Je souhaite intégrer un kit haute performance sur un BB 9200 verte référence 3038 et BB Capitole référence 3059 et les digitaliser.
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- J’ai eu une info de Alexander Stelzer (SAV Märklin) qui m’indique qu’il faut le kit n° 60943 pour la Capitole 3059.
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- Le document joint m’indique le kit n°60941 pour la BB 9200 verte.
Cela me semble bizarre car le 2 locomotives (verte et Capitole) semble avoir le même moteur.
2020 Tableau Correspondance Remplacement Moteurs MARKLIN.pdf (293,3 Ko)
Puisqu’ils le disent … pourquoi chercher plus loin.
D’autant plus qu’il te semble que les moteurs d’origine sont identiques.
Les deux peuvent avoir raison ! Cela dépend de l’année de construction du modèle, c’est tout…
J’ai une 3034 de 1965 environ avec moteur à collecteur plat (nécessitant le 60943) et une un peu plus récente avec moteur à collecteur tambour (nécessitant le 60941).
Pour en avoir le coeur net, il faut ouvrir les deux locomotives.
Si le moteur ressemble à ceci :
https://wiki.3rail.nl/index.php/Märklin_Kleine_Schijf_Collector_Motor_(SFCM)
avec les deux balais ronds et parallèles, l’un en cuivre et l’autre en charbon, alors il te faudra le 60943.
Si le moteur ressemble à ceci :
https://wiki.3rail.nl/index.php?title=Märklin_Drum_Collector_Motor_(DCM)
avec les deux balais de charbon qui glissent dans des rails de gauche et de droite du petit dôme, alors il te faudra le 60941
Merci aux camarades des Pays Bas pour leur documentation !
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Bonjour Benoit
La loco 3038 a été fabriquée sur une longue période avec DEUX types de moteurs
- le SFCM (petit moteur à collecteur plat) dans ce cas le moteur de remplacement est le 60941
- le DCM (moteur à collecteur cylindrique). Dans ce cas le moteur de remplacement est le 60943
Comment distinguer le SFCM et le DCM?
- le SFCM a un balais cylindrique en graphite et l’autre en grillage de cuivre
- le DCM a deux balais en graphite de section carrée
Même vérification pour la 3059 qui elle a été fabriquée epndant une période plus courte (3 ans environ)
Amicalement
Jean
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Je vous remercie chaleureusement.
Super pour vos réponses et du coup je me permets de compléter la question sur le décodeur à associer à ce kit moteur haute performance ?
Salut
J’ai fait cette digitalisation avec un décodeur Marklin 60972.
LEDS rouge et blanche à chaque cabine, qui permutent selon le sens de marche.
Bonne suite
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Avec un kit haute performance et son aimant permanent, tu peux mettre les décodeurs Courant Continu mLD3, mSD3 (avec son diesel ou vapeur ou électrique).
Remarque:
En général, quand je digitalise une locomotive analogique, je laisse le conduit de lumière d’origine et je met une diode bicolore (rouge - blanc chaud) à la place de la lampe à filament d’origine.
Alors là, ça peut facilement virer dans le religieux…
Un certain nombre de “vieux loups” préconisent ESU. Ils sont bons, même si la suprémacie des décodeurs sonores appartient au passé - mais ils sont chers. Le Lokpilot 5 actuel est listé au même prix que le Märklin MLD/3 (60972), sauf que Märklin fournit la platine de connexion mtc21, alors qu’ESU la vend à part pour une dizaine d’Euros. Et la programmation d’un ESU v.5 sans le programmer de la marque, c’est pénibilissime.
Personnellement je préfère les Märklin MLD/3 comme sur les photos de @Tchatch68 .
En sonore, il paraît que les meilleurs sons et décodeurs sont livrés par zimo. Ils sont très bons aussi en gestion du moteur, d’après tous les témoignages. Je ne les ai pas encore testés, mais je n’ai jamais lu que quelqu’un a remplacé un zimo par autre marque… mon souci est que pour l’instant aucun des marchands chez qui je m’approvisionne, ne vend la marque. Mais ça peut changer.
Tams, c’est de l’entrée de gamme même si la qualité évolue dans le bon sens depuis longtemps. Mais c’est une possibilité de digitaliser peu cher.
D’autres marques restent plus dans la moyenne gamme côté prestations alors que les prix sont plutôt élevés…
Je préconise, tant que possible, de ne pas faire l’impasse sur la platine de connexion. Que ce soit mtc21 ou plux22 n’a plus d’importance puisque toutes les marques citées proposent les deux - mais les locomotives produites par Märklin sont en mtc21 et non en plux. (Et le décodeur Märklin pour plux22 - sonore uniquement - est livré sans platine puisqu’il est destiné à être monté dans des locos d’autres marques.)
Pour la plupart des locos françaises ça marche, elles n’ont que deux feux blancs.
Pour les locos d’autres pays et celles qui en France ont la 3e lumière blanche, il faut séparer les feux.
Personnellement je garde les ampoules, leur lumière me semble plus authentique pour les vieilles locomotives que j’ai, et qui étaient éclairées par des ampoules 24V en légère sous-tension, de vraies veilleuses. Les phares des locos actuelles, c’est une autre affaire.
