PC ou pas PC ?

Salut les gars :smiley:

Il est tard chez vous en Europe mais pas chez nous au Québec

Par hasard je suis tombé sur le site de modellplan…et ils réalisent depuis plusieurs années un logiciel de gestion de trains par PC…j ai lu en vitesse et je n ai pas approfondi le site

voici:

modellplan.de/Typo3/index.php?id=21L=2

Amitiés du Québec

Serge

Cela permettrait de supprimer totalement le système de rétrosignalisation, il suffirait juste d’avoir un endroit pour poser la loco sur les rails et partant de cet endroit et des informations envoyées par la loco, la centrale pourrait en permanence calculer la position exacte de la loco sur le circuit sans avoir besoin de saucissonner le circuit en cantons et installer un couteux et peu fiable bus S88 …

Mais qui est prêt à franchir le pas et à tuer la poule aux œufs d’or ?

Bonne journée :sunny1:

Et c’est justement là que je n’y crois pas. Car tu enrailles la loco à un endroit précis - d’accord. Mais quel système tenant sur quelques cm³ doit être capable de stocker en mémoire pendant éventuellement des mois, l’endroit précis et la direction de roulement d’une locomotive ? Quel système de mesure de distances est suffisamment précis pour indiquer l’endroit exact où se trouve la loco, même après des milliers de tours ? En tous cas, les compteurs kilométriques des voitures, pourtant homologuées pour cela, n’y arrivent pas : j’ai fait exactement le même trajet aller-retour avec deux voitures strictement identiques, l’une affiche 36km et l’autre 39km. Soit une différence de près de 10%. (mappy d’ailleurs confirme 36km) Le propriétaire de la 2e va donc 10% plus souvent aux vidanges et contrôles que le propriétaire de la 1ère.
Pour nos locomotives, cette même marge d’erreur serait d’un millimètre par centimètre, ou sur un réseau de 25 mètre de longueur de circuit, une erreur de 2 mètres et demi. Au lieu de s’arrêter à quai, elle reste devant le sémaphore d’entrée… et l’ordinateur pense que la voie est libre.

Même le grand chemin de fer ne se passe pas du contrôle d’endroit où se trouve exactement le train. Ils savent pourquoi.
Bonsoir Wolfram,

Ne compare pas un train et une voiture, c’est très différent …

1- Un train roule sur des rails et ne peut pas couper les virages :laughing: Dans un rond point par exemple suivant que tu roules à droite ou à gauche ta voiture ne parcourt pas la même distance, les petits trains n’ont pas de ronds points :tongue:
2- les petits trains n’ont pas de pneus … sur une voiture le diamètre des roues varie en fonction de l’usure des pneus et du gonflage …
3- Une mécanique de petit train ressemble à un mouvement d’horlogerie, entre le nombre de tours des roues et celui du moteur le rapport est fixe et invariable.
4- Un décodeur peut compter le nombre de tours du moteur de façon ultra précise …

En fin de compte une loco pourrait pratiquement être utilisée comme instrument pour mesurer une distance, un peu comme un compteur électrique pour mesurer la consommation d’électricité.

La seule chose à éviter est le patinage des roues …

Pour rendre le système 100% fiable il suffirait d’installer un ou deux détecteurs à des endroits précis où les locos passent régulièrement (entrée de gare par exemple) pour recaler le comptage de temps à autre.

Mais il n’y aurait pas besoin de truffer le circuits … un ou deux détecteurs suffiraient…

La loco ne stockerait rien, c’est le PC qui calcule et stocke en utilisant une technique équivalente aux waypoints en aviation.
Quand la loco passe sur un détecteur, le PC la localise de façon exacte et remet son compteur de distance à zéro …
Ensuite le PC lit le compteur régulièrement et trace la route de la loco en fonction des distances lues et de la position des aiguillages …
Au passage suivant sur un détecteur, le PC peut même recalculer le % d’erreur commise et en tenir compte par la suite, mais à mon avis ce serait peanuts …

Bonne nuit :sleep:

Je fais un “full quote” (horribile est dictu) (et maintenant j’ai assez balbutié en d’autres langues) parce que la réponse sera sur la nouvelle page. Sinon, je déteste ça.

