Bonjour Manu,
OK, ce wagon “BP” est devenu un wagon usagé et anonyme d’apparence bien réussie.
…Bravo.
C’est un nouveau wagon, et bien loin d’un wagon “BP” qui serait “fatigué”, bref usagé.
Pour moi, la patine est un vieillissement artificiel d’un produit à l’apparence trop neuve.
Là on entre plutôt dans la création d’un produit nouveau sur une base existante et qui devient unique.
Pourquoi pas, dans le fond ? 
Bonjour à tous,
C’est vrai que c’est du beau travail et que le rendu est top 
Mais c’est plus facile de se décider à se lancer sur un projet de module limité.
Si on fait un réseau pour faire rouler sa collection, difficile de se lancer dans la patine de tout son matériel…
Et, à mon sens, ou tout doit être patiné ou rien, car le mélange n’est pas du meilleur effet.
Je ne pense pas qu’il y en ai beaucoup qui se lancent dans la patine de la nouvelle 241 tant attendue ? 
bonjour Phil,
la patine peut rester réversible si tu utilises des terres à décors et que tu ne la fixe pas avec un vernis. Par contre bonjour les doigts si tu es amené à les manipuler
Mais sur les wagons, et surtout ceux de Manu, j’adore et tant pis si les locomotives doivent rester brut
Sincèrement Mark
Bonsoir Xavier
C’est un peu le but de ces billets : inviter ceux qui hésitent à se lancer. Même avec un atelier mini on arrive à faire des choses sympathiques. Et ça métamorphose vraiment le parc. Avec le temps, l’apprentissage et quelques produits supplémentaires j’espère m’améliorer à l’avenir.
En tout cas, je ne peux que t’encourager à te lancer sur un ancien wagon.
Merci de ton intérêt pour le sujet
A bientôt à Paris,
Manu
Bonsoir Pierre,
Oui, tu as raison. Le terme patine est dans ce cas un peu dévoyé. C’est plus une remise en peinture suivie d’une patine. Mais bon, je voulais un vieux wagon bien crasseux et là je crois que j’y suis.
Promis, la prochaine citerne je me limiterai à une simple patine.
Merci de ton intérêt pour le sujet
Manu
Bonsoir Philippe,
Je comprends ton point de vue en particulier concernant une "collection " sur un grand réseau. Mais quand tu parles “collection”, c’est dans le sens “grand nombre de vehicules” ou dans son interprétation suggestive de “valeur du materiel” ?
Car le nombre ne saurait être un obstacle à la patine, et la valeur n’à que celle qu’on lui accorde.
Moi aussi, dans ma pratique antérieure, j’avais un esprit “collectionneur” au sens de la valeur et avec un bon recul, je regrette de m’être laissé enfermer dans cette notion toute relative.
Ça mériterait presque article tout ça. Faut que j’y pense.
Merci pour ton intervention pertinente.
A+
Manu
Bonsoir Mark
C’est peut être réversible, mais c’est pas pratique. Car tu peux plus toucher au wagon nI mème le ranger dans une boite. Même pas sur que ça risque pas de tomber progressivement sur la voie.
Pour une expo peut être ? Et encore, pas sur.
Perso, je préfère vernir legerement pour fixer et protéger les pigments. Et comme le vernis est très léger, ça permet une retouche éventuelle.
Par contre il me semble qu’il existe des vraies patines réversibles à base d’encres et qui peuvent être ensuite nettoyees. C’est peut être une alternative à nos deux points de vues.
Merci de ton intérêt pour le sujet
A +
Manu
[size=150] http://www.gifgratis.net/gifs_animes/train/25.gif[/size]...Anne, ma soeur Anne… https://www.surlatoile.com/smileys/repository/Triste/larmes-aux-yeux-524.gif
[size=150]Une belle histoire pleine d’humanité[/size]
[size=200]Une seconde locomotive offerte à la CIC par un généreux donateur[/size]
Épisode 77 - L’arrivée d’un nouvel engin de traction sur le réseau est toujours un grand évènement pour le modéliste, plus encore lorsque le parc est modeste. Mais la réception de cette nouvelle machine revêt une saveur toute particulière puisqu’elle a été offerte par un généreux modéliste. Retour sur cette belle histoire humaine qui a vu le jour grâce au forum 3 Rails.
