Je confirme … En parlant d’informatisation, notre échange au sujet du dépôt automatique de @pappy_marklin continue de me faire réfléchir … même si je suis une buse confirmée en automatisme et autres, ce concept m’a tapé dans l’oeil (le concept d’une vitrine dynamique).
J’imagine qu’il faille d’abord un logiciel qui tienne la route, puis de nombreux modules “S88” ???
Au niveau informatique, mon choix est loin d’être fait mais ce sera iTrain ou Rocrail ou JMRI.
Je suis allée voir ta référence de retro-signalisation et je n’ai pas bien compris l’avantage par rapport à la solution standard Marklin. Même au niveau prix on est dans le même ordre de grandeur.
J’intuite juste que je pourrais rétro signaler directement vers le logiciel, sans passer par la centrale. Et donc éventuellement utiliser ma digibox actuelle (on trouve des montages pour la connecter au busCAN).
(Je parle pas allemand, j’ai traduit avec Google, j’ai du rater quelque chose car la traduction est mauvaise)
Oui bien sûr mais il faut à mon sens une certaine taille de dépôt et un réglage très complexe des vitesses et distances de freinage de chaque locomotive car il faut pouvoir arrêter précisément la locomotive sur détection. Le plus délicat étant le pont !
J’ai 24 zones de détection sur mon dépôt et je pense semi-automatiser. Je m’explique.
Faire un itinéraire pour remiser une locomotive ou démarrer un itinéraire depuis la voie de sortie ou de la voie de la grue de secours.
Maintenant je pense que le pont Frateschi est trop petit pour permettre de l’inclure dans une séquence d’automatisme.
Ou alors uniquement avec une petite locomotive.
Les zones de détection vont surtout me servir pour le TCO qui sera sur un écran dédié (tablette wifi).
Je suis parti sur ce système parce que j’utilise une centrale Esu et que la retro Esu est hors de prix, et quelle intègre le “railcom” que je n’utilise pas.
Selon Xander (le développeur d’Itrain) ce bus est très rapide et ne nécessite pas de diodes sur les contacts.
Autre avantage, les modules présentent un affichage du numéro du contact, utile lorsque on vérifie ceux-ci.
Cependant, je suis certain que la version Maerklin avec le link est aussi efficace.
Pour 24 contacts, il faut utiliser 2 modules S88.
Sur mes réseaux j’utilise les S88 Digikeijs qui sont très fiables. J’apprécie particulièrement leurs contacts à vis, à mon sens plus fiables, que les fiches proposées par d’autres marques (j’ai abandonnés les Viessmann pour ce motif).
J’ai aussi abandonné les centrales Märklin (CS1 et CS2) pour une EcosII et un Mobil Control de chez Esu (sans fil), moins chers et plus universels qu’une CS3 ou les MS.
SI tu utilises un logiciel, il faudra acquérir une interface.
Bonne continuation.
La suite est plutot simple, il faut juste s’assurer des angles à 90°, et ce n’est pas forcément facile avec des pièces aussi petites. A faire trois fois pour les trois piliers :
Dernier élément sensible, l’escalier. Une vraie galère, je l’ai monté à l’envers et j’ai du dessoudé et ressoudé ensuite … avec une marche qui est tombée au passage … cinq minutes pour arriver à la ressouder …
Oui et elle est extensible pour ceux qui veulent une passerelle plus longue.
Franchement tu devrais ! C’est ce que je raconte dans l’épisode 5, c’est après avoir visionné une vidéo que j’ai compris que ce n’était finalement pas très compliqué.
Il faut un fer à souder et une soudure liquide avec un flux pour diluer. Et un pinceau pour poser la soudure.
La difficulté vient de la petitesse des pièces mais le résultat est plutôt bluffant de précision. Et on trouve effectivement des kits comme cette passerelle vraiment très sympa.
Après le garde corps que j’ai construit de 0, je m’apprête à réaliser un grillage avec des poteaux, tout en laiton … peut être demain :).
Beau travail, il est vrai que la finesse de ces pièces en laiton est superbe, mais comme certains du forum, je suis un peu frileux pour me lancer là dedans quant à la soudure. Il est vrai que le résultat donne envie surtout la photo où la passerelle est à coté de la locomotive.
Comme je l’indiquais à Thomas, j’étais moi aussi très frileuse. Et puis quand j’ai vu le garde corps en plastique très grossier ET une vidéo d’un modéliste avec son fer à souder, je me suis dit pourquoi pas, ça ne parait pas très compliqué. Je t’invite à lire l’épisode 5, et je t’enjoins vraiment à te lancer ! En plus du fer à souder, il te faut une référence type Decapod 9207 à 16€, l’investissement est vraiment minime.
Pas mal du tout cette passerelle !! Tu t’en tires honorablement. J’ai tenté une potence laiton, mais j’ai abandonné au profil d’une Drim 3D bien plus simple à monter et, somme toute, aussi jolie et fonctionnelle que celle de Piko. Mais chacun voit midi à sa porte.
Autre chose, qu’entends tu par “soudure liquide avec un flux pour diluer” ?? Je connais la soudure traditionnelle en bobine avec un flacon de flux pour décaper les surfaces, mais là
Un petit défaut sera à corriger à gauche (pilier / mur pas raccord) et un escalier à placer devant la porte.
J’ai commandé de l’eau chez Woodland Scenics, je pense mettre une couche d’eau sale et stagnante au pied de la cuve, un reste d’une pluie (ben oui, il pleut pas mal dans la région de Mons).
Ah ! La finesse du métal ! La maîtrise de la soudure passe en effet par du bon matériel, que ce soit fer à souder ou chalumeau, et la soudure liquide est un atout magique. Bravo pour ces réalisations.
Bonne soirée,
Eric
PS : pense au scotch double face pour fixer les éléments que tu vas souder.
Essais de placement. Il manque la petite cabine pour ravitailler depuis le wagon citerne et bien évidemment toute la tuyauterie des deux cuves vers les pompes (passage sous la voie).
C’est magnifique et je t’admire, personnellement, je crains la soudure comme la peste. Bon j’exagère, j’ai un peu progressé, mais ce n’est toujours pas ma tasse de thé.
Jean-Luc
Très joli ce grillage. Et surtout bien fait.
Juste une petite note : le mur qui entoure la cuve est en fait un bassin de rétention en cas de fuite du tank de fuel (ou diesel ou liquide dangereux ds le bidon), donc le volume du tank doit être “absorbé” par le volume défini par la hauteur x la surface délimitée par ce mur. Ceci pour dire que ce n’est pas uniquement par esthétique.