Donc, point par point :

1° je pourrais t’indiquer les adresses exactes de départ et d’arrivée, pour que tu regardes sur google-maps ou autre satellite : il n’y a que peu de ronds-points sur la route, et je ne coupe pas les virages - le code de la route l’interdit. D’ailleurs, c’est une distance que j’ai faite très régulièrement, et en rentrant au bercail la voiture a avait TOUJOURS une distance entre 35,9 et 36,0 sur le compteur, alors que la voiture b affichait TOUJOURS entre 39,1 et 39,3. Je n’ai pas voulu relever les centaines de mètres, ici. Mais il est sûr et certain que la différence kilométrique est due aux voitures, pas aux conditions routières.
2° L’usure du pneu - c’est une différence de diamètre de 2cm entre neuf et usé à la trame. Quel diamètre a un pneu de 165/70R14 ? exactement 14"+(20,7165)mm, soit 355,6mm+1,4*165mm=586,6mm. L’usure du pneu ne fait donc que 3,4% de différence de distance par tour de roue, soit 3,4% d’erreur entre un pneu neuf et un pneu usé hors la loi. Si j’avais eu des Audi au lieu des C3, le chiffre serait encore plus minime, parce que les roues 18" sont plus grandes à la base. D’ailleurs, j’ai deux petites locomotives à deux groupes de propulsion, aux roues biellées : une BR96 et une BR152. Sur le modèle, l’un est moteur, l’autre n’est qu’à roues libres. On voit clairement qu’à un moment les deux groupes roulent au mouvement de bielles parallèles, et quelques tours de réseau (soit une dizaine de mètres) plus tard, ils sont à mouvement invers - le 1er en haut, le 2e en bas.
3° remarque inutile, le rapport entre nombre de tours de roue et le nombre de tours de l’arbre d’indicateur de vitesse est également fixe.
4° Y a pas que le décodeur, le tracteur de mon ami, vieux de 40 ans, le fait aussi. :stuck_out_tongue:
J’ajoute un
5° Il paraît que parfois, une locomotive patine. Il paraît que parfois, ça arrive aussi aux petits modèles, malgré les bandes adhésives. Et même en numérique, alors que les démarrages sont maintenant bien plus doux qu’autrefois, quand “clac” la palette montait et le moteur était brusquement mis sous tension maximale.

tous tes arguments seraient autant valables pour le TGV que pour le minitrix - mais quand même, la SNCF préfère s’assurer techniquement de savoir à quel moment le train passe tel détecteur fixe, parce que c’est plus fiable que la seule mesure à bord de la distance parcourue.

Mais si j’ai quand même besoin des contacteurs pour vérifier et corriger les mesures à bord, autant m’abstenir d’une technique onéreuse et inutile au-delà de cette exploitation (le retour actif venant de la locomotive).

M’enfin, chacun comme il veut ; moi personnellement je reste à l’analogique pour l’instant. Une éventuelle construction sera préparée pour le passage au numérique, autant en commandement qu’en détection, mais là je ne peux pas me résoudre à digitaliser les vieux trésors qui ont encore le levier manuel de changement de direction.

Bonjour à tous,

Je suis certainement un peu déformé par l’exploitation de mon réseau avec la MS2, mais j’ai encore une question de néophyte. :blush:
Comment s’effectue la rétrosignalisation des aiguillages pilotés par des décodeurs 74460.
En effet avec la MS2, lors de la mise en route tous les aiguillages sont vus comme “déviés” alors qu’ils peuvent être dans différentes positions. Je suppose qu’avec Les CS ou autres centrales dont on a parlé, on doit pouvoir visualiser la position réelle des aiguillages gardée en mémoire ???

