La "Rue de Suède" revisitée en Marklin Digital

Mur de soutènement sur le module hivernal

Episode 283 – Pour la construction de ce long mur de soutènement je vais panacher les techniques utilisées sur mes murs précédents : pâte à modeler qui durcit à l’air et Carton-plume.

J’ai déjà réalisé des murs de soutènement :
un dans le dépôt, modèle en pierres, en pâte à modeler qui durcit à l’air et gravé ; Dans le dépôt toujours, derrière la remise en briques et donc peu visible, l’extrémité du mur a été réalisée en Carton-Plume®.
un sur le pont mobile, modèle béton avec renforts métalliques, en pâte à modeler qui durcit à l’air.

Le mur de soutènement du module hivernal est long de 82 cm et haut de 65 mm. Si mes murs précédents étaient tous rectilignes, celui-ci à la particularité d’être en partie courbé. Je vais donc panacher deux techniques : la pâte à modeler sur la section rectiligne et le Carton-Plume® (l’original de chez Canson) enduit pour la partie incurvée. De plus, pour varier le visuel, une partie du mur sera en pierres gravées, l’autre en version béton.

Photo 2352 : Le mur de soutènement du module hivernal, objet des présents travaux. Sur cette photo, la voie n’a pas encore été posée. Source : letraindemanu.fr

La section en pierres

Cette partie du mur est rectiligne. Elle est réalisée avec de la pâte à modeler qui durcit à l’air. C’est un produit facile à trouver, peu cher et facile à travailler. Comme c’est un produit naturel, le résultat est très réaliste.

Celle-ci est d’abord bien malaxée puis étalée sur une surface plane et propre (papier sulfurisé) avec un rouleau puis compressée entre deux chutes de MDF de 20 mm d’épaisseur pour obtenir des plaques de 3 mm d’épaisseur. Il faut savoir en effet que plus la plaque est épaisse plus le temps de durcissement est long. Je découpe cinq rectangles de 10 à 11 cm de long sur 65 mm de haut.

Photo 2353 : Découpe des rectangles dans la pâte à modeler. Source : letraindemanu.fr

Les trois premiers rectangles sont gravés pour obtenir des pierres d’environ 3 x 6 mm. Je trace d’abord les lignes horizontales avec une pointe à graver guidée avec une règle plate. Puis je grave les lignes verticales avec un petit tournevis de 3 mm très fin, une rangée sur deux en décalant les rangées intermédiaires. La gravure n’est pas aussi fastidieuse qu’on pourrait le craindre à première vue.

Photo 2354 : Les trois sections de mur en pierres gravées. Source : letraindemanu.fr

Les deux autres rectangles ne sont pas gravés pour obtenir un effet béton.

Les cinq rectangles sont ensuite posés bien à plat sur une feuille de papier sulfurisé sur un support absolument rectiligne. On laisse sécher 36 à 48 heures selon la température de la pièce.

Piliers béton

Pour changer des renforts métalliques du mur sur le pont mobile, j’opte pour des structures béton à base de Carton-Plume® 5 mm pelé sur une face. Les piliers sont simplement découpés dans la plaque.

Peinture des pierres

Lorsque les plaques sont sèches, on passe à l’étape peinture.

Je fais une première passe de peinture acrylique blanche diluée à 60 % avec de l’alcool à 70° pour obtenir un jus assez liquide pour qu’il s’infiltre dans les joints. La couleur d’origine du matériau doit totalement disparaître. Au besoin on passe une seconde couche. L’alcool à 70° a deux avantages ici : ne pas ré humidifier la plaque sèche et son évaporation rapide qui diminue les temps de séchage.

Photo 2355 : Sous-couche de blanc acrylique sur les murs. Source : letraindemanu.fr

Ensuite je prépare un gris béton : 50% de blanc de Titane, 25% de Noir de Mars et 25% d’ocre claire. le tout dilué avec un peu d’alcool à 70%. Attention, à cette étape la peinture ne doit pas être trop liquide puisque je vais l’appliquer sur les murs avec un petit rouleau en mousse fine. On commence par les murs en béton pour bien imprégner le rouleau régulièrement. Sur les trois sections en pierres, la peinture ne doit être déposée que sur les pierres sans s’infiltrer dans les joints.

