouver 2 rails qui ne sont plus alignés.

Pour ma part, je sectionne le rail avec une “Dremmel” et un grand disque de coupe.
Ne pas oublier de solidariser le rail avec les traverses au moyen d’une goutte de colle cyanolite pour éviter que les rails se déplacement et ne refassent contact à l’endroit de la coupure.
Je récupère alors le signal pour une rétro-signalisation éventuelle à une éclisse de jonction dans le tronçon isolé.

Si je n’ai pas d’éclisse dans le tronçon isolé, je soude directement sur le rail avec l’aide d’“eau à souder” pour éviter de chauffer trop fort et faire fondre les traverses.
Attention l’eau à souder est acide et provoque rapidement de la rouille.
Pour éviter cela il faut rincer abondamment à l’eau claire avec un pinceau et ensuite sécher au sèche cheveu.

Des explications aussi sur mon site : trainservice rubrique Trucs et astuces, sous rubrique Märklin.

Cordialement

Bonjour Jean-Marie,

Sans esprit de contradiction, bien entendu, juste dans un soucis de précision.

Et avec beaucoup de réserve dans mon propos, parce que il faut se méfier de ces expressions “de métier”… qui sont parfois imprécises, ou qui se comprennent différemment d’une région à l’autre.

“L’eau à souder” , pour moi est un décapant, selon ce que j’en connais elle est obtenue en disolvant à saturation (quand ça ne fond plus, ben fô arrêter! :wink: ) du Zinc (en petit morceaux) dans de l’acide chlorhydrique.

Tu as voulu dire que tu décapes à l’eau à souder, et qu’ensuite tu ne soudes ?

Sinon, vu la composition du jaja, c’est clair qu’il faut bien rincer !

Pendant que j’y suis j’ajouterais un “Disclaimer” :

Travailler dans un local ventilé, éviter tout contact avec la peau, attention aux yeux ! :clown:

Bonjour Claude,

Tu as tout à fait raison dans ton explication complémentaire.
C’est exactement la composition de l’eau à souder.
Dangereux quand même à fabriquer soi même.
Si je me souvient bien de mes cours de chimie, il y a plus de 40 ans, une telle procédure dégage de l’hydrogène dont les vapeurs sont explosives.

On peut par contre trouver ce produit auprès des bijoutiers qui l’utilisent pour pour leurs soudures.

Merci pour ton complément d’information.

Cordialement

Re !

Cool !

On est bien d’accord.

+1, à ne pas essayer de fabriquer soi-même, j’ai oublié ça dans mon “disclaimer”…
Je mérite de me faire :yesno:

Mes cours de chimie ne sont pas beaucoup plus récents que les tiens ! :wink:

Sinon, après avoir posté ici, je reconnais que j’aurais dû procéder dans l’ordre inverse… je suis allé “googler” par curiosité “eau à souder”.

C’est du grand n’importe quoi, selon que l’on “atterrit” sur un site de modélisme ou de fabrication de vitrail… voire d’un site de modèlisme à l’autre…ben, la définition change !!!

Pour les uns, c’est un flux de décapage (comme nous l’entendons tous les deux, à mon avis avec justesse)…
… pour les autres, c’est de la soudure liquide !!

Du coup, il y a un risque d’incompréhension … Grrrrrrrr ! :smiley:

Bonne journée,

Claude

Bonjour,

Pour ma part je n’aime pas trop les éclisses isolantes car par définition on ne peut les mettre qu’à des jonction de rails (pas le choix de la longueur du canton isolé sur les voies flexibles) et surtout elles sont sensibles aux variation de température et il est fréquent de retrouver 2 rails qui ne sont plus alignés.

Pour ma part, je sectionne le rail avec une “Dremmel” et un grand disque de coupe.
Ne pas oublier de solidariser le rail avec les traverses au moyen d’une goutte de colle cyanolite pour éviter que les rails se déplacement et ne refassent contact à l’endroit de la coupure.
Je récupère alors le signal pour une rétro-signalisation éventuelle à une éclisse de jonction dans le tronçon isolé.