A bientôt

Amitiés bretonnes

Je suis certainement un peu déformé par l’exploitation de mon réseau avec la MS2, mais j’ai encore une question de néophyte. :blush:
Comment s’effectue la rétrosignalisation des aiguillages pilotés par des décodeurs 74460.
En effet avec la MS2, lors de la mise en route tous les aiguillages sont vus comme “déviés” alors qu’ils peuvent être dans différentes positions. Je suppose qu’avec Les CS ou autres centrales dont on a parlé, on doit pouvoir visualiser la position réelle des aiguillages gardée en mémoire ???
Il n’y a pas de rétrosignalisation de la position des aiguillages.

On envoie une commande et le système fait l’hypothèse qu’elle est exécutée; mais il n’y a pas lecture de la position des aiguillages.

Je fais moi même mes décodeurs d’aiguillages à ma façon et j’ai inclus une lecture de la position des aiguillages; on m’a souvent dit que c’était inutile mais moi j’aime bien :laughing:

Bonne journée :sunny1:

c’est une distance que j’ai faite très régulièrement, et en rentrant au bercail la voiture a avait TOUJOURS une distance entre 35,9 et 36,0 sur le compteur, alors que la voiture b affichait TOUJOURS entre 39,1 et 39,3. Je n’ai pas voulu relever les centaines de mètres, ici. Mais il est sûr et certain que la différence kilométrique est due aux voitures, pas aux conditions routières.
Bonjour Wolfram,

Ce que tu me dis là n’est pas un problème de précision, mais un problème d’étalonnage.

Le compteur était précis et répétitif puisqu’il indiquait toujours entre 39,1 et 39,3 … C’était pas 33 un jour et 39 le lendemain :clown:
Il mesurait donc TOUJOURS la même distance, il t’aurait suffit de multiplier la distance lue par 0,918 pour corriger et connaitre la distance exacte avec une précision de l’ordre de la centaine de mètres.

Après étalonnage du compteur tu aurais eu une distance exacte et TOUJOURS la même.

De même avec nos petits trains, si le décodeur compte 31,84 tours de roue pour parcourir 1 mètre, tu pourras mesurer de façon précise la distance parcourue par une loco simplement en comptant le nombre de tours de roue.

Pour éviter les problèmes liés au patinage, il suffit de faire le comptage sur un essieu non moteur.

L’avantage d’un tel système serait de pouvoir localiser les trains avec un minimum de fils et de matériel.

Il suffirait juste de mettre des détecteurs là où une grande précision est requise, par exemple aux points d’arrêt des trains en gare.

Bonne journée :sunny1:

Bonjour Jean Louis, Bonjour à tous
je ne sais pas pour les autres logiciels, mais avec iTrain, il est possible de faire une rétrosignalisation sur un aiguillage, pour s’assurer que l’ordre commandé a bien été executé. je ne l’ai jamais testé, mais c’est possible.
amicalement
Yannick

Bonjour à tous,

Je suis certainement un peu déformé par l’exploitation de mon réseau avec la MS2, mais j’ai encore une question de néophyte. :blush:
Comment s’effectue la rétrosignalisation des aiguillages pilotés par des décodeurs 74460.
En effet avec la MS2, lors de la mise en route tous les aiguillages sont vus comme “déviés” alors qu’ils peuvent être dans différentes positions. Je suppose qu’avec Les CS ou autres centrales dont on a parlé, on doit pouvoir visualiser la position réelle des aiguillages gardée en mémoire ???

A bientôt

Amitiés bretonnes
Bonjour,

Garder en mémoire la position des aiguilles est une chose. Je suppose que tous les programmes pour ordi le font. Les centrales, je n’en suis pas si sûr: attendons les réponses des autres membres.
Par contre, rétrosignaler la position des aiguilles est autre chose. Le plus simple est de profiter de la présence des fins de course*. (ce qui nécessite de ne pas les court-circuiter, d’où éventuel problème de fiabilité, ou de les utiliser différemment (bidouilleurs avertis)). Il faut alors utiliser un s88 (opto si on ne veut pas ajouter d’électronique), connecté sur les commandes “k83”.
Dans le cas du 74460, il faudra, en plus, bidouiller avec le fer à souder.

edit: * un fabricant offre une possibilité de rétrosignalisation même sans fin de courses. Je ne sais plus lequel. Son principe ne m’avait pas paru très fiable, mais je ne connais pas de retour d’expérience d’utilisateurs.