On en profite pour peindre les renforts du mur.

Photo 2356 : Couche de gris béton acrylique sur les murs. Source : letraindemanu.fr

Nous voici arrivés à l’étape de peinture des pierres qu’il faut peindre une à une. Pour accélérer le processus je travaille par teintes. Sur la palette, je dispose une grosse noisette de gris béton et plusieurs noisettes d’autres couleurs : ombre naturelle, ombre brûlée, ocre claire, vert foncé, ocre foncée. On travaille avec un pinceau de qualité très fin.

Je fais un premier mélange avec l’une des couleurs claires puis je peins aléatoirement une trentaine de pierres sur les trois sections de murs. Puis je fais un nouveau mélange avec une teinte un peu plus foncée et ainsi de suite.

Photos 2357 et 2358 : Peinture des pierres sur les murs. Source : letraindemanu.fr

Quand tout est sec, je fais une passe de « jus crasse » sur la totalité des murs.

Des buses d’évacuation d’eau

Je dénude 50 cm de câble électrique de 1,5 mm². Je découpe la gaine en sections biseautées puis je les colle avec une goutte de cyanoacrylate Colle21, sur deux niveaux alternés. les buses sont ensuite peintes en marron foncé avec un pinceau très fin.

Les murs sont ensuite collés sur le support avec de la colle néoprène en gel.

Des profilés sont enfin collés sur le haut des murs pour égaliser proprement. Ils seront par la suite recouverts de neige sur leur dessus.

Photos 2359 et 2360 : Les murs de soutènement en place à Cordon-les-Bains. Source : letraindemanu.fr

En réalisant ces travaux, je me suis rendu compte qu’il était possible de caser un quai étroit pour une petite halte, juste de quoi justifier l’arrêt de quelques rames voyageurs. De nouveaux projets donc en perspective.

Emmanuel

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Très jolis wagons. Aurait tu la référence du couvert ? Il m’intéresse ? haha

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Oui le couvert a guérite c’est le 46160

Merci Manu !

Pour tes murs, tu comptes incruster ou recouvrir un peu de “neige” sur les joints des pierres ?
Ou peut être sur les dessus des tuyaux ? Elle doit bien s’accumuler quelque part cette neige :upside_down_face:

Super boulot en tout cas

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Oui, mais je ferais la dernière couche de neige tout à la fin. Je pensais aussi peut être mettre de l’eau gelée en sortie des buses.

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Le Köf est désespérément en panne

Ce matin, je me suis mis à dépanner mon Köf. Pour mémoire, il y a eu rupture de pignon, plus précisément le pignon double (grand engrenage et petit engrenage, pièce 21 sur l’eclaté) qui fait jonction entre la vis sans fin du moteur et les engrenages des roues.

Je change la pièce, je nettoie avec un pulvérisateur d’air pour retirer les poussières, je mets un peu d’huile et je referme le tout.

Bah, mon moteur tourne toujours dans le vide. Je pige pas.

En plus, tout est petit dans cet engin, c’est une galère sans nom…

Je l’emènerai bien au Pullman, mais ils vont me couter le prix d’un neuf, je le recupererai dans six mois. Et puis, vu ma dernière expérience chez eux, ils m’ont vraiment refroidi. Ca donne pas envie d’y retourner…

A moins qu’un membre du forum se sente capable de me le réparer, je sens que la bestiole va rester sur une voie de garage.

Je capitule

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J’ai eu une panne similaire sur une locomotive Roco. Le pignon, peut être mal placé en usine, a vu ses dents se faire raboter avec l’usage et on finit avec la vis qui tourne dans le vide. Facile à remplacer quand les pièces sont disponibles, hélas avec la pandémie, …

Marc

la pièce je l’ai en stock et je l’ai remplacée. Mais ca marche toujours pas…

Chargement pour mes tombereaux

Épisode 285 • L’avantage des wagons tombereaux est que l’on peut varier les chargements à l’infini à très peu de frais.