…bonjour :slight_smile: merci pour les réponses. pour le sectionnement, j’ai trouvé une illustration ce site allemand qui parle également des éclisses isolantes PECO. si j’ai bien compris les diverses propositions, il faut d’abord isoler la file de rail par isolement ou sectionnement (il va falloir que je choisisse :pale: ) puis connecter le fil relié à la sortie S88 au rail isolé, par soudure. je savais bien que je n’y couperais pas, à la soudure :malade:
mais comme j’ai prévu de faire de la caténaire Sommerfeldt, raison de plus de m’y (re)mettre

Bonsoir :slight_smile:
J’ai finalement opté pour les éclisses isolantes Peco. Elles se posent bien et comme je n’ai pas énormément de rails flexibles, je dois pouvoir m’en sortir avec cette méthode. Merci encore pour les conseils.

Sinon, après avoir posté ici, je reconnais que j’aurais dû procéder dans l’ordre inverse… je suis allé “googler” par curiosité “eau à souder”.

C’est du grand n’importe quoi, selon que l’on “atterrit” sur un site de modélisme ou de fabrication de vitrail… voire d’un site de modèlisme à l’autre…ben, la définition change !!!

bonsoir :slight_smile:
un petit complément de question sur cette question de soudure : comme c’est la première fois que j’essayais de souder sur un rail, ça été le fiasco complet :grr: en gros : ça ne soude pas. pour éviter de cramer le joli rail, j’ai préféré arrêter les frais sur cette méthode.
est-ce parce que l’alliage des rails (maillechort si je ne m’abuse) n’est pas “compatible” avec la soudure à l’étain? sur certains sites, on semble recommander de la brasure Etain/Argent, sur d’autres on ne jure que par les eaux du diable (à souder). bref, j’y perds beaucoup mon latin ferroviaire :scratch: merci pour les tuyaux

:smiley: Bienvenue dans la soudure… :nerd:

et oui hélas , si tu parles des rails flexible en voie k et méme des coupons de rails…
il n est pas possible de souder un fil au rails , par la composition de métal du rail en inox…, :confused:
mais qui ne rouille pas et est assez bon conducteur pour le courrant… :cheers:

tu peux, souder le fil sur l éclisse, avec une pince plate ,tu l écrases et ensuite tu la glisse sous le rail, et voilà ,tu viens de faire une détection sur la file de rail ou il y a les 2 coupures.
pour la déco , la ou l on voit le fil avec l éclisse, tu rajoute un peu plus de ballaste… :cheers: :sunny:


il n est pas possible de souder un fil au rails , par la composition de métal du rail en inox…, :confused:
mais qui ne rouille pas et est assez bon conducteur pour le courrant… :cheers:

bonsoir :smiley:
merci pour cette précision. j’aurais du me souvenir que le maillechort est plutôt de couleur “jaune” et que l’argenté de la voie K signalait un autre métal (je suis novice en voie K mais j’aurai appris quelque chose :study: ). je comprends mieux pourquoi je pouvais toujours m’escrimer avec mon fer à souder… :mdr:
pour l’astuce, je pense que je vois : en fait c’est le même principe que le contacteur Märklin 7500 mais “fait maison”. bon, y’a plus qu’à faire maintenant :clown:

bonsoir à tous :slight_smile:
un petit aperçu de la méthode que j’ai finalement retenue pour mes rails de contact en voie K (c’est celle de marcus59 que je remercie pour le tuyau) :

i47.servimg.com/u/f47/12/27/19/08/img_1838.jpg
j’utilise des cosses Märklin que je coupe en deux avant d’aplatir la partie bombée à la pince. le câble bleu est simplement soudé sur la partie plate. avec ce gabarit, la cosse s’insère tout simplement dans l’espace entre le rail la traverse. je pense que je mettrai un petit coup de peinture ultérieurement pour les rendre encore plus discrets mais ça fonctionne parfaitement bien (une dizaine de rails de contacts réalisés et posés à ce jour).

:smiley: Bonjour… :smiley: Bien content pour toi…

comme quoi notre forum est trés important et permet de partager de bonnes idées… :cheers:
n oublie pas de rajouter du ballaste pour cacher l ensemble…et bonne continuation… :sunny:

surtout comme la fait remarqué jean marie, n oublie pas d insérer dans les coupures de rails , un peu de colle , pour éviter que dans le temps ,le rail ne glisse et refasse le contact… :nerd: :vieux:

Bonjour Marcus et tous les autres,
Ton système est super, et aussi très facile.
J’ai moi aussi voulu souder des fils sur mes railsK, mais ca ne tiens pas. Comme je n’ai
Jamais utilisé cette fameuse eau du diable, je me serts des pieces d’origine de chez Maerklin. Comme elles ne sont pas discraites, je les peinds en marron rouille, et les camoufle avec du ballast. Sur le bord des voies, y a souvent des petits monticules de gravier.

