iTrain ou RocRail, mon coeur balance

Bonjour,

hou là…

Cela dépend essentiellement de ce qu’on appelle “détecteur”. Un S88 (qui n’est pas un décodeur, puisqu’il n’interprête pas un code numérique pour faire une action “réelle”, mais un encodeur qui transpose un changement d’état “réel” en information numérique) est, selon moi, un détecteur puisqu’il détecte si le circuit est fermé par un essieu, ou non.

Je ne comprends pas la question. Entre quels types choisirais-tu ?

C’est juste. On peut aussi travailler avec trois contacts.

Ça par contre, c’est - avec tout le respect - insensé. Pourquoi ? Parce que dès que le contact “IN” est actionné, Rocrail arrête le train. Si on veut que le train s’arrête quelques millimètres après le milieu du canton - ok, autrement, il vaut mieux poser les contacts autrement : aux extrêmités du canton !

Ici, ce sont les premiers et derniers coupons du canton qui servent de contact, pour utiliser au mieux l’espace disponible tout en gardant un peu de distance des aiguillages. Admirez, dans la dernière scène, le merveilleux ralenti d’une V160 à moteur 5 pôles HLA, avec son décodeur ESU/Märklin reparamétré par votre serviteur… mais n’oubliez pas de regarder quand s’arrête la voiture pilote qu’elle pousse : au moment d’entrer dans le dernier coupon avant l’aiguillage, reconnaissable aux traces de peinture sur ses flancs (ce sont des rails de récup’ du réseau jurassien de Hans Hirsch).

offre une meilleure vue d’ensemble du réseau (éphémère).

Si ça veut dire, surveillance du canton entier sans interruption : pourquoi ? Les deux contacts, éventuellement un troisième si on veut faire s’arrêter des trains courts au milieu du quai, suffisent largement. Certains collègues me parlent de wagons perdus - alors je demande : pourquoi perdent-ils des wagons ? Préfèrent-ils détecter un dysfonctionnement plutôt que le prévenir ? Quant à moi, je vérifie les véhicules, et s’il y a des attelages qui ne tiennent pas, je les remplace - ou je vire le wagon/la voiture.
D’ailleurs, dans la gare cachée, afin de gagner plus de place, je compte bien utiliser des cellules photo-électriques pour la détection particulièrement précise.

Oui tu as raison j’avais oublié …mais Benoît veut rétro signaler toute la longueur du canton ( block en anglais :wink:)

Donc il lui faudrait 3 zones de rétro signalisation je pense

C’est pour moi la faiblesse de Rocrail versus ses 2 concurrents qui raisonnent en distance
L’arrêt se programme à 190 cm du départ du canton (ou en milieu de quai) indépendamment des contacts qui servent uniquement à détecter le passage de la loco

S’il insiste pour surveiller tout… mais la surveillance restera quand même partielle car il est très difficile de surveiller les aiguillages. Et, comme dit, mieux que surveiller les défaillances vaut les prévenir.

Mouais. Oui et non.
Le jour que tu viendras me rendre visite avec une de tes locomotives, je la déclarerai dans le logiciel et dans la centrale, et elle fonctionnera. Le fonctionnement par calcul de distance exige que pour quasiment chaque cran de vitesse, soit mesurée la vitesse de la machine en marche avant et en marche arrière, ce qui nécessite une voie de mesure (donc de la place, environ deux mêtres de préférence en ligne droite) et beaucoup de temps.
De plus, calculer constamment l’emplacement d’un certain nombre de trains, exige un ordinateur bien puissant, alors que Rocrail fonctionne toujours sur mon vieux truc de 2004.

Après, c’est un choix comme tout, et il n’y a pas l’unique bonne solution.

  1. Avec I-train, si on fixe la longueur du canton, comment I-Train étalonne le freinage en fonction de la locomotive.
  2. Mon idée est d’éviter d’avoir trop de câblage (détection entrée de zone, zone normale, détection sortie de canton.
    Je préfèrerai avoir un seul canton à câbler.

C’est un calcul permanent - si tu veux, comparable à celui d’un logiciel de jeu qui calcule l’emplacement de ton engin à tout moment en fonction de la vitesse choisie et d’autres paramètres. Sauf qu’iTrain ou RRTC pilotent de vrais trains, et vérifient de temps en temps - précisément, à chaque entrée en canton - l’exactitude du calcul.
En fonction de ces calculs-là, le logiciel gère la vitesse pour arriver à l’arrêt au point voulu.

OK - mais : mis à part le nombre de modules s88, quel câblage y a-t-il à faire ? Deux isolations aux extrémités de secteur surveillé, et un seul fil - un ! - du rail vers le module s88.
Et puis, c’est à faire une seule fois, au moment quand tu construis ton réseau.
Alors que iTrain et RRTC doivent procéder au calibrage de chaque nouvelle locomotive avant que tu puisses les utiliser en gestion logiciel…

C’est un choix à faire, et il t’appartient. Mais je pense que tu surestimes l’effort du câblage.

