ces locos hésitent un peu trop sur les voies au sortir de l’emballage.
Alors rodage viril : une heure à moyenne vitesse en avant, une heure en vitesse moyenne en arrière. La machine, ainsi domptée, est d’une souplesse, comment dirais-je, d’une souplesse toute märkline.
ces locos hésitent un peu trop sur les voies au sortir de l’emballage.
Alors rodage viril : une heure à moyenne vitesse en avant, une heure en vitesse moyenne en arrière. La machine, ainsi domptée, est d’une souplesse, comment dirais-je, d’une souplesse toute märkline.
Pascal
Bonsoir Pascal,
Et tu penses que c’est utile, même pour des mécaniques “modernes” ?
Alors rodage viril : une heure à moyenne vitesse en avant, une heure en vitesse moyenne en arrière. La machine, ainsi domptée, est d’une souplesse, comment dirais-je, d’une souplesse toute märkline.
ces locos hésitent un peu trop sur les voies au sortir de l’emballage.
Alors rodage viril : une heure à moyenne vitesse en avant, une heure en vitesse moyenne en arrière. La machine, ainsi domptée, est d’une souplesse, comment dirais-je, d’une souplesse toute märkline.
Pascal
Bonsoir Pascal,
Et tu penses que c’est utile, même pour des mécaniques “modernes” ?
Bonjour Bertrand,
C’est effectivement utile pour des mécaniques modernes. La T 12 référence 36741 est dotée d’un moteur, disons contemporain. J’ai constaté qu’il doit être solidement, ou virilement, c’est au choix, rodé.
Je rode d’ailleurs toutes mes nouvelles machines, sauf celles qui disposent d’une motorisation C-sinus ou Softdrive sinus qui ont un excellent répondant dès les premiers tours de roue.
la Type 96 SNCB, référence 3101 sotie en 1978, arrachée de mon parc à jouets et posée sur mon vieux catalogue de l’époque. Vous remarquerez également le dépliant publicitaire d’époque lui aussi, présentant cette loco. J’ai trouvé ce dépliant pour un bouchée de pain sur Ebay il y a quelques mois. Je ne parle pas de la superbe boite bleue…
ces locos hésitent un peu trop sur les voies au sortir de l’emballage.
Alors rodage viril : une heure à moyenne vitesse en avant, une heure en vitesse moyenne en arrière. La machine, ainsi domptée, est d’une souplesse, comment dirais-je, d’une souplesse toute märkline.
Pascal
Bonsoir Pascal,
Et tu penses que c’est utile, même pour des mécaniques “modernes” ?
Bonjour Bertrand,
C’est effectivement utile pour des mécaniques modernes. La T 12 référence 36741 est dotée d’un moteur, disons contemporain. J’ai constaté qu’il doit être solidement, ou virilement, c’est au choix, rodé.
Je rode d’ailleurs toutes mes nouvelles machines, sauf celles qui disposent d’une motorisation C-sinus ou Softdrive sinus qui ont un excellent répondant dès les premiers tours de roue.
Pascal
Bonjour Pascal,
Oui c’est la question que j’allais te poser… Alors je vais essayer tes préconisations !!
Hier après-midi, rebelotte, je remonte mon circuit jouet et c’est au tour de la Type 25 SNCB (ex Br 50 allemande) à sortir de ses cartons. Il s’agit de la référence très populaire 3314 sortie par Märklin en 1992. Tous les petits belges ont fait rouler cette loco sur leurs circuits, ou peu s’en faut.
La locomotive que je vous présente ce soir est un scandale. Les âmes pures et sensibles vont devoir passer leur chemin. Je préfère être clair tout de suite.
La machine que je présente ce soir, avec une certaine audace, est un faux. A l’origine, c’est une SNCB type 25, référence 3316, analogique, sortie en 1987 des usines Märklin.
Cette belle a perdu son âme et sa vertu sur l’établi obscur d’un spécialiste en médecine numérique. Après une intervention chirurgicale rapide, mais aussi ferme que résolue, quelques points de suture, pardon de soudure, elle a revu le jour …** cybernétisée**. Une greffe non consentie d’un décodeur loksound ESU, insulte suprême, vint en effet gâter cette petite vieille qui n’ose plus guère sortir à présent de son parc à jouet trop tranquille.
La voici pour une timide sortie sur les voies digitales de Viroinval.
Voici donc la preuve vivante que je ne suis pas un collectionneur.
La locomotive que je vous présente ce soir est un scandale. Les âmes pures et sensibles vont devoir passer leur chemin. Je préfère être clair tout de suite.
La machine que je présente ce soir, avec une certaine audace, est un faux. A l’origine, c’est une SNCB type 25, référence 3316, analogique.
Cette belle a perdu son âme et sa vertu sur l’établi obscur d’un spécialiste. Après une intervention chirurgicale rapide, mais aussi ferme que résolue, elle a revu le jour cybernétisée. Une greffe non consentie d’un décodeur loksound ESU, insulte suprême, vint gâter cette petite vieille qui n’ose plus guère sortir à présent de son parc à jouet trop tranquille.
La voici pour une timide sortie sur les voies digitales de Viroinval.
Voici donc la preuve vivante que je ne suis pas un collectionneur.
Dommage, ça m’a échappé. J’aurais dû la vendre à cette époque. Les collectionneurs sont fous de mettre des prix pareils pour si peu de chose.
Jean-Pierre et Christian , merci de ne pas lire ces messages… Je crains fort que vous pâlissiez d’effroi et que votre vaisseau sanguin ne résiste pas à cet abordage !
Moi aussi, je suis suffisament iconoclaste pour digitaliser, remotoriser, modifier des machines de cette génération, pire, je le pratique même sur du VB, du TAB, du Roxy et ce qui peut me passer sous la main qui me plaise!
Plus sérieusement, je conserve ou remets en analogique les Märklin beaucoup plus anciennes comme les F 800, GN 800, DA 800, etc…, je trouve qu’elles ne vont pas avec ces modèles plus nouveaux de la génération de la belle que tu nous présente ce soir, qui eux, ne déparent absolument pas avec les productions Märklin actuelles.
Le tout, c’est de se faire plaisir, et là, je te dis : Bravo!