Et voici le premier résultat. A parfaire et surtout à tester car les cables doivent passer dans le mat. J’ai d’ailleur préparer une deuxième version du mat plus large.
Bonjour Olivier,
Pour les câbles il y a la solution des fils de cuivre isolés récupérés d’un relais de loco inverseur Marklin.
Très fin, discret si enrobé avec la peinture du mat. A l’extrémité, un morceau de plaquette CI lignee avec un borniers au pas de 5,08
Cordialement.
Alain.
En standard j’ai du 22 AWG que je pensais mettre dans une gaine thermo noire de façon à ce que cela soit le plus discret possible. Mais 2 ou 3 AWG 22, cela fait qd même une certaine épaisseur et je vais devoir tester.
Si tu as des suggestions de câbles que je peux trouver dans le commerce plus adaptés que le 22 AWG, je suis preneur.
Je pense m’être mal exprimé. Par fil de cuivre isolés, je pense au fil du bobinage. Tu trouveras difficilement plus fin. Sinon il y a Tams electronic qui propose une large gamme de fine section.
BaT
Concernant tes câbles d’alimentation, je suppose que se sont ceux des “ampoules” de tes feux ?? Dans ce cas, tu utilises des LED CMS 402 ou 603 toutes câblées et crois moi les fils sont plus fin qu’un cheveux. Mais peut-être n’ai je pas compris ton soucis de “câbles” !!
Les fils des LED sont ensuite glissés ds un trou de la plateforme supportant la cible et descendent ds le corps du mât jusqu’à son pied.
J’ai réalisé mes propres feux en “SNCB” avec mon imprimante 3D à filament.
J’ai encore des réglages pour améliorer le résultat mais je trouve que c’est une bonne base de départ.
J’ai utilisé ThinkerCad pour la conception et le slicer Créality que j’ai eu avec l’imprimante.
J’ai utilisé des LED classique de diamètre 2 mm. Pour le câblage, j’ai utilisé des fils de section 0.22mm² mais un peu juste pour passer dans le pied du feu.
Je prévois de diminuer le diamètre de la LED à 1.8 mm afin de facilité le câblage.
Belle modélisation ! Par contre, tu as intérêt a diviser ton signal en élément de base pour faciliter la miseen peinture et surtout l’installation des leds.
Pour mes signaux, j’ai :
la cible
un fond de cible pour l’installation des CMS
un cerclage de cible
une plateforme en tête de mât
un mât en 2 parties avec une face avant amovible permettant le passage des fils
un support de pied de mat qui permet la fixation sur le reseau.
les elments de detaillages (rambardes, echelle…)
Par ailleurs, il faut intégrer à la modelisation une légère distorsion de la réalité pour reprendre les dimensions leds et les limites finesses de l’imprimante.
Voici le type de LED en 1.8 mm. Le feu que j’ai mis en photo est avec des LED de 2 mm. J’attends ma commande de 100 LED en 1.8 mm pour faire les montage.
J’ai également l’intention passer en résine pour un meilleur rendu. Mais avant cela, j’ai acheté des buses plus petite 0.3 mm 0.4 mm pour essayer.
Ca y est. J’ai reçu mon imprimante résine et voici les premiers test (pas trop mal à mon goût).
Je dois encore finaliser les réglages de l’imprimante pour la résine choisie car je pense qu’elle peut faire beaucoup mieux.
Je tiens à préciser que je n’avais pas d’isopropanol pour le nettoyage et j’ai bidouillé avec de l’alcool.
Donc, j’ai laissé le signal toute la nuit dans l’alcool avant de la passer aux UV ce midi. Cela explique sans doute pourquoi certaine partie sont recroquevillées.
C’est toujours un processus d’essaie erreur au départ (aussi dans le dessin) pour avoir les choses bien proportionnée tout en étant assez grande pour que cela s’imprime bien.
Après réglage de l’imprimante, percement du FEP et son remplacement, je suis assez satisfait du résultat.
J’ai passé dans la gaine deux LED SMD (un rouge et un vert) mais ce n’est pas encore parfait car je ne sais pas comment je vais les faire tenir au bon endroit.
Lorsque je branche les LED (avec une résistance de 1000 ohm) elle clingote légèrement) et je peux également mesurer cette légère augmentation de tension au voltmètre.
Est-ce normal ?
Y-aurait-il une sorte de porteuse envoyée par la GLeisbox a intervalle régulier ?
Car la Led ne fonctionne que dans un sens de la polarité, alors qu’un signal numérique c’est les deux polarités.
Sur les trois formats de la Gleisbox (MM2, DCC sans Railcom, et mfx):
MM2: Clignotement plus important si elle est branchée + (anode) sur rouge et - (cathode) sur brun, car le signal est fortement négatif (à plus de 75%)
DCC: Signal symétrique mais à fréquence variable (2 fréquences) la Led clignote mais suffisamment vite pour ne pas être perçu (persistance rétinienne), mais le changement de fréquence est parfois perçu.
mfx, il y a des pauses (interruption de l’alimentation) qui peuvent être perçues, sinon comme DCC mais à fréquence constante qui évite la perception. (c’est des sauts de phase)
Toutes les alimentations d’éclairages à partir du signal numérique (comme les décodeurs de signaux sans alimentation séparée), redresse le signal (généralement un redresseur mono-alternance) et utilise un petit stockage (un condensateur) pour passer les pauses (et les alternances non redressées) du signal numérique.
La mesure au voltmètre est foirée d’office, ce n’est pas du sinus et c’est une fréquence au delà de la capacité d’un multimètre standard. Plus la composante continue due à l’asymétrie du signal MM2 qui va planté beaucoup de multimètre (qui varie en fonction des ordres envoyés).
Seul les multimètres haut de gamme TRMS (True RMS) à bande de fréquence large sont capables de faire la mesure, au delà des 1000€.