Bonjour
Ceci est ma dernière intervention sur ce post .

Benoit92

mai '23

J’ai téléchargé Rocrail.zip.
J’ouvre le zip
Je clique sur “START”.
Seule une page de texte apparait.
Impossible de démarrer Rocrail.
J’aimerai au moins pouvoir réaliser un réseau.

J’ai la désagréable impression de me faire mener en bateau .

Ca pour moi c’est la grande force de Rocrail , que le train qui arrive dans le bloc d’une gare qu’il mesure 160 cm ou 60 cm si le bloc à été programmé avec arrêt au milieu ou au milieu du quai et bien les trains seront centrés . Avec un arrêt programmé à 190 cm ,celui de 60 cm sera ou?

Bonne journée
André

Dommage…

Ah. Mais ce problème a peut-être été résolu récemment ?
En tous cas, Rocrail doit être installé, c’est pas à partir d’un zip qu’on va le démarrer.

Là, c’est moi qui ai l’impression d’être pris pour “resté sur place”…
Normalement, avec Rocrail, le train va jusqu’au contact “in”. Avec un contact médian, et peut-être aussi par la fonction BBT (là, je n’ai pas suivi l’évolution des trois ans passés), on peut prévoir un arrêt à d’autres endroits au sein du bloc. Le choix du contact d’arrêt se fait dans le choix des itinéraires. C’est le premier point.
Le 2e point est que dans d’autres logiciels qui fonctionnent par calcul du déplacement, on peut - séparément pour chaque train dans chaque bloc ! - prévoir la zone d’arrêt, il est donc possible de les faire arrêter tous au même endroit (en Allemagne, la pancarte H par exemple), ou systématiquement au milieu de l’abri de quai, ou…

Bonjour

Avec iTrain, on indique la longueur des cantons et la position des rétrosignalisations. Ensuite, on étalonne la vitesse de chaque loco (ça dure 10 minutes par loco et c’est automatique).

Dès lors, iTrain calcule la position de chaque loco en fonction de sa consigne de vitesse (L=VxT) , donnée par le logiciel en fonction des paramètres introduits et se recale au passage de chaque rétrosignalisation. Donc, s’il faut arrêter une loco au point X, iTrain calcule le moment où il faut ralentir (en fonction des paramètres de ralentissement que l’on aura éventuellement défini; ce n’est pas indispensable mais alors l’arrêt est brutal) de sorte à ce que la loco s’arrête au point X.

Pour éviter du câblage, on peut utiliser des décodeurs intégrés aux appareils de voies, aux signaux (mais c’est plus plus onéreux) et utiliser une seule rétrosignalisation par canton, en précisant au logiciel où l’on souhaite arrêter la loco (utilisation des “positions”); Le tout est qu’iTrain sache avec certitude que la loco est entrée dans le canton.

Plus simple, il n’y a pas (il faut quand même du câblage pour alimenter les voies !)

Thierry

Avec RocRail, cela donnerait un câblage comme cela ?

hello

Mon S88 est un Viessmann 5233 qui se branche directement sur la centrale
c’est un decodeur à “nappe” il y a mieux de nos jours avec des decodeurs qui acceptent du cable rj 45 qui est blindé mais le branchement est le même
c’est le PC qui est relié à internet mais Rocrail ne l’impose pas - iTrain non plus - TC oui

re edit : tu devrais quand même lire un peu les docs tu aurais des infos et tu pourrais poser des questions moins ouvertes …

bon week end
Francis

Hello Thierry
Cela marche effectivement très bien
pour la courbe de vitesse et son étalonnage par iTrain il faut auparavant mettre les CV d’accélération et de freinage du décodeur de la loco à zéro pour que le logiciel ait la main
Ceci étant je ne lai pas fait ( pas possible sur les locos FX avec l’IB 1) et cela marche plutot bien

Une question ( j’ai testé mais pas vu de différence ) sachant que j’ai mis deux zones de contact par canton par prudence et sécurité :

Si le poinr d’arret du canton est paramétré avant le deuxieme contact est ce que cela change quelque chose au fonctionnement de iTrain?

bonne journée

Hello Wolfram

a) je n’ai pas trouvé comment faire cela dans iTrain , j’ai juste vu que l’on peut , pour un canton déclaré en “gare” , faire arreter les trains en milieu de quai - mais dans ce cas tous les trains le feront - sauf si j’ai bien lu les trains marchandises qui s’arreteront eux devant le signal en fin de canton
b) je crois que Rocrail permet un réglage par couple “loco / bloc” mais pas pour l’endroit d’arret seulement pour le ralentissement et l’arret pour tenit compte de la loco et de la caractéristique du canton - si en montée par exemple -
c) je ne sais pas mais je pense que TC pouvant a peu près tout faire doit aussi le permettre , il modifie notamment lde lui même les paramètres de la loco si elle tire un ou 18 wagons…

encore une fois plus il y a de possibiltés plus il y a de temps de paramétrage …et de temps à comprendre comment ca marche…

Bonjour Francis.

