La "Rue de Suède" revisitée en Marklin Digital

Finition du showcase « dépôt »

Épisode 278 – Voilà quelques semaines que le module dépôt est achevé. Ne lui manquaient plus que sa façade, son toit et son éclairage pour former un ensemble cohérent et esthétique avec le module ZI Nord.

Le second module est aujourd’hui presque terminé et opérationnel. Pourtant, son absence de façade fait un peu négligé à coté de Z.I. Nord et l’éclairage fait défaut. Il est donc grand temps de fignoler la présentation de ce modeste module pour en fait un bel écrin pour mes jolies machines.

Photos 2280 et 2281 : le module dépôt avant les travaux. Source : letraindemanu.fr

Une finition grâce au mécénat

Vincent (de Bretagne, à ne pas confondre avec notre rédacteur en charge de la rubrique échelle Zéro) est un modéliste breton plein d’entrain et foisonnant d’idées. Je l’avais évoqué sur ce site en mars 2019 au travers d’un billet titré « Vincent, promoteur du modélisme ferroviaire ». Depuis, nous avons gardé le contact. Il était déjà venu à la maison il y a quelques mois, mais ses contraintes professionnelles ne lui avait pas permis de s’attarder.

Il a pu revenir il y a quelques jours et, cette fois, on s’est organisé pour qu’il rester diner avec nous. Vincent n’est pas venu les mains vides : il a apporté du bois (prédécoupé aux bonnes dimensions, quel luxe !) pour finir le dépôt, de la voie C pour le module 4, des wagons et quelques autres babioles.

C’est ainsi que j’ai pu finaliser le module 2 dit » Z.I. Est – le dépôt « .

Comme pour le module 1 » Z.I. Nord « , j’ai d’abord dû peindre la face intérieure du toit. C’est sans doute la partie la plus compliquée puisqu’il m’a fallu retrouver les mêmes teintes que le ciel orageux d’origine. Première couche de blanc mat puis peinture du ciel à l’éponge dans les tons gris dégradés. La partie extérieure est peinte en noire.

La face interne du bandeau supérieur est peinte en blanc pour mieux refléter et diffuser l’éclairage du caisson. Le bandeau inférieur est découpé pour laisser apparaître le petit tableau de commande déporté. La façade est peinte en noir » Paris 1 » de chez Luxens pour conserver la même teinte que le module 1. On n’oublie pas les tranches.

Photo 2282 : travaux de peinture sur les éléments de façade du module 2. Source : letraindemanu.fr

Un tasseau de forte section, peint en blanc, est installé sur la partie supérieure. Solidement collé et vissé aux parois latérales, il sert à la fois pour maintenir la planéité du toit et du bandeau supérieur, mais aussi le tube d’éclairage et surtout devra supporter le poids du futur Polyglass qui sera installé ultérieurement.

L’éclairage est composé d’un tube à leds de 18 W (126 W / 2000 Lumen) à 4000 K. C’est la solution la plus économique que j’ai trouvée pour une vingtaine d’euros chez Leroy-Merlin.

Je profite de ces travaux pour confectionner un enjoliveur masquant l’espace entre les façades des deux modules. Ainsi on n’aperçoit plus le module d’angle aveugle.

Le résultat est esthétique. Il me faudra trouver les lettrages pour titrer le module « ZI Est – Le dépôt » en couleur gris pierre pour rappeler le titrage de ZI Nord. Il me reste encore à installer le Polyglass 4 mm, mais c’est un produit assez onéreux : de mémoire, 45 € la plaque. Cette dernière étant vendue par section de 1 x 05 m, il m’en faudra deux. Une plaque sera montée sur charnière au centre, les 16 centimètres de chaque côté seront fixes. Comme sur Z.I. Nord, un joint d’étanchéité en mousse sera collé en périmètre de façade. Cet investissement s’avère nécessaire pour protéger le décor de la poussière urbaine et accessoirement au pelage abondant de Blacky.

