Saint Marc sur Line de Jean Marc

Mon Jean-marc,

En peu de mots:
“…Superbe…”
ça y est le turbo est mis…ça dépote…continue, nous allons pouvoir sortir tes modules dès 2016! :mrgreen:
A demain Mon Pax :smiley:

Bonsoir à Tous

ce soir quelques petits travaux sur le module nommé " le village"

le commencement du pont ferroviaire pour enjamber la rivière “la line” en sortie du tunnel et avant le PN.
quelques coups de scie sauteuse pour élargir le relief .

un positionnement à blanc de l’ensemble du pont qui lui aussi ne peut rester dans son jus d’origine.
ce pont est de PN SUD modélisme , droit , il devient un pont diagonale. les culées de pont sont en staturoc soit pierre de synthèse, le tablier en résine sera remplacé par un tablier en plasticar soit evergreen ,plus facile à réaliser que de modifier l’ancien en résine. de plus j’ai fais le choix de laisser une semelle de contreplaqué sous la voie par sécurité afin d’éviter la casse soit par une torsion ou vibration , n’oublions pas que c’est un réseau modulaire et transportable .
le platelage du tablier est aussi en résine et remplacé par un platelage en laiton de ABE pour la réalisation du conducteur central ( même modification que le pont tournant de roco, voir pages précédentes)
la couleur de la pierre est beaucoup trop jaune , certainement un soir de fatigue …

la première culée de pont a été posée contre le remblai tout frais et collant , toujours en polystyrène et papier journal afin de recevoir l’enduit Map .
cette culée a reçu un petit ponçage ( toujours trop jaune) au stylo à fibre de verre puis un jus noir et enfin un léger brossage à sec en jaune.
en haut et gauche de la photo on constate que les modules picots du passage à niveau sont en place .

c’est tout pour ce soir

bon pti train à Tous

Jean Marc :sleep:

Bonsoir,

Magnifique projet. Votre réalisation est très pro :open_mouth:

J’ai hâte de suivre l’avancée du projet

Bonsoir à Tous

quelques nouvelles à dose homéopathique :wink:
ce soir petite avancée au niveau du pont et du passage a niveau par la pose d’enduit (MAP) sur le papier recouvrant le polystyrène.
l’enduit est teinté à la gouache marron pour bien sur imaginer la terre , évité les micros trous blanc lors du perçage pour la pose de différents végétaux ou autres…
une première couche est déjà déposée pour égaliser les différences entres les hauteurs de polystyrènes.
après séchage une seconde pour uniformiser le relief puis une troisième couche sera déposée pour éventuellement corriger et lisser le relief avant saupoudrage .
l’enduit est déposé avec une spatule basique et un couteau pour peinture à l’huile ( toutes petite truelle d’1 cm de large sur 2cm de long) puis lisseé avec une éponge mouillée , pour moi mousse de protection puisque aspérités très fines .
la face avant du module avait été modifiée par un rajout de contreplaqué pour positionner la route , reste le raccord de patte à bois à poncer , une petite niche à été confectionnée pour recevoir un plexiglas afin de protéger les barrières des petits doigts des petits enfants :albino:
je n’aime pas trop les barrières ou chaines de protections devant les réseaux mais bien évidement je comprends et respect ces dispositions .

enfin rien de compliqué dans ce travail , mais j’ai pris pour habitude de noter dans un petit cahier toutes les formules de mes sauces et mon épouse exaspérée par mes incursions dans la cuisine à fini par m’acheter un pot graduer et bien sur changer le sien :smiley:

bon maintenant il faut commencer les préparatifs pour RAILEXPO , départ demain pour l’installation avec caramorque déjà trop petite :wink:


vous pourrez rencontrer Michel et Patrick :joker: s’afférents sur leurs modules , moi même en atelier
n’hésitez pas à vous faire connaitre pour partager vos impressions et vos expériences .

bon pti trains à Tous
Jean Marc

Bonsoir à Tous

toutes petites avancées du pont ferroviaire malgré RAILEXPO par la construction des tabliers de pont .
construits en Evergreen avec les profilés disponibles dans mes stocks.