Oui, ça marche très bien pour autant que les distances des contacts de rétrosignalisation soient bien exactes (j’ai eu le cas sur un canton : il y avait une erreur et le train ne s’arrêtait pas au bon endroit…)

Concernant l’étalonnage de vitesse - et le fonctionnement en général - il est préférable d’annuler les réglages d’accélération et de freinage du décodeur; cela peut se faire via les CV ou la fonction F4. Et on gère accélération et freinage via le logiciel, il en tient compte pour l’arrêt exact au point souhaité.

Enfin, s’agissant du deuxième contact de rétrosignalisation éventuel dans le canton (c’est mon cas), voici ce qu’on peut lire dans le manuel d’iTrain, page 118 :
Avec «Utiliser positions», le train s’arrêtera à une position absolue dans le canton. Avec
«Utiliser positions» les contacts de rétrosignalisation ne seront pas affichés parce que leur
rôle sera automatiquement calculée en instantané, à partir des informations de l’onglet
«Rétrosignalisation». Par exemple, tous les contacts de rétrosignalisation positionnés en
aval de la position d’arrêt calculée agiront comme des arrêts d’urgence.

Chez moi, comme le second contact est avant la zone d’arrêt (il servait initialement de contact d’arrêt, décalé de x cm), il est simplement “ignoré” par iTrain quand j’utilise les positions.

J’espère avoir répondu à tes interrogations.

Cordialement
Thierry.

Pour bien comprendre, j’essaye de refaire le plan par moi-même.
Mon schéma de câblage marche t-il ?
Le PC RocRail sera relié sur internet via une RJ47.

Ah… alors c’est peut-être selon la version iTrain. Je ne suis pas connaisseur intime de ce logiciel, j’observe juste ce que font les autres… mais : iTrain peut utiliser les longueurs de train pour que le milieu du train s’arrête en milieu de quai.

Là, il faut que je vérifie, ça fait un bout de temps que je ne me suis pas penché dessus.

TC gère entièrement les courbes d’accélération et décélération, comme iTrain, pas besoin de changer les paramètres de la loco.
Par contre, dans Rocrail, pour les locos DCC ça semble être possible. Je ne me suis jamais intéressé à cette possibilité…

Où est-ce qu’on peut voir le schéma ?

Internet n’est pas important - ce qui compte, c’est le lien entre Rocrail et le réseau…
à moins que tu veuilles installer Rocrail sur un ordinateur (un Raspberry ?) et le piloter par un autre, la tablette par exemple. C’est tout à fait faisable, mais il faut paramétrer le réseau en fonction !

Le schéma est ci-dessus sur le post 154.
Je ne sais pas s’il est correct en ce qui concerne les branchements ?

Ah, ce post m’avait échappé.
Je ne comprends pas pourquoi le L88 serait à brancher sur le routeur - à ma connaissance il se branche sur la CS2 ou CS3. Et alors, pas besoin d’internet entre PC et centrale.

Tante Edit ajoute :

Il est quand même utile de lire la fichue notice (RTFM) - ici, la page 21 où il est clairement indiqué que le L88 est à brancher à la CS2 ou CS3 et pas au routeur !

Et je commence à partager l’impression de @francis1954:roll_eyes:

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A priori, il n y a qu’un connecteur RJ45 sur la CS2.
Si je branche le L88, je n’ai plus de place pour la liaison RJ45 avec le PC.

Depuis quand le L88 est branché à la CS2 par RJ45 ?!? C’est le câble latéral qui sert de lien entre la CS et le L88. Les prises RJ45 servent à relier deux bus s88 au L88, ce ne sont que des entrées !

Punaise, lis le manuel et lis-le attentivement, ce sont des images bien expliquées !
Ça t’évitera de nous poser des questions stupides et de nous faire perdre notre temps !

Bonjour Benoît

Tout est indiqué dans le manuel du L88

Extrait du document de Märklin

Pourquoi vouloir faire n’importe quoi ?

Si la prise nommée “60173” sur la CS2 est déjà utilisée par un booster, alors il est nécessaire de brancher un Terminal Réf 60125 (ancien modèle gris) ou Réf 60145 (nouveau modèle noir) sur cette prise et de brancher le Booster ainsi que le L88 sur le Terminal


Image en provenance du manuel de la CS2

De plus le L88 requiert une alimentation séparée 66360 (modèle actuel) ou 66361 (ancien modèle qui n’est plus produit)

A+

Roland