Elle était annoncée et sa livraison postale suivie de près (Voir épisode 74) : La locomotive BR 80 est enfin arrivée sans dommage dans les délais prévus.
Solidarité sur le forum 3 Rails
La toute jeune “Compagnie Industrielle et Commerciale” - CIC, compagnie ferroviaire fictive NDLR - est née en avril dernier. Malgré des moyens financiers extrêmement limités, elle a su attirer l’attention du petit monde ferroviaire, comme en témoigne le nombre des visites, tant sur le blog que sur le deux fils des forums LR Presse et 3 Rails. La Page Facebook de la compagnie fidélise régulièrement les ferrovipathes.
Mais, surprise, au-delà de la fidélité d’un lectorat sans cesse croissant sur les supports internet, ma démarche a suscité l’intérêt de mécènes. Déjà, début octobre, Olivier et Madame, modélistes de longue date, ont souhaité apporter leur soutien en offrant généreusement transformateur, plusieurs wagons et de nombreux petits accessoires de décor. Je m’étais fais l’écho de notre rencontre dans son appartement parisien dans le billet daté du 3 octobre (épisode 58).
Plus récemment, c’est Pierre, modéliste suisse, qui a souhaité contribuer au développement de ce bien modeste réseau " Z.I. Nord " en m’offrant une adorable locomotive à vapeur parfaite pour les manœuvres : Une BR 80 immatriculée à la DB (Märklin 3604). Et c’est donc par le biais du forum 3 Rails, auquel il contribue régulièrement avec des publications de grande qualité, en particulier avec son réseau " Reventhal… les années 60", que ce ferrovipathe est entré en contact avec moi pour me proposer cette machine mythique de la marque Märklin.
Premiers tours de roues dans Z.I. Nord
La suite est connue. La machine est arrivée ce matin par La Poste accompagnée d’un wagon-plat (wagon Märklin Kids Club 2012 ref 48612).
Premiers tours de roues dans la Z.I. Nord en photos.
Je tiens à renouveler mes remerciements les plus chaleureux à Pierre, mon généreux donateur. La présence de cette seconde machine va permettre d’animer plus amplement les circulations dans ma zone, où cette BR 80 coulera des jours heureux pour une retraite bien méritée après autant d’années de service à Reventhal. Mais comme ces petites bêtes sont increvables, elle devrait pouvoir vivre de nouvelles péripéties sur la petite ligne de la CIC.
Ce billet démontre, s’il en était besoin, que la virtualité de nos écrans peut parfois engendrer de belles aventures humaines et solidaires.
C’est aussi cela le modélisme ferroviaire.
Emmanuel
Bonjour Manu,
Cette machine a été étonnante : elle a une prise de courant supérieure à beaucoup de machines de production récente.
Sur Reventhal en construction et plein de poussières, elle n’a jamais rechigné à en faire le tour dans ces conditions peu recommandables.
Je lui avais pour ses premiers tours attelé des “tonnerre” pour un meilleur retour de masse.
En fait ce n’était même pas nécessaire.
Elle n’aura pas le superbe ralenti de ta 050 Etat, ni l’agrément de la sonorisation.
Malgré cela avec ses plus de vingt ans d’âge, je l’ai trouvée attachante et fort disponible et fiable en toutes conditions.
Bon jeu.
Un généreux donateur et une superbe machine idéale pour tes manoeuvres
Que demander de plus 
Ha oui, je sais ! Continue de nous faire rêver comme tu le fais Manu
Rêver … Reventhal … association prédestinée !
Et longue vie à la CIC 
Bonsoir Pierre
J’ai été surpris lors de son déballage par son poids ! Ceci explique aussi sans doute ses qualités de traction. Mais ta loco est rusée : pour sa seconde vie, elle s’est choisie un lieu de villégiature paisible. Fini les rampes ! A la CIC, la ligne est plane et les rames sont courtes… c’est plus cool que la montagne suisse.
J’ai également été agréablement surpris d’y trouver Des attelages courts. Pour une loco de son âge… ce sont attelages qui fonctionnent bien je trouve, en tout cas avec les attelages de la marque.