la fabrication des tabliers de pont permet de positionner au plus juste la 2éme culée de pont afin de la collée

le tablier n’est pas à la bonne hauteur pour l’instant, il cachera bien évidement la semelle de liège et le plateau en contreplaqué .
il sera posé sur les murets de chaque cotés qui sont eux aussi en cours de modification , en diagonale .
le dessus du tablier sera recouvert par le platelage en laiton .

voila pour ce soir

bon pti train

Jean Marc :sleep: :sleep:

Bonjour a tous,
Bravo Jean Marc , c’est vraiment super; J’adore le chemin pietonnier
Sincèrement Mark

Salut Jean Marc , c’est super ce réseau en construction je vais suivre sa de près :exclamation:
Bonne chance pour la suite :wink:

Sacha amitié Suisse

Bonsoir à Tous

un nouvel épisode avec quelques photos pour suivre pas à pas la construction du pont

Sur cette photo les tabliers (1 pour la photo )sont mis en peinture. l’evergreen n’est pas toujours simple à peindre, pour ma part afin d’éviter un ponçage laborieux surtout dans les profilés type IPN , je passe une couche de vernis mat type Tamiya comme apprêt pour l’accroche de la peinture après un dégraissage dans le bac à ultra-sons avec liquide vaisselle.
ensuite plusieurs couches fines de peinture noire en bombe puis un jus de rouille au pinceau et pour finir une couche de vernis mat.
sur la même photo les deux trottoirs en laiton sont peints sur l’envers avec un rails pour pochoir afin d’évider les parties entre les traverses . la première phase est de percer , puis d’ouvrir le reste du trou avec une pince coupante et de finir l’encoche à la lime.

le platelage mis en place doit se positionner à fleur des traverses , avec un bon bain d’acide à suivre pour le vieillissement

le résultat que je souhaite obtenir devrait être plus ou moins proche de la plateforme métallique de ce pont. Photo de B.CANET, pont métallique au dessus de la creuse à la sortie de la gare d’Aubusson éditée dans un magnifique livre de Henri SIMONI " ponts et viaducs " en modélisme par PRESSE et EDITION FERROVIARE , un incontournable .


bon c’est tout pour ce soir
les voyages recommencent , patience pour la suite.

bon pti train

Jean Marc :sleep:

Woaw, j’adore votre pont! Quelle précision et quel réalisme! Bravo :wink:

Bonjour à Tous

et BONNE ANNEE

quelques petits travaux au niveau du pont entre les fêtes et les multiples voyages puis un nouveau départ dimanche alors peut de temps pour le plaisir.

Les murets et la 2 éme culée de pont ont étés débarrassées de leurs vilaines teinte jaune .
la culée de pont à droite est mise en place pour le collage , le relief en polystyrène est posé puis recouvert de l’enduit teinté jusqu’au tunnel .
les murets sont aussi mis en place par collage à la néoprène contre le contre-plaqué en dessous du chemin de roulement .
après séchage l’espace libre entre le dessous des murets et les talus déjà construits est comblé avec l’enduit teinté et lissé pour épousé les talus.
le tablier est mis place pour contrôle et photos ,reste un petit nettoyage de l’enduit sur les pierres pour quelques retouches de la patine des culées et des murets .

espérons que l’eau coulera bientôt sous le pont .

quelques photos parues dans la revue RMF 606 de Janvier 2016 page 18 sur notre présence à RAILEXPO , merci à RMF.


bon pti train à Tous

Jean Marc

Hello.
C’est de toute beauté votre réalisation !
Quelle minutie !!!
Bonne continuation et bonne année 2016 !
Salutations.
Stéphane.