Le modélisme ferroviaire a une particularité : l’isolement qu’il implique, du moins pour ceux qui ont la chance d’avoir leur espace dédié. Et s’il est difficile de quitter la pièce du réseau pour exécuter de gros travaux, il est en revanche bien plus aisé de rester dans le salon familial pour réaliser de petits bricolages. Le montage d’une maquette de bâtiment et les opérations sur le matériel roulant n’en sont que quelques exemples.

Peu d’outils et petit espace de travail

● Pour cette étape, on a besoin de Carton-Plume® 5mm (On peut utiliser aussi du carton-mousse d’autres marques), un cutter à lame neuve (de préférence un X-Acto à lame pointue), de la colle néoprène gel en tube, de la peinture noire et un pinceau plat.

Quelques outils et produits seulement sont suffisants pour concrétiser nos chargements de wagons tombereaux au gré de nos inspirations et de nos matières premières disponibles. De surcroît, il n’y a pas besoin d’une grande surface de travail. Idéal donc pour une petite séance de modélisme dans le salon familial.

Un ami m’ayant offert quatre gros sachets de ballast gris, j’ai immédiatement pensé à confectionner des chargements pour quatre de mes tombereaux, histoire de composer une future livraison à destination de mon entreprise de travaux publics STPM, à moins qu’il ne s’agisse d’une commande de la compagnie pour ses futurs travaux de renouvellement de ballast des voies.

Lorsque l’on façonne de tels chargements, l’idéal est de travailler en série. La partie la plus exigeante étant la découpe des « planchers » qui doit être précise et est spécifique à chaque type de wagon. Pour cette rame, j’ai un Omm 52 et un El-u 061 de la DB Märklïn, un Ommu 44 et un Omu de la DR Roco. Ces quatre wagons ont déjà été patinés par le passé et disposent d’autres chargements amovibles (charbon, bois). je vais donc reprendre la même technique.

Dans du Carton-Plume de 5 mm, je découpe des plaques de la taille intérieure des wagons moins un millimètre. Pour bien calculer ces cotes, il est préférable de mesurer avec un pied à coulisse. A cette étape, il est intéressant de prévoir plusieurs plaques par wagon quitte à en disposer ainsi d’avance pour des chargements ultérieurs. On vérifie que chaque plaque rentre bien dans son wagon de destination.

Sur chaque plaque, on colle de petites cales découpées dans le même Carton-Plume. Ces cales vont surélever le plancher et donc diminuer d’autant le chargement : on économise en matière première et donc en poids.

Photo 2382 : Découpe des plaques de planchers et les cales. Source : letraindemanu.fr

La face supérieure de chaque plaque est peinte en noir. On laisse sécher.

Mise en place des chargements

● À cette étape on a besoin de film alimentaire, de colle vinylique, d’eau, d’un brumisateur, d’un petit entonnoir de cuisine, une seringue de 5 ou 10 ml.

On découpe de larges rectangles dans le film alimentaire que l’on place dans les wagons. Les plaques sont insérées dans les tombereaux par-dessus ce film qui protège donc les faces intérieures des wagons.

Photo 2383 : Peinture noire sur la surface des planchers. Source : letraindemanu.fr

On badigeonne le socle de colle vinylique non diluée, puis on dépose à la petite cuillère une première couche de graviers. Avec l’entonnoir, on déverse ensuite les graviers en deux tas. Avec le brumisateur, on humidifie les chargements, puis on verse en goutte à goutte avec la seringue de la colle vinylique diluée à 50% d’eau.

Photos 2384 et 2385 : Mise en place et encollage des graviers. Source : letraindemanu.fr

Les wagons chargés sont ensuite mis de côté pour séchage pendant deux jours minimum.

Une fois bien secs, on retire les chargements grâce au film alimentaire que l’on ôte délicatement mais facilement. Au dos de chaque chargement on inscrit le numéro de wagon.

