Bonjour,
Chaque ligne ou presque a ses spécificités…
Ainsi les lignes à branches (ou anciennement débranchées) comme la 7 (station Louis-Blanc) et la 13 (après La Fourche).
La ligne 3 aussi à Gambetta. Le couloir de correspondance en courbe vers la 3 bis est le tunnel de l’ancien tracé lorsque la ligne menait à la Porte des Lilas et non à Galliéni.
Les ligne 2, 5, 6 et 11 qui demeurent les seules à faire circuler des rames de 5 voitures, du fait des stations courtes existantes tant en souterrain que sur les sections aériennes. C’est 6 ou 8 voitures sur les autres.
Il y a les stations dont les quais sont décalés pour réduire l’emprise latérale de la voirie ou s’accommoder d’un terrain instable (Commerce, Liège, Château-Landon et autres).
Il y a aussi les stations non ouvertes au public ou non parcourue par le réseau exploité (Arsenal, Croix Rouge, Haxo, Porte Molitor (hyppodrome de Longchamp)). Ou encore supprimées (Martin-Nadeau L3, Saint-Martin L8/L9).
Particularité après “Opéra” ou une ouverture dans la voute du tunnel de la ligne 8 (la plus profonde) est surplombée dans un puits par deux viaducs croisés et superposés de la ligne 7 et de la ligne 3.
Les stations “Saint-Michel” et “Cité” de la ligne 4 auxquelles on accède par deux grands caissons cylindriques foncés dans les alluvions de la Seine.
Station “Bastille” de la ligne 1 dont l’interstation depuis “St-Paul” comporte la courbe et la contre-courbe la plus sérrée du réseau.
Station “Cluny” à trois voies, dont la voie centrale se prolonge jusqu’au saut de mouton de “Maubert-Mutualité” de ce qui deviendra le raccordement à la ligne 7.
La distinction entre les lignes “sur pneus” (1, 4, 6, 11, 14) et les lignes “fer” (2, 3, 5, 7, 8, 9, 10, 12, 13).
Bien évidemment les lignes à “conduite automatique” sans conducteur (pardon, machiniste) : 1, 4, 14.
Et beaucoup d’autres choses, mais trop nombreuses à citer ici.