Bonjour à Tous

Apres trois mois de silence , je reviens suite à une période difficile et chargée de mon métier.
Aujourd’hui je vous présente des modifications d’aiguillages.
J’ai fait le choix d’utiliser les aiguillages Peco dont la réputation n’est plus à faire dans le monde du 2 rails et que j’utilise en N’, en Zero et pour différentes raisons :study: :
Leurs qualités esthétiques et techniques et qui permettent de faire rouler tout type de matériels contrairement aux aiguilles k de Maklin ou le matériel transformé ou adapté en 3 rails par d’autres firmes déraille de manière aléatoire.
Le choix au catalogue Peco des organes de voie est plus important et d’une géométrie différente.
La possibilité de monter des moteurs lents Tortoise sans modifications.
La volonté d’utiliser des attelages Kadee , mais dans les boitiers aux normes NEM cet attelage ne passe pas les aiguilles k, les picots trop hauts sont percutés par les queues d’attelages, sujet déjà évoqué par mes soins sur le forum.
Mon cahier des charges étant exigeant le choix des organes de voie Peco s’imposent et l’adaptation en 3 rails reste raisonnable.
Les aiguillages de type k ne présentent pas toujours les gages de qualité de montage :no: ( voir cercle rouge dans la photo ci-dessous), les profilés de rails reste néanmoins difficile à souder mais pas impossible, bref la modification de ces organes de voie reste trop complexe et ne résout pas le passage de tout type de matériel.

ALAIN B présent sur le forum qui nous gratifie souvent de merveilleuses vidéos lors de certaine expositions (occasionnellement attaché de presse de notre groupe « les marklinistes IDF :wink: ) a déjà réalisé un travail similaire édité sur le forum et dans Loco Revue du mois de février 2012.
Merci ALAIN encore une fois pour l’envoi de tes plans qui me sont d’une grande utilité.

pour commencer la construction du support des plots , réalisé dans des plaques de bakélite recouverte d’une pellicule du cuivre donc conducteur et qui serviront à souder les plots en laiton de diamètre de 1mm.
ces plaques m’on été donné par mon pax PATRICK :joker: il y a longtemps et pour les plus jeunes la bakélite a été Développée entre 1907 et 1909 par le chimiste belge Leo Baekeland.
Ce fut le premier plastique fait de polymères synthétiques et de Benzène sous solvants.On l’a utilisée dans la première moitié du XXe siècle ce qui en fait maintenant un matériaux rare et recherché par des collectionneurs .
après avoir reproduit sur papier les différents organes de voie avec les outils à dessin habituel plus pistolet et perroquet , des photocopies sont faites pour servir de gabarit de coupe et de perçage.
le support est donc découpé avec une scie à chantourner.

puis le support est percé avec une perceuse à colonne pour la perpendicularité .
mon truc à moi , non ce n’est pas un truc en plume :smiley: , j’ai recycler ma première mini perceuse de bas de gamme retrouvée dans les tiroirs afin de récupérer l’axe principal et son mandrin.
ce dernier est installé avec un foret d’1mm dans le mandrin de la perceuse a colonne et le tour est jouer pour une petite réduction.

J’avoue que centrer le perçage entre les 2 rails et entre les traverses n’est pas toujours un exemple de précision (bakélite de droite sur la photo ci-dessous), au début on tâtonne un peu puis on commence à prendre des repères et la régularité devient meilleur (bakélite au centre de la photo). Maintenant je les perce empilés par trois, toujours visées sur l’aiguillage et positionne le foret en buté sur la traverse (aiguillage à gauche de la photo)

le schéma de l’électrification est simple. comme en 2 rails les aiguilles sont alimentées via les micros contacts des moteurs lents type Tortoise , fulgurex ou lemaco selon l’ouverture ou fermeture de l’aiguillage .dans mon cas les plots ne peuvent dépasser la hauteur du rails afin que la queue d’attelage Kadee puisse passer, donc l’aiguille directe ou dévier servira de contacteur central selon sont positionnement pour le frotteur ou ski des machines .
aucun problème pour un aiguillage en pointe , par contre impossible pour un aiguillage en talon, d’être franchit. l’aiguille est talonnable par la souplesse de la corde a piano qui relie la traverse mobile au moteur mais le cour-circuit :cherry: est inévitable.
pour pallier à ce problème :scratch: il faut créer une zone d’arrêt en amont de l’aiguillage sur chaque voies , zone gérée par un micro contact sur le moteur et qui fera l’électrification de la zone selon le positionnement de l’aiguillage . une machine pourra donc franchir l’aiguillage que si ce dernier est ouvert à son passage, auquel cas l’aiguilleur devra faire son boulot.
il est aussi possible de mettre un signal lumineux ou à cocarde pour rendre le franchissement ou l’arrêt de l’aiguillage en talon plausible.