Photos 2386 et 2387 : Retrait du film alimentaire après séchage du chargement des wagons. Source : letraindemanu.fr

Voilà une jolie rame à destination de la STPM.

Photos 2388 et 2389 : Une rame de wagons tombereaux Ho dans la zone Industrielle Nord. Source : letraindemanu.fr

Il conviendra par la suite de me confectionner un râtelier pour ranger efficacement ces différents chargements. Plateaux, valisettes,… ?

Emmanuel

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Protégeons nos voies ferrées contre les avalanches

Épisode 286 – Retour sur le module hivernal avec la construction de différentes protections contre les avalanches et les chutes de pierres.

Il existe dans la réalité de nombreux dispositifs pour protéger les voies contre les avalanches et les risques de chutes de pierres, des simples palissades aux ouvrages d’art, selon la nature des risques. Sur mon module hivernal, je vais en représenter trois types : Des paravalanches en bois, des filets et une galerie.

Les paravalanches simples

Ces dispositifs de retenue relativement légers sont destinés aux zones à faible risque d’écoulement et sont placés dans les zones de départ des avalanches pour stabiliser le manteau neigeux. Ce sont de simples dispositifs de retenues en bois et/ou en métal. Sur la photo 2390 ci-dessous, extraite du site Tetra.fr, on peut voir un exemple de ces structures légères. On remarquera au passage que ce type de dispositif n’est pas totalement étanche, l’objectif n’étant pas de stopper l’intégralité de la neige mais de casser l’effet masse.

letraindemanu (2390) paravalanche en bois source tetra.fr

Photo 2390 : Paravalanche en bois. Source : tetra.fr

Pour réaliser ce type d’équipement, je vais utiliser deux matériaux facilement disponibles et à un coût dérisoire : les allumettes et les touillettes en bois.

Les touillettes sont simplement découpées aux extrémités pour ôter leurs bouts arrondis puis gravées avec une pointe. Elles sont ensuite collées à la cyanoacrylate Colle21 sur les allumettes qui servent ici de supports et de renforts. Il aurait été tout autant possible de les réaliser a base de rails d’occasion ou de profilés Evergreen.

Photo 2391 : Paravalanche en bois à base de touillettes. Source : letraindemanu.fr

Le tout est peint au lavis d’ombre brûlée. Les dispositifs sont ensuite simplement fixés à leur emplacement à la cyanoacrylate.

Photo 2392 : Paravalanche en bois à base de touillettes. Source : letraindemanu.fr

Les filets

Ces dispositifs en métal sont composés de deux éléments : un filet et des pieux. Des élingues complètent souvent l’équipement pour renforcer la résistance.

Sur la photo 2393 ci-dessous, extraite du site wsl-junior.ch, on voit un tel dispositif à base de filets

Photo 2393 : Filet paravalanche. Source : wsl-junior.ch

Le dispositif installé sur le module 4 a été mis en place il y a déjà plusieurs semaines à une époque où la saison hivernale du diorama n’était pas encore décidée. Mon filet avait donc été posé essentiellement pour protéger la voie d’éventuelles chutes de pierres sur cette paroi abrupte.

Pour sa conception, je me suis inspiré du filet déjà installé sur le muret du module dépôt.

J’ai simplement utilisé du tulle textile tendu entre deux tuteurs métalliques puis collés sur de vieux rails Jouef, repeints couleur ocre foncée. Les collages se font a la cyanoacrylate Colle21.

Photo 2394 : Fabrication du filet paravalanche. Source : letraindemanu.fr

Les rails sont ensuite enfoncés dans la paroi préalablement forée à la Dremel puis collés à la cyano. D’autres tuteurs sont enfin collés a l’extrémité des rails et à la paroi pour figurer les élingues.

Photo 2395 : Filet paravalanche. Source : letraindemanu.fr

Je pense que dans la réalité, un tel dispositif pourrait être relié à la signalisation ferroviaire pour fermer un carré en cas de danger.