Et elle roule très bien. Malgré une électronique ancienne, elle est assez fine concernant les vitesses (ralenti) en tout cas avec ma MS2.
J’adore ce côté trapu. Il se dégage un sentiment de puissance au crochet qui convient admirablement bien à l’ambiance d’une desserte industrielle et aux roulements qui lui sont prévus.
Je réfléchis déjà à la patiner. Je vais encore m’exercer sur quelques wagons, mais je cherche déjà des photos d’engins réels pour m’inspirer.
Merci encore pour ta genereuse contribution à ce modeste réseau.
Amicalement
Manu
Bonjour Vincent,
Effectivement, que demander de plus ? Cette petite loco est adorablement adaptée à la petite Zone industrielle où elle à fait le tour des nouveaux embranchements qu’elle aura à desservir.
Depuis son arrivée, nous avons échangé en MP avec Pierre plusieurs fois, histoire de faire plus ample connaissance. Un homme charmant.
La suite des aventures de la CIC très prochainement.
Merci pour tes visites amicales
Manu
[size=200]Changeons de point de vue : Prenons un peu de hauteur[/size]
Episode 78 - Évènement à la CIC : le module “ZI Nord” quitte ses tréteaux provisoires et est enfin installé à sa place définitive. Je vais pouvoir envisager les extensions.
En ce jour de “Black Friday”, date culte lors de laquelle la plupart des humains prétendument “civilisés” se jettent en hordes sauvages dans tous les centres commerciaux afin d’assouvir leur insatiable soif d’un consumérisme exacerbé, synonyme d’un immense gâchis, et non sans rappeler les meutes de zombies du film éponyme tristement prémonitoire du regretté George Roméro - et censuré en France à sa sortie (1978), plus pour son pamphlet politique anti-capitaliste que pour la prétendue violence de ses scènes horrifiques -, il m’est apparu de bon ton de rappeler que l’être humain peut aussi (!) vivre sans tomber dans l’outrance d’une société de consommation source de destruction sociale et d’anéantissement intellectuel.
Sans pour autant tomber dans l’excès inverse, souvent décrit péjorativement par certains, non sans une forme de condescendance, comme une sorte de “miséramodélisme”, il n’en reste pas moins que l’art du modélisme compte de nombreuses facettes, dont celle non moins importante que de satisfaire sa passion sans mettre en péril le budget familial, en particulier si ce dernier est très contraint. C’est une notion certes toute relative, propre à chacun, mais qui a néanmoins son importance, qui plus est à une période où notre loisir peine à recruter de nouveaux adeptes dépourvus de gros revenus.
Comme toute activité récréative, le modélisme ferroviaire a un coût. Il peut néanmoins être sérieusement atténué dès lors que l’on intègre un processus de conversion éco-responsable et que l’on adopte le principe de recyclage comme en témoignent les travaux du jour.
Un piètement solide et gratuit pour ZI Nord
Alors que le toit et la façade du module sont achevés depuis mi-septembre, le module “ZI Nord” - et tout le bordel qui va avec - ont squatté le salon familial depuis sa création, puis la nouvelle pièce qui lui est destinée depuis le déménagement de ma fille aînée. Sur ses tréteaux provisoires, autant dire qu’il était compliqué de se projeter dans l’avenir et encore plus d’envisager la construction des coulisses, ne serait-ce qu’en raison de l’absence de place nécessaire.
Pendant que mes congénères se ruaient dans les rayons dans une frénésie abêtissante j’ai décidé de réaliser un solide piètement à ce qui s’annonce être le premier module de la compagnie. Tout en matériel de récupération, y compris la visserie et la quincaillerie. Inutile de consommer du neuf quand on peut recycler de l’occasion !
Pour cela je vais réutiliser deux meubles bibliothèque type tour à CD et deux montants d’un lit récupérés aux encombrants.
La hauteur : Une question de point de vue
La hauteur est un vaste débat chez les modélistes qui a beaucoup varié au fil des décennies. Les réseaux plateaux monolithiques des années 60 n’ont plus l’exlusive. Les modules et leurs nombreuses normes ont fait leur apparition apportant de nouveaux points de vue, au sens propre comme au sens figuré.