Bonjour à tous.

Pour la rétro des aiguillages je n’ai pas l’expérience… et pour tout vous dire je ne veux pas trop m’enquiquiner avec ça. Je joue au ptit train sans trop me prendre la tête, et c’est déjà assez stressant de tester et chercher les bugs de la rétro et d’y trouver une solution. Et puis j’ai ponté les fins de courses donc faudrait que je trouve un autre moyen.

Cependant comme la position des aiguillages au démarrage de rrtc est importante bien sûr je fais un check du réseau et rrtc exécute une commande sur chaque aiguille 2 fois ce qui permet de remettre celles qui ne sont pas synchrone avec ce que croit le soft d’aplomb et ne change pas les autres. Et ma foi ça ne fonctionne pas trop mal. Edit : Pour la centrale je n’ai pas vérifié. Je vous le dis dès que possible.

A part ça la discussion entre Jean Louis et Wolfram est :affraid: :face: :clown: … mais je vois qu’il y des arguments…

Allez, bon Dimanche :smiley:

Bonjour à tous,

Moi j’ai une super idée très fiable pour la rétrosignalisation des aiguillages :

imageshack.us/a/img32/6858/mar72710.jpg

Référence 72710

:lol!: :lol!: :lol!:

A bientôt,

Xavier si tu as besoin j’en ai 2 à vendre + des plus anciens non rétrosignalés… :smiley: :smiley:

Plaisanterie mise à part, avec une CS2 ou une ECOS2, ces stellpult ne sont plus nécessaires dans la mesure où tu actionnes les aiguilles en cliquant sur le TCO à l’écran de la centrale.

Bon Dimanche :smiley:

c’est une distance que j’ai faite très régulièrement, et en rentrant au bercail la voiture a avait TOUJOURS une distance entre 35,9 et 36,0 sur le compteur, alors que la voiture b affichait TOUJOURS entre 39,1 et 39,3. Je n’ai pas voulu relever les centaines de mètres, ici. Mais il est sûr et certain que la différence kilométrique est due aux voitures, pas aux conditions routières.
Bonjour Wolfram,

Ce que tu me dis là n’est pas un problème de précision, mais un problème d’étalonnage.

Le compteur était précis et répétitif puisqu’il indiquait toujours entre 39,1 et 39,3 … C’était pas 33 un jour et 39 le lendemain :clown:
Il mesurait donc TOUJOURS la même distance, il t’aurait suffit de multiplier la distance lue par 0,918 pour corriger et connaitre la distance exacte avec une précision de l’ordre de la centaine de mètres.

Après étalonnage du compteur tu aurais eu une distance exacte et TOUJOURS la même.

De même avec nos petits trains, si le décodeur compte 31,84 tours de roue pour parcourir 1 mètre, tu pourras mesurer de façon précise la distance parcourue par une loco simplement en comptant le nombre de tours de roue.

Pour éviter les problèmes liés au patinage, il suffit de faire le comptage sur un essieu non moteur.

L’avantage d’un tel système serait de pouvoir localiser les trains avec un minimum de fils et de matériel.

Il suffirait juste de mettre des détecteurs là où une grande précision est requise, par exemple aux points d’arrêt des trains en gare.

Bonne journée :sunny1:

Admettons. Que ferais-je d’une BR81 ou BR89 (040T ou 030T) qui n’ont fichtrement pas d’essieu porteur ?

