Bonjour,
Je suis en train de finir la modélisation de ma gare cachée pilotée par Rocrail. Cette dernière comprend quatre voies des 370 cm de long, décomposée chacune en quatre sections de longueurs variables, de 50 cm à 155 cm.
Il faut pour ce faire cinq décepteurs par voie soit 20 au total, d’où au moins 2 S88 pour récupérer toutes ces informations.
Ayant déjà une dizaine de décodeurs Tams dans mes très vieilles locomotives, je me suis souvenu que Tams Elektronik possède des solutions de rétro actions bon marché.
Que pensez-vous des solutions que cette société propose?
Les S88-3 ou S88-4 connectés avec un cable RJ45.
La solution ZEUS
Note: Chaque détecteur est fabriqué au moyen d’une bande d’aluminium adhésive, ou de la solution Busch, solution décrite dans la rubrique “Technique”
Tams a longtemps fait dans le simple et robuste. C’est le cas pour les S88.
Les S88-3 sont l’équivalent des S88-AC et les S88-5 sont l’équivalent des S88-DC. Utilisation simple sans complication, compatible avec le câblage en RJ45 et la tension de 12V.
Le S88-4 permet de ne pas brancher les S88 en ligne mais en arbre. Cela peut être utile, mais nécessite la compréhension du système d’adressage.
Le système Zeus c’est la mise en œuvre du bus BiDiB.
Le module maître c’est l’interface PC (on ne passe donc plus via la centrale) qui offre 3 bus S88 et deux branchements sur le BiDIB.
Le bus BiDiB c’est pour le raccordement des décodeurs d’accessoires (comme cela on soulage la consommation de la centrale qui ne sert plus que pour les locos) et de détecteurs RailCom (qui permettent de lire l’adresse de la loco présente sur la zone de détection si elle est compatible. Märklin n’a jamais implémenté le RailCom dans ses décodeurs)
Bonjour Roland,
Si tu as la possibilité d’obtenir des composants classique que l’on trouve couramment chez bon nombre d’électronicien , tu peux choisir la solution ci dessous. C’est ce que j’ai fait et après 1 heure de travail, j’ai un S88 qui me revient à à peine 15€. le plus cher sur la carte sont les borniers de connexion !!!.
Bonjour,
Je remonte ce sujet pour une question qui est la suivante .
Un ami (possesseur de la CS3) a deux S88 Märklin et a maintenant besoin de 3 modules supplémentaires .
Comme il me reste plusieurs S88-3 de Tams, je lui ai proposé de les lui céder .
Peut on brancher les S88 de Tams à la suite des Märklin ? Car en regardant les branchements des Märklin je vois qu’ils sont alimentés ? et qu’il y a un fil sur la borne du T inversé ?
Or, autant que je m’en souvienne, sur mon réseau je n’ai rien fait de tel, juste relié les S88 à la CS2 au moyen de câbles RJ45 .
De plus, ayant fureté un peu dans les sujets des S88 sur le forum, je vois dans différentes interventions qu’il faut configurer les S88 dans la CS(2 ou 3), et la toujours je suis étonné, car je n’ai rien fait de tel, à part dans le Layout ou j’ai dessiné mes contacts, et tout cela fonctionne ?
Bon, il faut dire que j’ai fait cela il y a plus de dix ans en arrière et la je ne suis pas devant mon réseau .
D’autre part, je ne connais le réseau de mon ami que par le TCO sous RRTC que je lui ai dessiné, donc à distance .
Si vous pouvez m’éclairer au sujet des S88, configuration et surtout branchement avant de faire une connerie, je vous en serait très reconnaissant .
Merci et @+
à mon avis, on peut. Les modules s88 de Märklin utilisent - sans trop le crier - le standard s88-N comme les tams, il peut donc les connecter par les câbles de réseau.
Personnellement j’ai relié un T inversé, celui du premier module de la chaîne s88, aux rails pour éviter des soucis, tams le recommande. Mais je n’ai pas utilisé de CS3.
Ça m’étonne un peu, car le bus s88 fonctionne comme un escalier électrique dans une gare ou un grand magasin : en file indienne, il fournit les 1 et 0 et recommence par la séquence suivante quand il a terminé. Il faut donc bien savoir quand la série est terminée et commence la suivante… si la centrale le fait “sans plus”, ok, mais Rocrail par exemple demande d’indiquer le nombre de modules (par huitaines, un module de 16 compte donc pour deux) afin de ne pas se prendre les pieds dans le fil ininterrompu.