La galerie

Les galeries paravalanches sont des ouvrages d’art installés dans les couloirs d’avalanches pour protéger les infrastructures.

En ce qui me concerne, cette galerie avait deux objectifs : diversifier les moyens de protection et occulter en partie le passage en coulisse vers le module dépôt.

Ma galerie est construite à base de carton-bois 3mm découpé au cutter. Ma seule contrainte était la taille de l’ouverture dans le module que je devais absolument occulter. Le mur du fond a du être raccourci pour une question d’épaisseur qui aurait engagé le gabarit. Il est simplement recouvert d’une plaque Faller imitation pierres passée avec un lavis de «jus crasse»

Photos 2396 à 2398 : galerie paravalanche. Source : letraindemanu.fr

Il conviendra maintenant de travailler le décor en avant-plan de cette galerie ainsi que le décor latéral.

Photo 2399 : Le module hivernal Cordon-les-Bains en octobre 2021. Source : letraindemanu.fr

Le module hivernal Cordon-les-Bains commence à prendre forme. Prochaine étape : la halte.

Emmanuel

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Les touillettes, voilà qui devrait plaire à @Julaye

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Bonjour Manu,

Encore une fois, tu débordes d’imagination pour détailler tes modules !

Si je peux me permettre, je rajouterais un petit muret en pied des poteaux de ta galerie pour empêcher la formation de congères.

Thomas

J’espère que tu ne fais pas comme notre ami Fred qui s’en procure en dévalisant les salons SNCF …

:rofl:

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Superbe décor et bonne idée ces filets para avalanche. Dans un magazine Américain, j’ai vu un exemple de filet avec détection pour signaler aux trains que la voie est encombrée. Ces filets étaient placé le long de la voie. Je vais rechercher dans mes archive le plan de conception.

Juste une petite remarque pour ta galerie, je pense que le toit devrait être incliné vers la vallée afin que la neige ou les pierres ne s’accumulent pas.

Bon week-end,

Marc

A ce stade le décor environnant la galerie est loin d’être finalisé.
Par contre je ne vois pas trop de quoi tu parles avec ces murets en pied de poteau. Une photo réelle peut-être ?

Non, c’est mon épouse qui me les a trouvé avec tout un tas de trucs pour arts créatifs. Et elle ne fréquente pas les salons sncf…:wink:

Oui, je sais, le toit est trop plan. Mais cette galerie a été improvisée bien après la pose des filets. Donc coté paroi, ma hauteur était contrainte par ces derniers.
Coté spectateur, j’étais contraint par l’ouverture d’accès à la coulisse que j’ai faite large au cas ou il y aurait un jour une caténaire. Donc plus pentu, on aurait vu cette ouverture, ce qui aurait été encore plus moche (je ne pouvais pas envisager 5 cm de neige… ). Voila l’explication de ce toit effectivement trop plat…

Bonjour Manu,

Je pense à ce genre de muret.


source : WSL-Junoir.ch

Pour moi, le but est d’éviter à la neige de rentrer dans la galerie sous l’effet du vent et de bloquer la circulation avec des congères.

Thomas

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Manu,

J’ai retrouvé l’article sur les filets de pierres le long des voies. Le voici scanné.

détection de pierres.pdf (266,9 Ko)

Si tu peux retoucher les scans, dis le moi et je t’envoie les png.

Marc

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Bon en ce moment, on tire les câbles pour amener le courant continu accessoires sur le module 4.

Je prévois trois lampadaires sur le petit quai à venir pour desservir la station.

Et puis comme Moduleho m’a offert un guidon d’arrêt, je pense que je vais l’installer au bout de ce quai en direction du dépôt. C’est sans doute pas une configuration réaliste pour GA, mais c’est le seul endroit d’où on pourra voir sa bande rouge lumineuse.(dommage d’avoir un joli signal lumineux si on ne peut pas voir les feux) On peut toujours imaginer un Disque en amont de la station qui justifie ce GA.

Des observations peut-être ?