Les machines se comportent normalement sans à-coup, ni accroche notamment le koff de Marklin petit loco tracteur, léger, 2 essieux donc captage difficile, sans élan, millimètre par millimètre avec un ralenti exceptionnel passe sans encombre l’aiguillage avec brio, alléluia.


l’essai en image

c’est tout pour aujourd’hui
bon pti train àTous

Jean Marc

Super boulot Jean marc,
belle précision
Sincèrement Mark

Bonjour Jean-Marc,

la question que je me pose : et si on n’alimente pas du tout les deux rails entre le cœur et les languettes ? Le contact des roues reste-t-il suffisant ? Ça faciliterait quand même le câblage si déjà la création du conducteur central n’est pas aisée (mais pour PECO il y a des picots tout faits ?)
Sinon : beau travail. J’en suis des travaux semblables dans le forum allemand Stummiforum dont celui que j’ai mis en lien dans le fil sur le choix entre 2r et 3r. Ils ont des techniques différentes ; ce qu’ils disent unanimement c’est qu’il ne faut pas trop se faire suer à aligner les picots tant que ça reste sous le frotteur. Et même, en virage, tous les picots ne touchent pas le frotteur, même sur les rails Märklin …

Bonsoir à Tous

Bonsoir Wolfram

Merci de ton intervention très pertinente, mais malheureusement les interventions comme les tiennes sont rares, à croire que des fois toutes les modifications que je propose et mon approche du trois rails avec mon expérience du 2 rails seraient trop compliquées ou inintéressantes, mais mon Ami PATRICK :joker: insiste sur le devoir de communication .
Je devrais peut être limiter les commentaires de mes photos afin de provoquer un peu plus d’interrogations sur mes travaux, mais rien n’est moins sûr ?!
Ceci étant dit revenons a mon mouton :smiley: .

L’aiguillage de gauche correspond au montage électrique actuel qui est présenté dans mon intervention précédente.
Dans tout les cas les contres aiguilles seront toujours alimentées ( en jaune plus visible sur la photo pour le fil marron ) par les éclisses en liaison directe avec le reste du réseau.
Les aiguilles directes et déviées alimentées par contact filaire seront automatiquement alimentées selon le sens de direction par application à la contre aiguille.
Le rouge représente bien sur l’alimentation principale et le vert la coupure d’isolation.

Si je suis maintenant ton raisonnement :grad: l’aiguillage de droite, de ne pas alimenter les aiguilles directes et déviées par contact filaire économiseraient 2 micros contacts et un petit peu de travail de soudures en moins.
L’aiguille déviée est toujours alimentée au retour de masse par application de l’aiguille mobile sur la contre aiguille.
L’aiguille directe maintenant est non alimentée à l’alimentation principale mais en rajoutant les picots manquants l’aiguille serait auto-alimentée par le passage du frotteur :bulb: puisque comme déjà expliqué, les picots ne peuvent dépasser le champignon du rail.
Et si je complète ton résonnement, il suffirait de créer 2 coupures à la base des aiguilles directe et déviée ( en vert ) pour rendre complètement ces 2 aiguilles non électrifiées sauf par contact direct avec le frotteur et rendrait donc l’aiguillage tolonnâble en voie directe ( flèche bleu ) sans risque de court-circuit .
Tout ceci me parait cohérent et réalisable et je vais sans aucun doute réaliser et tester ce montage, car le plus important de ce montage c’est le talonnage .
Un réseau d’exposition, certainement piloté par mes petits copains markliniste dans l’âme et le sang :friend: habitués des aiguillages talonnâbles, serait un véritable handicap pour eux, que de penser à positionner l’aiguille dans le sens de marche.
Je te remercie une nouvelle fois pour ton intervention qui apporte de l’eau à mon moulin afin de poursuivre ma réflexion, but de mes écrit qui restent souvent sans réactions :astonished: .

