Bonjour Julie,
Concernant la procédure de reconnaissance MFX dont tu parles, j’ai testé une façon de faire plus simple et qui fonctionne bien chez moi. Je pense donc qu’il devrait en être de même pour toi.
Je précise qu’à aucun moment je n’ai besoin de commuter Rocrail en “Maître”.
La locomotive peut-être posée sur les rails, mais il faut que la MS2 soit en position “STOP”.
1° - Je supprime la locomotive de la liste sur la MS2.
2° - J’alimente les rails en désactivant le “STOP”
3° - Le processus de découverte MFX s’engage. Il y a des petits temps de latence, c’est assez long mais ça tu connais.
Au passage, comme je trace les échanges sur le bus CAN, je suis impréssionné par le nombre de messages. En fait, il me semble que la MS2 scan sur des plages assez larges d’adresses possible, mais c’est un autre sujet.
4° - Quand le processus de découverte est terminé sur la MS2, il faut peu de temps pour que la loco apparaisse dans la liste Rocrail avec le nom long de la base de données Marklin. Mais c’est à peu près la seule info. L’adresse est une Loc-ID (7 par exemple chez moi) qui résulte de l’incrémentation de la liste, la 7 après la 6 qui elle même vient après etc…
Ne surtout pas oublier d’enregistrer l’objet Loccomotive créé en l’associant à la centrale, sinon, à la fermeture de RR, il diparaitra et la procédure à reprendre.
Je précise que j’utilise la passerelle CAN ↔ TCP dont je parle en ce moment mais elle ne fait rien de plus ou rien de moins que CC-Schnitte.
Au plaisir d’échanger sur ce sujet qui me passionne de l’automatisation des échanges CAN.
PS : Si besoin de plus d’infos sur la loco dans RR, cela pourra être fait par le programme de Railuino que je viens de finir de mettre à jour, mais aussi déjà le programme de MFX bin dont j’ai parlé sur ce fil est ailleurs. Du coup, tu as toutes les infos, même UID !!!
Christophe