Photos 2283 à 2287 : Le module 2 après les travaux de finition. Source : letraindemanu.fr

Il me reste encore beaucoup de finitions à réaliser dans ce dépôt : arbre pour masquer le départ en coulisse gauche, château d’eau, remise à outils,… Néanmoins l’allure générale est satisfaisante. Voilà un bel écrin pour présenter mon parc machines.

Je tiens une nouvelle fois à remercier Vincent pour le soutient qu’il m’apporte depuis de nombreux mois déjà.

Et comme Vincent est dans la même démarche que moi pour promouvoir un modélisme abordable, solidaire et accessible à tous, je l’ai invité à partager ses tours de mains, trucs et astuces sur le site. J’espère que ses obligations professionnelles lui permettront d’y répondre favorablement.

Emmanuel

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Et surtout que ce type de matériaux a pris l’ascenseur suite à toute les mesures sanitaires. Qui sait, peut être dans quelques temps on en trouvera de grande quantité d’occasion.

en tout cas le rendu est super, ton module ZI Nord est très bien mis en valeurs ainsi.

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“Je tiens une nouvelle fois à remercier Vincent pour le soutient qu’il m’apporte depuis de nombreux mois déjà.”

Mais non, mais non … C’est rien. On m’a aussi bien aidé … Alors c’est normal.

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Aujourd’hui, je me suis installé un bon éclairage au dessus de l’atelier pour pouvoir bien travailler. Comme d’habitude tout est en matos de récupération.

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Des coupons voie C blancs comme neige :slight_smile:

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Note aux lecteurs

Dans le cadre de la restructuration du nouveau site " letraindemanu.fr ", certains anciens épisodes d’actualité n’ont pas été transférés, d’autres comme des tutoriels, initialement publiés en plusieurs opus ont été regroupés. Raison pour laquelle la numérotation des épisodes a changé.

Voie ferrée enneigée sur le module hivernal

Episode 281 – Le temps est venu de poser la voie ferrée sur le module hivernal. Des rails recouverts de neige.

Retour aux travaux sur le module montagnard. Dans cet épisode je vais poser une voie enneigée sur ce module hivernal. C’est une simple « voie de parade« . Seul le coupon de voie qui sert de raccord avec le module 2 (ZI Est / le dépôt) ne sera pas traité puisqu’il sera recouvert d’un paravalanche en béton.

Le rail de jonction avec le module dépôt est charcuté : les agrafes de liaison électriques sont retirées pour que toute la voie du module 4 soit totalement isolée. Un des rails courbes et le rail d’extrémité côté opposé, vers le futur module 5, sont dotés de deux fils, rouge et noir, pour l’alimentation de la voie sur cette section. Les câbles seront raccordés au feeder traction ultérieurement. Des trous ont été percés dans la plateforme de voie et dans la planche de base. Un tube a été placé dans ces trous pour faciliter le passage des câbles dans l’épaisseur du relief.

Photo 2297 : Astuce pour passer les câbles électriques dans le relief, un tube relie la plateforme de voie à la structure de base. Source : letraindemanu.fr

Voie Märklin C sous la neige

La technique est ici appliquée sur de la voie C Märklin (Trix en 2 rails) mais est reproductible sur toutes les voies à ballast intégré. Je me suis questionné sur la méthode à utiliser puisque c’est une première pour moi, la difficulté étant de ne pas gêner le passage du frotteur sur les picots centraux et d’obtenir un résultat esthétiquement satisfaisant.

● Pour débuter, j’applique une couche de Gesso© avec des pinceaux : un pinceau fin pour travailler autour des plots centraux et un pinceau plus large sur le reste du ballast plastique intégré. Pour mémoire, le Gesso est une peinture acrylique légèrement pâteuse ayant donc un pouvoir couvrant supérieur à la peinture traditionnelle. Cette première étape a donc un triple objectif : teinter en blanc, épaissir et servir de sous-couche d’accroche pour les travaux de collage qui vont suivre. Cette première étape nécessite d’être méticuleux pour ne pas peindre les plots ou les rails. Au besoin on nettoie immédiatement au coton-tige imbibé d’alcool à 70°. On laisse sécher une journée.