Pour les bandes de plots Peco je les trouve complètement disgracieuses et préfère continuer les plots en rond de laiton, noircis avec un acide de cyanure ( Parant-Michaux ) seront quasi invisibles au centre du ballast .
Travail fastidieux mais hier soir devant un film, j’ai réalise 1m50 de picots sur 3 longueurs différentes.
Coupés à la pince puis insérés dans une chute de bakélite percée à 1mm, puis je lime à plat sur la plaque pour assurer la perpendicularité.
la barre de rond laiton est poncée délicatement afin de ne pas la tordre avec du papier de verre pour créer des abrasions à la base du plot pour une meilleure soudure, et comme toujours étain et flux Bergeon.


merci aussi à Mark pour encouragements
bon pti train à Tous

Jean Marc

Bonjour Jean-Marc,

là c’est toi qui me surprends par la rapidité de réaction, en plus avec des illustrations à la clé. Nous nous sommes parfaitement compris.

Je n’ai peut-être pas bien regardé : comment alimentes-tu les picots ? Parce que des picots dans le bois… :tongue: Il y a un réseau sur Stummiforum, au nom romantique “Anlage 8”, il a mis une bande de cuivre sous les traverses, et il plante ses clous dans cette bande. Ça suffit pour le contact. En même temps, tu ponces soigneusement chaque picot, pas lui, et le bruit du frotteur est strident par moment.

J’admire ton travail soigneux. La confection de rails n’est probablement pas à l’intérêt de tout le monde, je suscite toujours des réactions surprises quand je dis ne pas apprécier l’esthétique de la voie K et de ses aiguillages. La dernière fois j’avais montré le contre-exemple avec le réseau “Mein Rottweil”, la prochaine fois je renverraivers Saint-Marc. :wink:
Le jour que j’aurai la place et le temps pour construire un réseau à endroit fixe ce sera en voie 2rails picotée. Pour l’instant c’est la raison qui prime, le peu de place dont je dispose ne me permet de toute façon pas de beaux aiguillages.

Bonjour à Tous
Bonjour Wolfram

Voici donc la 2 mouture des modifications d’un aiguillage Peco .
La dernière solution technique que nous avons évoqué tout les deux est donc la bonne :bulb: ,il est donc impératif de faire une coupure sur chaque aiguille ( déviée et directe ) pour obtenir enfin un aiguillage talonnâble mais pas sans risque .
L’aiguillage à été monté à blanc et le fonctionnement est parfait , mais il n’y aura pas de vidéo ( plus de 30 minutes de téléchargement , 150 vues au moins sur le sujet dans le forum et 20 sur you tube , drôle de ratio ) comme tu là dit peut être que la modification des rails n’intéresse pas trop de monde et pourtant la voie est l’allié parfait ou l’ennemi juré du modéliste ferroviaire selon le cas .

Maintenant la cuisine en détail:

les picots sont soudés sur la plaque de bakélite cote cuivre vers la voie et non pas cuivre contre la table de roulement ( 1ere mouture) plus facile à régler avec pied a coulisse et jeux de cale automobile pour les picots que j’appellerai de base , les plus grands ( Qu 10 ) contre les aiguilles et les plus bas ( 4 ) hauteur voie Marklin .
Les autres progressifs sont enfilés à la file indienne puis soudés réglé avec un petit réglet ou autre outils du point le plus bas au point le plus haut et le tout en trois phases .
L’utilisation d’un morceau de polystyrène extrudé permet de maintenir un peu plus le picot par l’excédant en dessous et seront arasés puis polis au ras de la bakélite après toutes les soudures .
Attention le polystyrène expansé fait remonté les picots vers le haut :no:

maintenant les choses se compliquent car si on ne réfléchit pas tout comme moi , on fait des bêtises , vitesse et précipitation … :no: :cherry:
malgré notre réflexion commune j’ai décidé de garder un pré-câblage sur les aiguilles, les zones de protections et d’arrêts shuntées avant le talonnage car pour l’essai tout fonctionne bien , mais après la pose , le ballastage et un avenir incertain je préfère avoir une solution de secours et ne pas re-démonter.
Afin de prévenir d’un court circuit dans ce futur incertain préparer un grattage du cuivre et pourquoi pas un petit adhésif en plus entre les deux .
ne pas oublier la lumière sous la traverse mobile pour son déplacement commandée par le moteur lent via la corde a piano .
Retirer sous la traverse mobile le ressort de rappel qui aurait pour conséquence en le gardant de ne pas avoir le déplacement lent souhaité des aiguilles mobiles et bien évidement de remonter la contre plaque de fermeture à l’endroit , pas comme moi photo actuelle :blush: :blush:

une troisième mouture verrat je jour demain tirant les conclusions qui s’imposent de mes erreurs et de ma précipitation par le manque d’observation.
Les 2 coupures faites méritent une attention toute particulière car sur ces aiguillages Peco de 22cm longueur des grandes K de marklin ,la coupe a faire pour l’isolation complète et sure est trop proche de l’aiguille mobile ( 1 cm )et le maintient est maintenant fragile .
De plus la coupe avec la disqueuse trop proche de la contre aiguille entraîne quelques dégradations de cette dernière , mauvais angle un boulot de M… :affraid:

Le démontage complet des aiguilles mobiles , dévies et directes prends moins de 10 minutes pour un travail soigné et digne de ce nom .
La base de l’aiguille déviée ou direct après un coupe franche et propre devra dans le court du remontage être ré-assemblée avec sa base par une éclisse isolante pour un bon maintient sur les traverses.
Le travail sur les aiguillages long de Peco de 26 cm aura le même traitement avec un amorce de l’aiguille déviée ou directe un peu plus longue .

maintenant une réparation s’impose de l’aiguillage réalisé par le changement ou rajout de profilé Peco en stock.
les grands aiguillages de 26 cm sont implantés sur les voies principales et les 22 cm dans les voies du dépôt

bon pti train à Tous

Jean Marc

bonsoir à Tous

voila :exclamation: les coupures d’isolation sont faites , puis les aiguilles mobiles , directe et déviée sont remontées complètement et dans le bon sens sur un aiguillage long .
Les éclisses isolantes sont réduites de 25% dans la longueur pour cause de place , les coussinets sont araser sur la traverse puis, elle même légèrement diminuer de hauteur afin de pouvoir passer l’éclisse.
Maintenant le maintien est parfait donc la dernière contrainte est réglée , y a plus qu’a :study:


c’est tout pour aujourd’hui
prochain épisode , no le sais .

BONNE NUIT :sleep: :sleep:

Jean Marc

Bonjour Jean-Marc.
Sacré boulot réalisé là !
Si j’ai bien suivi, les lames d’aiguille assurent le retour du courant pas le simple contact des rails “extérieurs” de l’aiguillage.

bonjour à Tous
Bonjour Francis

oui c’est presque ça , en version ligth :wink: donc pour résumer l’aiguillage présenté est en position dévié .
A : connexion permanente au retour de masse
A/2 : connexion du retour de masse à l’aiguille mobile déviée par application sur la contre aiguille directe jusqu’à l’éclisse C/2
A/3 : aiguille mobile directe actuellement au neutre .
B : Alimentation principale et permanente .
B/2 : Alimentation de l’aiguille directe par contact du ski de la machine entre l’éclisse C/2 et la coupure d’origine C/1.
C/1 coupure d’origine au cœur d’aiguille .
C/2 coupures réalisées sur les aiguilles directe ou déviée avec rajout d’une éclisse isolante pour rendre l’aiguillage talonnâble sans court-circuit .
D: Sens de marche vers l’aiguille talonnâble flèche bleu , l’aiguille déviée est traversée par le ski donc auto- alimentation a l’alimentation principale mais l’aiguille mobile est actuellement appliquée sur la contre aiguille , court circuit évité par l’éclisse C/2.

Je pense avoir fait le tour .
J’ai oublié quelque chose :question: peut être les picots sur cette photo .

Le moteur TORTOISE a mouvement lent . pas de claquement d’aiguilles , un déplacement plus réaliste et pas de problème sur les fin de course des moteurs Marklin .


Bon Dimanche à Tous et bon pti train

Jean Marc