Ce n’est pas une péniche, c’est plus qu’un hovercraft, on appelle ça un écranoplane
Connais-tu la théorie scientifique de la plus grande fluidité dans l’air des roues de couleur rouge ?
Si j’en crois Horst Obermayer, 1200 mm, ce qui est effectivement grand. Vitesse de pointe à 140 Km/h. Vitesse de croisière, sur le Rhin : 120 Km/h
C’est vrai, mais il parle des roues porteuses, les roues motrices sont allées jusqu’à 2300 mm pour un proto caréné, la 18201 (Type 18-2).
Si on ne s’en tient qu’aux S3/6 bavaroises, on peut retenir 4 séries (Toujours de source Hobermayer):
Merci, Maître, pour toutes ces précisions.
C’est de vachement grandes roues. On ne s’en rend pas compte si on ne s’est jamais trouvé à côté d’une de ces “monstres” du rail.
Pour Pascal: comme toi, je préfère la livrée “bleu et crème”, mais même en violet, MARKLIN nous a fait là de superbes voitures.
Pourquoi dans les anciennes voitures Rheingold ganz metal de Marklin, y avait pas de fourgon sans les feux de fin de convoi. On ne pouvait pas mettre ce fourgon directement derriere la loco. J’ai toujours pensé que derriere la loco y avait toujours un fourgon. Jamais directement une voiture, a cause des escarbilles.
Quand les caisses des voitures étaient encore en bois, ou toujours en bois mais recouvertes de tôles fines (métallisation), elles étaient extrêmement fragiles en cas de collision.
Les chassis métalliques se désolidarisaient des caisses et pulvérisaient celles-ci. Il y avait alors de nombreuses victimes, tuées ou blessées par les éclats de bois.
Il était donc de tradition de placer un ou plusieurs fourgons en queue et aussi en tête de convoi pour faire office d’“amortisseur”.