Ces étagères plus ou moins profondes, agrémentées de façades, ont modifié les habitudes : globalement les réseaux ont pris de la hauteur tout en restant généralement accessibles à un large public, y compris des enfants.
Pour ma part j’ai fait un choix différent qui s’explique par l’implantation initialement prévue du module : Au dessus d’un canapé dans le salon familial. De plus, le module étant considéré, au début du projet, comme une oeuvre unique sans aucune extension hormis des coulisses latérales rabattables, j’ai volontairement réduit la hauteur de la fenêtre de façade à 17cm. Par cet artifice, la perception du module “ZI Nord” s’en trouve modifiée optiquement, cet effet panorama lui conférant une longueur supérieure à sa dimension réelle.
Il a donc toujours été prévu que le plan zéro, le niveau de la voie, soit approximativement à hauteur des yeux. Les rails se situent donc à une hauteur de 147 cm. Ainsi, le spectateur regardant le réseau à 30 cm de la façade ne voit pas la jonction entre le fond de décor et le toit. Il est de fait totalement immergé dans l’ambiance du module.
J’ai donc découpé mes pieds à 143 cm de hauteur.
Le processus de montage a nécessité l’aide de mon fils, le robuste module se révélant finalement lourd à manipuler. Pivoté d’un quart de tour et posé sur son fond, j’ai tout d’abord fixé les pieds arrières constitués des montants de lit récupérés. Plusieurs vis et équerres de récupération permettent un arrimage solide. Durant cette première opération, l’extrémité des pieds repose sur des cales.
Puis le module ainsi équipé est posé sur ce piétement arrière. Pendant que mon assistant soutient la face avant, les deux meubles bibliothèque sont mis en place puis solidement fixés.
Bien que l’amarrage des pieds soit robuste, des entretoise en contre-plaqué de 10 mm - encore de la récup’ aux encombrants -relient de chaque coté pied arrière et pied avant. On évite ainsi tout ripage des pieds avant.
Le piètement est solide. Mais compte-tenu de la hauteur du centre de gravité, le module est solidement arrimé au mur : trois équerres chevillées évitent tout basculement.
Le module ZI Nord est maintenant à sa place définitive.
Je profite de cette séance de travail pour prolonger quelques câblages, notamment des carrés et de quelques éclairages provisoirement branchés en attendant la conception du pupitre de commande. Là encore, les peignes de reliures sont des objets récupérés aux encombrants.
Je termine par une petite séance de roulement de la 050TA et de la BR80 dans ce qui devenu une belle vitrine murale animée.
Il est temps de retourner au décor.
Emmanuel
[size=200]Livraison de huit nouveaux wagons à la compagnie[/size]
Épisode 79 - Les huit wagons commandés début novembre ont été livrés mardi soir en gare Montparnasse.
Ils auraient pu être expédiés par colis bien plus tôt, mais j’ai préféré opter pour une remise en main propre. Quand on a attendu quinze années avant de pouvoir se relancer dans sa passion, on n’est plus à trois semaines près. La patience n’est-elle pas la vertu première du modéliste ? Et puis je trouvais en effet bien plus sympathique de rencontrer Xavier en personne et ainsi pouvoir accoler un visage sur un pseudo du forum 3Rails. J’ai donc profité d’un déplacement francilien de cet ingénieur en pétro-chimie pour me faire livrer ce coffret de wagons marchandises.
Rencontre avec un membre du forum 3Rails
Nous le savons tous, la SNCF est une entreprise qui se bonifie avec le temps. Arrivé à Montparnasse, le TGV de Xavier est déjà annoncé avec trente minutes de retard. Il paraîtrait que ce délai serait dû au PDG de la société “Xarklin” qui aurait eu la soudaine envie de chasser le sanglier errant sur les voies. Quelle drôle d’idée que cette chasse à courre sur les emprises ferroviaires. Elle n’est pas à court d’idée notre entreprise nationale en pleine décrépitude pour masquer ses perturbations de trafic et ainsi retarder la livraison des wagons dans la cour marchandises. Quand tu penses qu’un TGV peut pulvériser un quarante tonnes au passage à niveau, on a du mal à croire qu’une pauvre bestiole égarée d’à peine cent kilos puisse occasionner un tel retard dans une gare qui accumule les problèmes depuis vingt-quatre heures.