Photos 2298 et 2299 : Coupons de voie C Märklïn enduits de Gesso. Source : letraindemanu.fr

● Pour la suite des travaux, il vous faut le set de départ flocons de neige Noch 07065. Ce kit d’une dizaine d’euros comprend un tube de 50 g de colle à neige, un sachet de 25 g de poudre de neige et un flacon puffer (souffleur). Tous ces produits sont vendus individuellement dans des conditionnements plus importants. D’autres marques comme Faller ou Wooland Scenics vendent des produits similaires. On remplit le flacon puffer de poudre à neige à moitié (un petit entonnoir de cuisine, propre, sera nécessaire).

Photo 2300 : Set de départ flocons de neige Noch 07065. Source : letraindemanu.fr

● L’étape suivante nécessite de travailler la voie coupon par coupon. Je travaille au dessus d’une feuille de papier aluminium afin de pouvoir récupérer le surplus de neige. Avec un pinceau fin, j’applique de la colle à neige (Noch 61138) entre les traverses, entre les rails. Pour mémoire la colle à neige est en fait de la colle acrylique avec de la peinture acrylique blanche. C’est donc une colle teintée. Avant que la solution soit sèche, je saupoudre de la poudre de neige préalablement secouée dans le flacon car c’est une poudre électrostatique. On nettoie les rails et picots centraux avec un coton-tige imbibé d’alcool à 70°, puis je passe un abaisse-langue en bois sur le rail central qui fait office de « frotteur » pour éliminer la neige en surépaisseur. On laisse sécher une nuit.

Le résultat obtenu m’a laissé perplexe et insatisfait car la poudre de neige a du mal à adhérer aux rails pourtant enduits de Gesso.


Photo 2301 : Coupon de voie C Märklïn saupoudré de poudre de neige Noch. Source : letraindemanu.fr

J’ai donc décidé de recourir à une technique de flocage plus traditionnelle : humidification au brumisateur puis saupoudrage de poudre de neige. Nouvelle brumisation et enfin encollage avec de la colle vinylique diluée à 50% d’eau déposée en goutte à goutte avec une seringue.

Le résultat obtenu est déjà plus pertinent.


Photo 2302 : Coupon de voie C Märklïn floqué de poudre de neige Noch de façon traditionnelle. Source : letraindemanu.fr

La voie sèche est enfin fixée à son emplacement définitif.


Photo 2303 : Voie C Märklïn posée sur le module 4. Source : letraindemanu.fr

Le résultat obtenu est plutôt sympa mais la grande inconnue est la résistance dans le temps, alors que la neige, certes un peu plus grossière, du pourtour montagneux n’a pas bougé depuis son flocage.

Je remercie @Vincentlj, modéliste breton, qui m’a offert ces éléments de voie.

Prochains travaux : les paravalanches

Emmanuel

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Cet après-midi, travaux sur les murs de soutènement du module 4.

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https://forum.3rails.fr/t/escapade-en-alsace/20757

Escapade en Alsace en Février. Vous êtes dans cette région ? On pourrait se rencontrer ?

Couleurs d’automne

Aujourd’hui, poursuite des travaux sur le mur de soutènement du module 4

et confection de nouveaux chargements pour mes tombereaux.

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En avant-première pour le copains du forum, deux nouveaux wagons pour la compagnie :

• un joli tombereau Om 21 de la DB, vers 1959, avec guérite et plate-forme de serre-frein chargé de charbon. Un wagon vendu d’origine avec une “patine” aïs qui méritera un petit coup de pinceau quand même.

Un wagon qui complétera agréablement mon parc de tombereaux historiquement plus récents.

• un couvert type Gl de la DRG avec guérite. (1927 ?). Accessoirement avec portes coulissantes (quelques chargements à prévoir pour une scène de déchargement à quai). Une petite patine s’imposera.

Là encore, un couvert différent de ceux déjà dans le parc.