Filipi.

:smiley: :smiley: :smiley: , Bonjour Philippi…

Dans la réalitée aussi , il arrive qu il y a des petits monticules de ballaste qui arrive au niveau du rails…
à l époque de la vapeur assez courant , quand la machine patinée malgré la projection de sable, le chauffeur descendait de la machine, piochait avec sa pelle dans le tas de sable et le jetait devant les roues, dés que la machine accrochait la voie et prenait de la vitesse ,il remontait…

moi de méme , mais comme routier citernier 38 tonnes scania 111.
alors que je devais livrer du fioul à Givet,sur la route du retour, j ai été pris dans une tempéte de neige, a chaque fois que le tracteur patinait, je devais descendre, prendre ma pelle ,courir au tas de sable et de le jeter devant les roues sur quelques métres… :vieux:

Bonsoir Marcus,

Oui je m’imagine bien que ca devait patiner.
Quand j’étais petit, on partait chaque hiver dans les Pyrénées. Mon
Père était un montagnard et les Pyrénées depuis Bordeaux n’étaient pas si loin que ca.
Une fois, nous aussi avons été pris dans une tempète de neige. Mon
Papa a du s’arrêter, car la bonne 404 patinait dans tous les sens, et nous sommes donc descendus de la voiiture pour aller ramasser des gravillons, pour mettre sous les roues. On a pu repartir et arriver à bon port.
Filipi

:smiley: trés bon choix pour l époque…

voici la voiture du pére ,
voiture familiale de 1964 si je me souviens bien…i42.servimg.com/u/f42/11/32/05/72/s0-min10.jpg

voiture increvable, mes parents ont parcourus toute la france avec en tractionnant une trés grosse caravanne de l époque.
hélas , elle a finie sa carriére dans un champ ,comme cage à poules… puis…

Alors si on remonte dans ses souvenirs d’enfance, mon papa a eu 3 404.
La première, beige avec le volant blanc, la 2ème blanche avec sièges en cuir noir, et la dernière verte fonçée avec les compteurs ronds, et bien sur le fameux toit ouvrant.
Ma maman a du vendre cette magnifique voiture après le décé de mon papa en 72.
Ma maman n’avait pas le permis de conduire.
Moi même, j’ai eu 2 404. Une berline de 68 avec sièges de cuir marron et moteur a injection, et plustard un cabriolet blanc, vitesses au plancher, de 64.
C’est encore pour moi une voiture mytique.
Sur mon réseau, j’ai 4 miniatures, dont une du tour de France.
Que de bons souvenirs tout ca.
Filipi

:smiley: oui

pas que des bons souvenirs…

elle avait les vitesses au volant…

trés facile d entretient comme pour faire l embrayage…

c était du bon Français made in france…

bon c est vrai que trés vite oublié ,remplacée par la 504…increvable aussi…plus de 350.000 km au compteur ,le chassis a cassé en 2 , vendue pour piéces…

la R 21 etait aussi une trés bonne voiture, la voiture du bof …350.000 km compteur toujours le méme moteur.
la mienne 250.000 km au compteur toujours le méme moteur, mais n a pas réussi sont passage au controle, le chassis est hyper bouffé, je suis sur que si a l époque ils avaient fait des chassis en inox, elle aurrait pu encore faire 20 ans…
en réalitée , tous les moyen sont bon pour éradiqué ce genre de voiture, car j ai copié ce qui se disait un peu a la télé et avec aussi ce que l on faisait à l armée, l huile de friture et les huiles de vidange a 50% avec le gazoil et jamais eu de probléme…
Avec les nouvelles voiture ,impossible de faire cela… :nerd:

puis le déclin , avec la 604…et les autres…

bonjour à tous :slight_smile:
heu, on ne serait pas un peu loin du sujet là? :wink: je ne dis pas :hs: mais peut-être à déplacer au bistrot pour que les lecteurs trop rapides ne confondent pas la perte de contact en voie K avec un problème de graviers :lol!: surtout que les graviers en modélisme, sur la voie, c’est pas top :affraid: