Bonjour,
j’ai préféré commencer un nouveau fil puisque ce sujet se détache de trop de celui où la discussion avait commencé…
Bonjour Daniel,
effectivement il y a des choses qui vont mal. Mais pas Märklin - ils font du bénéfice et n’auraient jamais dû déposer le bilan si les vautours de Kingsbridge ne leur avaient pas imposé des “conseillers économiques” qui ont facturé leurs “services” à des dizaines de millions d’euros par an : ces factures pèsent plus lourds que le déficit annuel de la marque, autrement dit : sans ces voleurs, l’entreprise aurait encore fait du bénéfice durant toutes ces années. Le dépôt de bilan n’a servi qu’à se débarasser du plomb que ces pirates avaient mis dans les ailes de la marque. Ceci pour la remarque de Jean.
Après, il y a revendeur et revendeur. Il y en a qui toutes les semaines font plus de chiffre d’affaires - avec les produits Märklin, je veux dire - que d’autres durant toute une année. Notamment en France le marché Märklin n’est pas au top, la marque ne fait pas de publicité depuis longtemps (et LocoRevue les descend systématiquement). C’est vrai que là, la vente par correspondance pour la poignée de revendeurs est une obligation : ça, ou laisser le marché entièrement aux commerçants en Allemagne…
Mais je n’y étais pas à cet entretien. Je ne sais pas si le commercial a dépassé ses limites, s’il y a peut-être eu des malentendus à cause d’un problème de langue. Les commerçants allemands se voient imposée la règle de ne pas dépasser les 10% de réduction par rapport au prix indiqué par le producteur. Du moins pas tant que le modèle est encore au catalogue, ce qui revient à l’équivalent de “de l’année en cours”. Ça, c’est une facette de la nouvelle politique Sieber, de réduire la différence entre prix normalisé et prix de vente “dans la rue”.
Pour les pièces de réparation - d’accord. C’est là encore une malheureuse conséquence du fait qu’il n’y a plus guère de pièces normalisées, mais que chaque modèle est à 95% de pièces spécifiques. Et ils préfèrent peut-être que la loco défectueuse leur soit envoyée, ce qui permet d’analyser la raison de la faute - mais là encore, les 6 semaines d’attente sont à prévoir.