Une transaction réussie avec @wilfried . Merci a lui

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Vu le rendu sur ce module pourtant pas fini, j’ai hâte de le découvrir achevé !
J’aimais bien le réalisme des traces d’humidité aux jonctions des plaques du mur de soutènement, qui seraient causées par les suintements entre les plaques de béton, figés par le gel… jusqu’à ce que je me rende compte que ce ne sont que des traces de colle qui vont être recouvertes par tes murs :rofl:

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Très agréable à regarder :slightly_smiling_face:

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Mur de soutènement sur le module hivernal

Episode 283 – Pour la construction de ce long mur de soutènement je vais panacher les techniques utilisées sur mes murs précédents : pâte à modeler qui durcit à l’air et Carton-plume.

J’ai déjà réalisé des murs de soutènement :
un dans le dépôt, modèle en pierres, en pâte à modeler qui durcit à l’air et gravé ; Dans le dépôt toujours, derrière la remise en briques et donc peu visible, l’extrémité du mur a été réalisée en Carton-Plume®.
un sur le pont mobile, modèle béton avec renforts métalliques, en pâte à modeler qui durcit à l’air.

Le mur de soutènement du module hivernal est long de 82 cm et haut de 65 mm. Si mes murs précédents étaient tous rectilignes, celui-ci à la particularité d’être en partie courbé. Je vais donc panacher deux techniques : la pâte à modeler sur la section rectiligne et le Carton-Plume® (l’original de chez Canson) enduit pour la partie incurvée. De plus, pour varier le visuel, une partie du mur sera en pierres gravées, l’autre en version béton.

Photo 2352 : Le mur de soutènement du module hivernal, objet des présents travaux. Sur cette photo, la voie n’a pas encore été posée. Source : letraindemanu.fr

La section en pierres

Cette partie du mur est rectiligne. Elle est réalisée avec de la pâte à modeler qui durcit à l’air. C’est un produit facile à trouver, peu cher et facile à travailler. Comme c’est un produit naturel, le résultat est très réaliste.

Celle-ci est d’abord bien malaxée puis étalée sur une surface plane et propre (papier sulfurisé) avec un rouleau puis compressée entre deux chutes de MDF de 20 mm d’épaisseur pour obtenir des plaques de 3 mm d’épaisseur. Il faut savoir en effet que plus la plaque est épaisse plus le temps de durcissement est long. Je découpe cinq rectangles de 10 à 11 cm de long sur 65 mm de haut.

Photo 2353 : Découpe des rectangles dans la pâte à modeler. Source : letraindemanu.fr

Les trois premiers rectangles sont gravés pour obtenir des pierres d’environ 3 x 6 mm. Je trace d’abord les lignes horizontales avec une pointe à graver guidée avec une règle plate. Puis je grave les lignes verticales avec un petit tournevis de 3 mm très fin, une rangée sur deux en décalant les rangées intermédiaires. La gravure n’est pas aussi fastidieuse qu’on pourrait le craindre à première vue.

Photo 2354 : Les trois sections de mur en pierres gravées. Source : letraindemanu.fr

Les deux autres rectangles ne sont pas gravés pour obtenir un effet béton.

Les cinq rectangles sont ensuite posés bien à plat sur une feuille de papier sulfurisé sur un support absolument rectiligne. On laisse sécher 36 à 48 heures selon la température de la pièce.

Piliers béton

Pour changer des renforts métalliques du mur sur le pont mobile, j’opte pour des structures béton à base de Carton-Plume® 5 mm pelé sur une face. Les piliers sont simplement découpés dans la plaque.

Peinture des pierres

Lorsque les plaques sont sèches, on passe à l’étape peinture.

Je fais une première passe de peinture acrylique blanche diluée à 60 % avec de l’alcool à 70° pour obtenir un jus assez liquide pour qu’il s’infiltre dans les joints. La couleur d’origine du matériau doit totalement disparaître. Au besoin on passe une seconde couche. L’alcool à 70° a deux avantages ici : ne pas ré humidifier la plaque sèche et son évaporation rapide qui diminue les temps de séchage.