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Bonjour Benoît,
Cette solution a certes l’avantage de la simplicité, lorsque l’on ne veut pas chercher midi à quatorze heures.
Le gros inconvénient est que le diagramme de rayonnement des DEL bicolores n’est spatialement pas du tout le même que celui des lampes à filament. Le résultat aboutit donc à un éclairage plutôt médiocre, quelle que soit la couleur rayonnée.
Certes la signalisation 2 feux de la SNCF ne va pas chercher dans la difficulté, mais les diodes canon bicolores de 2 mm “habillées” si nécessaire d’un petit coupon de gaine thermorétractable noire prennent très bien la place des orifices du conduit de lumière.
Il y certes un peu moins de place du côté du moteur et le montage est plus délicat.
Quant au choix d’un décodeur, je te conseille avant tout d’approvisionner des platines supports 21mtc ou PlusX22 sur lesquelles tu feras ton câblage sans griller de composants sur le décodeur. Tu pourras ensuite y enficher un décodeur enfichable compatible (qui sera facilement amovilbe pour test ou remplacement). Pour une loco aussi simple, les modèles de base d’ESU ou Zimo conviennent très bien. Les images de Tchatch68 montrent un tel montage (décodeur sur platine 21mtc).
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Avez vous remarqué une différence notable en terme de vitesse et de puissance de traction entre une locomotive analogique (stator bobiné) et une locomotive équipée d’un kit haute performance (équipée d’un aimant permanent) ?
Bonjour Benoît,
Je ne sais pas si beaucoup d’entre-nous avaient enregistré vitesse et puissance de traction d’une locomotive avant sa conversion pour numérisation avec moteur à aimant permanent.
Pour ce qui me concerne, j’ai surtout apprécié après transformation la tenue d’une très faible vitesse de ralenti pour les accostage (d’attelage) et la souplesse du pilotage.
Pour ce qui est de la vitesse, quelle importance ? On ne roule pas à tombeau ouvert sur nos réseaux aux courbes de lignes de tramway. Je préfère admirer mes trains à des vitesses correspondantes à 60-80 km/h, voire moins pour en apprécier la composition lors du défilé. Je règle donc les vitesses maximales pour qu’elles correspondent à celles pratiquées en réalité pour la locomotive considérée.
Idem pour la puissance de traction. Où se situe le défi ? Certes, j’aimerais bien pouvoir atteler une trentaine de wagons-trémies derrière une série 43 ou une série 50, mais je ne peux que rêver. Je n’ai pas les moyens d’acheter de quoi faire des compositions si longues, mon locodrome est trop petit et tous les logiciels de pilotage par ordinateur préconisent de faire rouler des trains d’une longueur inférieure au canton le plus court. Ceci signifie des convois limités entre 3 et 6 wagons/voitures sur nos réseaux étriqués. Alors la puissance de traction, c’est vraiment d’importance très secondaire, sauf pour franchir des hélicoïdes interminables, raides comme des accès de butte de débranchement.
Je trouve les locos numérisées avec moteur à aimant permanent suffisamment puissantes pour l’usage que nous en faisons.
Mais bon, peux-tu nous expliquer ton problème ?
Pour la vitesse → Ok
Pour la puissance de traction, ma BB9200 va tirer une dizaine de wagons de voyageurs Capitole 4075 en tôle.
J’avais digitalisé une loco HAG Swiss Express, avec un moteur dont le collecteur avait un disque plat ( moteur type 64). Cette machine avançait moins vite que les autres.
J’ai transformé ce moteur avec un collecteur à tambour (type 88)
Ce moteur est deux fois plus rapide maintenant.
Bonjour,
En tôle d’acier ou en tôle d’aluminium ? 
Bon, je sors 
Si les roues sont propres et les fusées d’essieux correctement lubrifiées, une dizaine de voitures Märklin, ce n’est rien pour ces moteurs-là.
Dans ces compositions-là, le plus lourd à trimbaler était le fourgon générateur, encore que les premières rames constituées de voitures UIC A9 n’en comportaient pas et étaient alimentées électriquement par la ligne de train sous 1,5 kV continu.
Bonjour Benoit
Concernant la puissance de traction, elle est déterminée par le nombre d’essieux moteurs et le nombre d’essieux bandagés ainsi que par le poids de la loco.
Celle-ci n’a donc aucune raison de varier avec un moteur HDLA (5 pôles)
Vitesse de la loco: le passage au HDLA implique l’utilisation d’un décodeur mLD3 ou mSD3 avec des réglages de vitesse et d’inertie.
Il faut BIEN SUR régler ces paramètre à l’aide d’une CS3 ou CS2
Réglée au maximum, la vitesse n’est pas réaliste et il faut la réduire
Juste mon grain de sel
Jean
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Ce sont des tôles ont du lait !!!
Est-ce que je lis bien si je traduis : “ce sont des tôles ondulées” ?!?
Oui, c’est un jeu de mots.
Dis donc @Tchatch68 donc cette BB est née sous X ? Elle n’a plus son inscription BB 9291 sur son nez !!!
D’ailleurs l’emblème SNCF n’aurait pas été repeint en jaune histoire d’être plus conforme à la réalité ?