De plus, tu viens d’admettre qu’il faut quand même un certain nombre de détecteurs fixes. A quoi s’ajoutent des équipements bien plus sophistiqués dans chaque motrice, des capteurs fiables sur le réseau et probablement en grand nombre parce que sinon on risque de se prendre les pieds avec pas mal de réglementations sur les émissions HF. J’imagine un réseau, pas si énorme que ça, sur lequel circulent une cinquantaine de locomotives - pas en même temps, quand même, mais… comment veux-tu le faire fonctionner ? En 27Mhz ou 41Mhz comme les voitures télécommandées ? Et à la rigueur tout cela en fonctionnement sur pile, ce qui veut dire qu’il faut recharger les locs à tout moment ?

Bref, je ne vois pas l’avantage ; au contraire ça me paraît assez cher et moyennement fiable.
D’ailleurs, la connexion WiFi de la LiveBox m’emmerde déjà assez pour me dégoûter des systèmes sans fil.

Que ne voila pas une passionnante discussion très argumentée entre les amis Jean Louis et Wolfram :smiley:

Bref, je ne vois pas l’avantage ; au contraire ça me paraît assez cher et moyennement fiable.
D’ailleurs, la connexion WiFi de la LiveBox m’emmerde déjà assez pour me dégoûter des systèmes sans fil.
Chez moi j’ai plusieurs appareils qui communiquent entre eux via la Livebox sans me poser le moindre souci.

Je verrais très bien un appareil supplémentaire : une belle locomotive Märklin équipée d’une puce wifi communiquant via la Livebox avec mon ordi comme le fait mon imprimante. :cheers:

Pas besoin de centrale, booster et tous ces trucs qui sont juste là pour nous faire dépenser des sous …

Bonne journée :sunny1:

Bonsoir à tous,

Là, je crois que j’ai fait le plein d’infos sur le sujet “PC ou pas PC”. Je pense que cette discussion sera utile à beaucoup de débutants se posant des questions sur le pilotage par PC.
Les deux liens fournis par Fabrice sont également très instructifs. Il faut un peu de temps pour digérer toute cette littérature.
Je vais continuer à laisser mûrir tout ça avant de me lancer dans l’application.
Grand merci à tous.

@ Jean-Louis et Wolfram : C’est pour quand les RFID dans les locos et les wagons ??? Je crois que je vais relancer un débat :yesno:

@ Six qui voulait mettre une batterie dans les locos et supprimer le rail central, on peut commencer par faire le test avec l’ICE MA 29200. :mdr: :mdr: J’ai remplacé les piles par des batteries car il roulait trop vite !!!

[flash=425,350]http://youtube.com/v/B1xPj95VT6M[/flash]

C’est ennuyeux pour la rétrosignalisation car les roues en plastique !!!

A bientôt

Amitiés bretonnes

edit: * un fabricant offre une possibilité de rétrosignalisation même sans fin de courses. Je ne sais plus lequel. Son principe ne m’avait pas paru très fiable, mais je ne connais pas de retour d’expérience d’utilisateurs.Bonsoir :slight_smile:
les moteurs sortis il y a deux ans par Viessmann, dont le décodeur est intégré, disposent également d’une connectique séparée pour la rétrosignalisation. J’ai l’impression, d’après la doc, que ça ne fonctionne pas avec n’importe quoi (je n’ai pas la doc sous la main). Pour les moteurs classiques, ayant suivi les avis de plusieurs de nos modélistes chevronnés, j’ai de toutes façons viré les fins de course :pirat: . De manière générale, comme le dit Ta-prohm, quand un ordre est envoyé au décodeur qui pilote un moteur, le système ne fait que supposer que son ordre a été exécuté correctement, c’est tout. D’où l’importance d’avoir quand même un oeil sur les locos (sinon, pourquoi faire du modélisme :joker: ?) et, encore mieux, le bouton d’arrêt d’urgence pas à l’autre bout de la pièce…

…les moteurs sortis il y a deux ans par Viessmann, dont le décodeur est intégré, disposent également d’une connectique séparée pour la rétrosignalisation. J’ai l’impression, d’après la doc, que ça ne fonctionne pas avec n’importe quoi (je n’ai pas la doc sous la main)…
Apparemment, il suffit d’ajouter des relais bistables. On passe ensuite par les s88 (il est même peut être possible de ne pas utiliser les relais bistables, si on a un PC: il faudrait connaître le signal de sortie rétrosignalisation du décodeur) . Il y a aussi une possibilité railcom.