Photo 2355 : Sous-couche de blanc acrylique sur les murs. Source : letraindemanu.fr

Ensuite je prépare un gris béton : 50% de blanc de Titane, 25% de Noir de Mars et 25% d’ocre claire. le tout dilué avec un peu d’alcool à 70%. Attention, à cette étape la peinture ne doit pas être trop liquide puisque je vais l’appliquer sur les murs avec un petit rouleau en mousse fine. On commence par les murs en béton pour bien imprégner le rouleau régulièrement. Sur les trois sections en pierres, la peinture ne doit être déposée que sur les pierres sans s’infiltrer dans les joints.

On en profite pour peindre les renforts du mur.

Photo 2356 : Couche de gris béton acrylique sur les murs. Source : letraindemanu.fr

Nous voici arrivés à l’étape de peinture des pierres qu’il faut peindre une à une. Pour accélérer le processus je travaille par teintes. Sur la palette, je dispose une grosse noisette de gris béton et plusieurs noisettes d’autres couleurs : ombre naturelle, ombre brûlée, ocre claire, vert foncé, ocre foncée. On travaille avec un pinceau de qualité très fin.

Je fais un premier mélange avec l’une des couleurs claires puis je peins aléatoirement une trentaine de pierres sur les trois sections de murs. Puis je fais un nouveau mélange avec une teinte un peu plus foncée et ainsi de suite.

Photos 2357 et 2358 : Peinture des pierres sur les murs. Source : letraindemanu.fr

Quand tout est sec, je fais une passe de « jus crasse » sur la totalité des murs.

Des buses d’évacuation d’eau

Je dénude 50 cm de câble électrique de 1,5 mm². Je découpe la gaine en sections biseautées puis je les colle avec une goutte de cyanoacrylate Colle21, sur deux niveaux alternés. les buses sont ensuite peintes en marron foncé avec un pinceau très fin.

Les murs sont ensuite collés sur le support avec de la colle néoprène en gel.

Des profilés sont enfin collés sur le haut des murs pour égaliser proprement. Ils seront par la suite recouverts de neige sur leur dessus.

Photos 2359 et 2360 : Les murs de soutènement en place à Cordon-les-Bains. Source : letraindemanu.fr

En réalisant ces travaux, je me suis rendu compte qu’il était possible de caser un quai étroit pour une petite halte, juste de quoi justifier l’arrêt de quelques rames voyageurs. De nouveaux projets donc en perspective.

Emmanuel

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Très jolis wagons. Aurait tu la référence du couvert ? Il m’intéresse ? haha

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Oui le couvert a guérite c’est le 46160

Merci Manu !

Pour tes murs, tu comptes incruster ou recouvrir un peu de “neige” sur les joints des pierres ?
Ou peut être sur les dessus des tuyaux ? Elle doit bien s’accumuler quelque part cette neige :upside_down_face:

Super boulot en tout cas

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Oui, mais je ferais la dernière couche de neige tout à la fin. Je pensais aussi peut être mettre de l’eau gelée en sortie des buses.

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Le Köf est désespérément en panne

Ce matin, je me suis mis à dépanner mon Köf. Pour mémoire, il y a eu rupture de pignon, plus précisément le pignon double (grand engrenage et petit engrenage, pièce 21 sur l’eclaté) qui fait jonction entre la vis sans fin du moteur et les engrenages des roues.

Je change la pièce, je nettoie avec un pulvérisateur d’air pour retirer les poussières, je mets un peu d’huile et je referme le tout.

Bah, mon moteur tourne toujours dans le vide. Je pige pas.

En plus, tout est petit dans cet engin, c’est une galère sans nom…

Je l’emènerai bien au Pullman, mais ils vont me couter le prix d’un neuf, je le recupererai dans six mois. Et puis, vu ma dernière expérience chez eux, ils m’ont vraiment refroidi. Ca donne pas envie d’y retourner…

A moins qu’un membre du forum se sente capable de me le réparer, je sens que la bestiole va rester sur une voie de garage.

Je capitule

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J’ai eu une panne similaire sur une locomotive Roco. Le pignon, peut être mal placé en usine, a vu ses dents se faire raboter avec l’usage et on finit avec la vis qui tourne dans le vide. Facile à remplacer quand les pièces sont disponibles, hélas avec la pandémie, …

Marc