Notre ami Markliniste du Sud-ouest a ainsi poursuivi son voyage jusqu’à la capitale à la vitesse confortable de 317km/h.
Et c’est donc à 21h38 que j’ai pu faire la connaissance de ce membre du forum 3Rails. InouÏ !
Malgré ce retard conséquent et sa correspondance ratée avec un train Francilien qui devait le mener au terme de son périple à La Verrière pour acheter un nouveau véhicule, Xavier a eu la gentillesse de retarder sa connexité pour m’accorder quelques instants à l’occasion de cette remise d’un coffret joliment emballé dans du papier cadeau, mon tout prochain anniversaire expliquant cette délicate attention.
Nous avons donc profité de cette brève correspondance parisienne pour partager un temps de convivialité dans une brasserie toute proche et faire plus ample connaissance, chacun retraçant son histoire ferroviphile. Bien sympathique rencontre.
Puis j’ai raccompagné mon hôte à la gare pour qu’il puisse récupérer sa correspondance. Après s’être battu avec des automates aussi ergonomiques que la SNCF est ponctuelle pour acheter son billet, son train en direction de La Vérrière a été annulé, l’obligeant à se rabattre sur un itinéraire alternatif. Bref, la SNCF du XXIe siècle, c’est que du bonheur !
Un bien joli coffret
Ce n’est que de retour chez moi que j’ai déballé ce bien joli coffret Roco 67127 comprenant huit wagons marchandises en marquage DR. Ce coffret a d’ailleurs été décliné en plusieurs versions par le fabriquant.
Avec huit nouvelles unités, certes d’occasion mais comme neuves, la compagnie compte désormais dix-huit wagons marchandises et une voiture voyageurs. Huit nouveaux wagons qu’il va me falloir patiner, après quelques recherches tout de même car la plupart ont des parois en bois et non des parois métalliques comme pour mes premiers exercices. Si vous avez des conseils, je suis preneur. Il va me falloir aussi prévoir leurs divers chargements et confectionner leur carte-wagon.
Les wagons de Xavier vont désormais vivre de nouvelles aventures sur la petite ligne de la CIC. Dès la nuit dernière déjà, ils ont pu faire la connaissance de leur nouvel environnement.
Autour du projet “ZI Nord”, j’espère pouvoir réunir courant 2018 les contributeurs de ce modeste réseau à l’occasion d’un repas suivi de quelques roulements.
En attendant, je m’en retourne auprès de mon entrepôt qui me pose bien des soucis.
Emmanuel
Source : letraindemanu.canalblog.com/archives/2017/12/06/35933750.html
Bonjour,
Merci pour ces photos magnifiques ainsi que pour votre sujet très instructif que vous présentez d’une manière didactique remarquable.
Je m’intéresse d’autant plus à votre sujet que je travaille depuis quelque temps à la réalisation d’un Show Case inspiré, comme le vôtre, de la* Rue de Suède* de Y. Baude et du Cormont-Les-Bains de F. Fontana (HS LR 2/2009). Je présenterai ce petit réseau à l’exposition Train Miniature à Leuven en octobre 2018, qui est le grand rendez-vous du modélisme ferroviaire belge.
Bonne continuation.
Pascal 
Bonjour Pascal,
Si tu n’y voit pas d’inconvénient, on mettra de côté le vouvoiement.
Merci pour ton appréciation encourageante sur ce projet. J’essaie effectivement de partager mon expérience de façon aussi claire que possible. Difficile exercice que de conjuguer la clarté à destination de novices tout en captant l’intérêt d’amateurs plus confirmés.
Pour en revenir à ton projet, j’attends avec impatience de connaître le lien pour suivre ton aventure d’une nouvelle revisitation de la Rue de Suède. Je serai ravi de découvrir ton interprétation du sujet.
Merci de ton intérêt et au plaisir de te suivre.
Emmanuel
Hello Manu,
Très joli coffret que voilà !
Un bien bel arrivage pour la CIC
Au plaisir,
Vince
Par contre, je confirme que “La Rue de suède revisitée en Märklin Digital” est un réseau qui valse avec l’excellence modélistique.
Bien cordialement
Pascal
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