En fait, j’ai retrouvé le détecteur de position d’aiguille dont je parlais: c’est TAMS qui le fait. Je n’ai pas trouvé de critique sur ce produit sur le forum marklin-users. Peut être quelqu’un a t il eu des échos sur les forums allemands?

Bonsoir Pierre, bonsoir Lucien,

Ce qui est effectivement bien génant quand on redémarre son réseau, c’est de ne pas savoir dans quel état sont les aiguillages avec une MS 2, car la seule solution, c’est de faire un “reset” manuel de tous les aiguillages cachés avant de lancer les trains sur le réseau pour éviter les collisions. Il faudrait que j’ajoute ce controle à ma check list de départ :exclamation: :exclamation:
Tous mes aiguillages ne sont pas télécommandés et il me reste un K83. Je vais voir ce que l’on a comme retour sur les fils de commandes pour réaliser un pseudo TCO avec des LEDs. Je n’ai pas supprimé les detections de fin de course sur mes aiguillages et je n’ai pas de problèmes pour le moment. Je me suis déjà fait un pseudo signal à LEDs pour une voie pas encore cachée dont je voulais avoir l’état, j’adopterais le même principe.
Il faut que j’essaie déjà sur un aiguillage.
Je vais aller voir du coté de chez Viessmann et aussi TAMS que je découvre et qui ont effectivement du matériel intéressant, dont leur centrale qui n’est pas mal du tout. Par contre la langue de Goethe n’est pas ma tasse de thé :blush: mais celle de Shakespeare ne me rebute pas.

A bientôt

Que l’on soit “pour ou contre” l’usage d’un PC dans nos petits trains, il faut admettre que le sujet fait taper beaucoup de touches…

Ce qui est effectivement bien génant quand on redémarre son réseau, c’est de ne pas savoir dans quel état sont les aiguillages avec une MS 2, car la seule solution, c’est de faire un “reset” manuel de tous les aiguillages cachés avant de lancer les trains sur le réseau pour éviter les collisions.Ma CS1 garde en mémoire l’état des aiguillages même après avoir été débranché plusieurs semaines, je suppose donc que la CS2 fait pareil.

@ Jean-Louis et Wolfram : C’est pour quand les RFID dans les locos et les wagons ??? Je crois que je vais relancer un débat[

J’ai lu sur ce fils que ESU avait conçu la CS2, c’est une erreur : ESU a fait la CS1 pour Marklin effectivement mais Marklin à développé la CS2 sans ESU (leur relation semble s’être dégradée).C’est pour maintenant !](http://www.ldt-infocenter.com/english/rfid-home_e.htm)

pffft, ch’uis pas trop vieux pour ça, juste trop radin pour ce que ça m’apporte… et puis, mon ordinateur est trop jeune pour ça, il n’a pas de prise RS232 (sérielle pour les copains). C’est de la technique du siècle dernier, ça.
Quoique - ça peut être intéressant pour gérer une gare souterraine quand on ne veut justement pas tout gérer par ordinateur, mais la gare… et qu’elle peut donc choisir la bonne voie pour le train qui entre. De ma tendre jeunesse, ça se faisait parfois par barcode (ces trucs à lignes noires et blanches que vous trouvez sur tous vos pots de yaourt et autres emballages, et qui permettent à la caisse, mais pas à la caissière, d’en savoir le bon prix). Mais à 70 Euros le transpondeur, et qu’il faut apparemment le coller SUR la locomotive… vous voulez vraiment décorer vos locos de ça ?

D’ailleurs, “usine à gaz” je suis bien d’accord.