C’est une Liliput réf.110131 ?
Presque, c’est la 110132 
Bonsoir
Ce soir, une nouvelle venue dans la collection, nouveauté récemment disponible la Br 38 2919 dite “P8” (référence 39380) accompagnée de la génération précédente, la Br 38 1885 (extraite du coffret 26549).
On notera la différence de sonorisation sur les coups d’échappement.
Bon visionnage
Bernard
2 « J'aime »
Bonsoir Bernard,
Laquelle de ces p8 est la “mieux” y a t’il une différence notable au niveau de la gravure ? Et la bande son il y a donc une différence ?
Merci d’avance
Amicalement
Christian
Quiz: quel est le point commun entre la BR 38 2919 et la BR 78 1001 ?? 
BR 38 2919
BR 78 1001
Bonsoir Christian
La gravure me semble équivalente au niveau de la machine hormis le train de roues que je trouve plus réussie sur la dernière venue. Le tender quant à lui est strictement identique, y compris la gravure du charbon
La sonorisation est plus marquée sur le dernière venue, notamment les coups d’échappement (je ne sais pas si la vidéo arrive à la restituer). Mais on reste loin derrières les dernières sonorisations Roco ou ESU.
Bernard
Hormis le tender, elles se ressemblent beaucoup beaucoup
Bon un coup de Wikipedia et le tour est joué , ce sont les mêmes machines ! 
Ché malin, j’ai une machine en double
Et oui, la BR 38 2919 n’est autre que la future BR 78 1001 !
Son historique:
https://www.dampflokomotivarchiv.de/index.php?nav=1414878&lang=1&id=104734&action=portrait
Bizarre que Märklin reproduise cette machine (BR 38 2919) en version DB (période très courte 9/1949 à mai 1950)…
Cela ravira les fans de l’époque IIIa !
Cette machine dans cette version, n’a donc pas connu le logo Keks de la DB.
Bonjour Bernard, félicitations pour cette nouvelle acquisition ! j’adore la P8…
Christian, tu es une mine d’or de renseignements ! Question bête de ma part qui m’est venue à l’esprit en te lisant : en quelle année est apparu ce fameux logo ?
A vous lire prochainement pour la suite.
Bonjour à tous,
Fred, le logo Keks est apparu vers 1957.
Avant cela il y a eu le fameux “Deutsche Bundesbahn” écrit en petit sur les vapeurs, telle la BR 38 2919 ainsi que sur les électriques et certains diesel.
Il était écrit en lettres majuscules sur les V 200.0 et V 200.1.
Pour les voitures voyageurs étaient juste apposées les initiales DB (cas des voitures de 26,40 m par exemple) ou en toutes lettres majuscules (cas des voitures Rheingold de 1952).
Tout le matériel roulant neuf sorti vers 1956/57 reçu le logo Keks de la DB.
Bonsoir
Pour continuer dans la thématique, voici donc l’oiseau rare et son improbable rencontre avec son double 
la Br 78 1001 (référence 39781)
Bon visionnage
Bernard
1 « J'aime »
Merci pour la vidéo Bernard, de bien belles machines ces P8 ! 
Bonjour Bernard,
Magnifique ! La P8 a vraiment une belle bouille, quelque soit la version. Pour ma part, j’ai un faible pour les versions de l’époque I en version KPEV ou du Grand Duché de Bade (verte/rouge et bleu), ainsi que celle en époque IV équipée avec le tender baignoire produite par Märklin mais sur la base de l’ancienne version.
Bonjour, c’est vrai que cette P8 en jette que ce soit avec le tender baignoire, grande capacité (31 m3) ou le 26 m3. Le 16m3 lui va très bien aussi!
Bw Rottweil 12/8/69
Merci Christian,
Tiens, en parlant de tenders : quel était la raison et le but de l’adjonction de ce tender à deux essieux étrange sur la BR 78 1001 ?
J’avoue ne pas trop comprendre …
Amicalement,
Fred
Bonjour Fred
Il me semble que c’était des essais pour favoriser l’allure en marche arrière pour éviter de tourner les machines sur une plaque mais cela n’a visiblement pas été couronné de succès et seulement deux exemplaires de P8 ont été transformées.
Bernard
Ce que dit wikipédia au sujet des des deux BR 78.10:
L’objectif était d’améliorer les performances d’accélération des véhicules, en particulier pour les tâches sur les lignes suburbaines et les lignes urbaines.
La cabine du conducteur a été repensée. Une annexe courte a été ajoutée qui a été couplée au moteur avec un arbre et a amélioré les qualités de conduite en marche arrière.
La traduction vaut ce qu’elle vaut.