Il n’y a pas de compatibilité standard, du moins en analogique. Je n’ai pas étudié le problème en digital, mais cela doit être la même chose.
Je pense que tous les coupons Marklin ont une isolation entre les rails, mais je ne suis pas sur au niveau des aiguilles. Donc, il faut isoler les tronçons communs (les 2 rails, pas 1 seul) qui utilisent des coupons 3R standards ou fait maison et commuter le type de courant DC/AC en fonction de la loco qui va le traverser. Un peu d’électronique et de logiciel de commande doivent pouvoir apporter une partie de la solution.
Cependant, j’ai préféré ne pas m’aventurer dans cette voie ( ) et garder mes circuits indépendants.
Un autre petit frein à cette solution, j’ai des voies 2R rocoline en code 80 et les anciennes locos Marklin ne roulent pas très bien dessus. J’ai encore une Crocodile et une AE6/6 ainsi qu’une gros-nez des annès soixante, en parfait état de marche. J’ai juste remplacé les bandages de roue et une petite goutte d’huile, et hop en voiture.
Chat alors !!! Bonjour les poils du minet sur les voies et le décor.
Sans oublier l’électricité statique qui doit se créer, même plus besoin de l’accessoire de chez Viessmann pour redresser les touffes de verdure.
Ils aiment renverser les wagons, surtout sur le N américain, ronger les plaques de styrodur ainsi que les arbres et poteaux de caténaires, le Marklin de préférence aux Sommerfeldt.
Tous ces modules ont disparus dans le déménagement il y a 8 ans. J’ai récupéré des éléments de décor comme les vaches, les plaques de caisses de vins et la plupart des rails et aiguillages (merci les vis).
Les plaques de vin sont réaparues sur le nuveau réseau HO. C’est un agréable mélange de 2 vices. Pour les modules, j’avais envisagé un possible déménagement mais celà s’est avéré illusoire, j’ai dû déchanter. Les modules N n’étaient pas assez rigides et les modules HO ne correspondaient plus à mes envies, après près de 20 ans.
Après beaucoup de procrastination (je n’aime pas le câblage, ce qui est gênant pour un ingénieur électromécanicien), et un super été chaud et ensoleillé, j’ai enfin câblé mon dépôt vapeur. En plus de ma formation initiale, j’ai fait ma carrière professionnelle dans le milieu informatique, mais pour le train, j’en suis resté au plu simple, aiguillages manuels, pont tournant à la main et tableau de contrôle simplissime.
Je n’ai eu besoin ni de nos chats ni de nos petits enfants, j’ai arraché un ou deux câbles moi même, sous le réseau N, à 60cm du sol. Quel galère pour les remettre.
Oui, très bonne idée. Jai fait de même pour mes réseaux actuels, en imprimant la ligne médiane afin de bien poser les bandes de liège. Avec Anyrail, on peut choisir des portions à imprimer, donc on n’imprime pas trop de pages blanches. Néanmoins, j’ai eu quelques petits soucis avec le premier essai en N.
J’ai commis l’erreur de coller le liège sur les pages imprimées, ce qui fait que cela ne collait pas bien au bois en dessous. Le ballastage a arrangé les choses après mais j’y ai perdu quelques cheveux.
Avec le réseau HO, après avoir vérifier que tout tombait bien, j’ai découpé un côté de la ligne médiane et retiré le papier. Jai ainsi collé une bande de liège (demi semelle de voie) et ensuite, lorsque c’est sec ou cloué en place, j’ai retiré l’autre côté et placé l’autre demi semelle de voie?
Réseau HO, on y voit la voie de droite avec les 2 côtés et la voie de gauche avec une partie découpée juste avant de coller la demi semelle de voie
Oui, j’ai également opté pour des rubans LED pour éclairer mon N américain, en dessous de mon réseau HO. J’en suis très content. Le réseau est étroit, 35 cm en moyenne.
) et garder mes circuits indépendants.
