C’est surtout la nécessité de pouvoir commuter blanc/rouge sans sortie de la machine.
A l’époque le seul moyen fiable de faire un rouge c’est de colorer le verre (et non l’ampoule). Donc pour le feu supérieur il y a deux feux, un blanc et un rouge, alors que pour les feux inférieurs, il y a des verres rouges à placer sur les lanternes (comme sur la croco à Delémont).
Les Ae 6/6 sont sorties au début également avec deux feux supérieurs.
Depuis la technique a évolué et on retrouve les ampoules colorée (Re 4/4 II), voir un feu rouge intégré dans le blanc, c’est le cas des automotrice WM et BT ci-dessus.
A partir des Re 4/4 IV on retrouve des feux bi-compartiment (un blanc, un rouge) également pour le feu suppérieur, et tout récemment c’est les leds.
Le feux rouge suppérieur est toujours utilisé comme partie du signal d’alarme (en tout 3 rouges → arrêt immédiat pour les trains croiseurs)
Samedi 11 mai, je suis descendu à la gare de Bienne pour voir ce qu’il s’y passe, mais aussi pour tester un nouvel objectif, rien de spécial, je vous en fait part.
Je vous laisse chercher ce qu’est un berner Mutz… (celui là, pas la tenue traditionnelle), c’est du moins la seule explication que j’ai entendue jusqu’à présent.
C’est une petite tradition du BLS, la rame 13 à un nom qui diffère des autres.
Sinon je me suis permis de changer la discussion, je ne pense pas que celle d’origine soit la bonne.
Merci pour le message, quand à la question, mystère et boule de gomme, quand au volatile, il s’est bien gardé d’ouvrir son bec, même en ne tenant rien dedans.
un DC 3.DOUGLAS , surement des avions de collectionneurs , ici sur Dunkerque , nous les voyons passé de la Belgique , pour les commemorations du débarquement du 5 juin…
DC 3 ,spitfires , hurricanes et avion de transport Allemand…
Concernant le corbeau , ce n’ est pas comme le croit certain que c’ est un oiseau de mauvaise augure .C’ est l’ un des plus intelligeant, il comprend ce qu’ on lui dit…
Quand l’ un des leurs, meurt , ils se rassemblent tous pour un adieu…
A ne pas confondre avec la corneille , qui a exactement les memes comportements…
mais ,elle a un bec et un plumage different…
La 13 302 dort dans un de mes tiroirs… elle a été en Allemagne, il y a fort longtemps, et Märklin en a créé un pack mémoriel avec la 13 302 et une 194 de la DB.
À part ça, je mets juste un grand pour tout le fil.
Ces automotrices à deux étages ont bien reçu le sobriquet de “Mutz” (ours en dialecte bernois). La tradition de baptiser autrement le n° 13 d’une série a été respectée en baptisant cette automotrice “Ours”. Mais c’est encore le coup de la paresse intellectuelle des germanophones qui a proposé cette mauvaise traduction vers le français. la “bonne” eut été “Nounours”…
Compte tenu de la difficulté pour s’approvisionner en fuel lourd n° 2, ils sont obligés comme d’autres de s’en tenir à des fractions plus légères, donc au gazole.
De plus, les réglementations anti-pollution européennes imposent l’usage d’un gazole désulfurisé, donc encore plus cher que le gazole brut. Mais le gazole a un pouvoir calorifique supérieur, ce qui induit une moindre consommation à capacité de chauffe égale*. Ceci compense donc un peu le surcoût à l’achat.
J’ai vécu cela dans la marine au début des années 70 où l’on est passé du fuel au gazole pour la Jeanne-d’Arc et les F70 de la classe Tourville, avec quelques déboires (passage à la chauffe automatisée). Mais les deux porte-avions (Clemenceau et Foch) ont gardé leur chauffe au fuel, car la conversion s’avérait trop compliquée. Il faut dire aussi qu’en route “aviation” (32 nœuds contre le vent), les six chaudières engloutissaient 24 tonnes de fuel à l’heure !
Tient le fameux fourgon destiné à fournir le chauffage dans les voitures composant un convoi reproduit par Jouef il y a bien longtemps. Etonnant de voir qu’il en existe encore.
D’autres marques sorties de Jouef l’ont-ils reproduit à leurs tours au 1/87 ?
Merci Bernard pour les photos.
pour tout le fil.
