Oui Vincent, mais je relie le fil à un endroit du treillis qui répartit parfaitement le courant sous la surface à traiter.
Bien-sûr, peu de gens utilisent ce type de construction sauf ceux qui se servent de treillis de moustiquaire et de bandes plâtrées où ce type de connexion serait également applicable.
Par ailleurs, dans les zones sans treillis métallique, je vais essayer de le faire avec une petite plaque d’alu ou morceau de treillis placé provisoirement en-dessous. Il semble évident que la répartition du courant soit bien meilleure que transmise simplement par l’humidité de la colle.
Si on plante le fil, les fibres se mettront probablement plus à la verticale - là, le champ vient d’être balayé par un vent fort, et les herbes sont couchés. À essayer…
…Aussi probablement parce que j’ai balayé la zone assez fermement avec un pinceau pour tester l’adhérence de la colle.
Personnellement je trouve cet aspect plutôt satisfaisant… un peu comme dans la nature.
Perso, je trouve que ces différentes teintes dues à l’éclairage, donnent un rendu du plus bel effet… Dans “le réel”, en fonction de l’heure, certains paysages sont ombragés de cette manière : magnifique !!!
Pierre, c’est magnifique. A part ce que tu me donne à faire, tu te débrouilles très bien!
Au lieu de teinter la colle (qui reste finalement assez transparente) beaucoup de présentations dans les revues indiquent de peindre en vert foncé (prairie) ou en brun (zone boisée) la base avant d’appliquer l’herbe.
Merci Sylvain pour l’astuce.
Pour ce que je te donnes à faire, c’est avant-tout pour profiter de ton savoir…
Il est vrai que j’ai toujours été un peu un touche-à-tout.
Béton, bois, carrosserie automobile, électricité, informatique, garnissage et j’en passe.
Mais dans certains nouveaux domaines, le temps d’adaptation commence à manquer.
Autant déléguer ce que l’on ne maîtrise pas ou pas encore. C’est plus sûr.
Merci aussi Didier pour ton commentaire.
Dans l’atelier sans fenêtres où je construis ce réseau, les éclairages sont du type “chaud” ou “froid”.
C’est-là que réside toute la difficulté à parvenir à des teintes réalistes quand on ne dispose pas du tout de la lumière du jour.
Une magnifique BR85, machine qui fut apte à monter les rampes de 57,14 ‰ des Schwarzwaldbahn(en) en Forêt-Noire.
Conçue en 31-32 par Henschel à Kassel à 10 exemplaires, elle a carrément pu remplacer les machines précédentes à crémaillères sur ces lignes à fortes pentes.
Märklin Mfx sans son, elle passe super-bien les courbes avec son châssis articulé.
Elle devrait se plaire à Reventhal à faire passer les wagons des brasseries Bavaroises par le col.
Que ce soit la KB_St Mallet GT 2x4/4 (Br96) ou cette BR85, ces locos-tender sont somptueuses.
Classe, puissance et une esthétique remarquable en font des incontournables objets de collection.
NB:* mes excuses pour ces mauvaises i-photos… Rien d’autre sous le coude.*
Bonjour Pierre,
Entièrement d’accord avec les copains.
j’adooore cette machine. Des que le budget me le permettra cela ma prochaine acquisition
Superbe vue de la hauteur
Sincèrement Mark
Bonsoir,
Aujourd’hui, une composition de rêve a traversé Reventhal.
Une toute belle Borsig BR58 et son convoi de marchandises est venue y faire ses premiers tours de roues.
Exercice parfaitement réussi sur les rampes sinueuses du Reventhal-Pass…
Bonsoir Jérôme,
Ce fourgon fait partie d’un set “époque II” Märklin 46091 contenant cinq wagons de marchandises.
C’en est le wagon de queue avec frotteur et feux de fin de convoi.
Ici vivait autrefois Bernd l’ermite…
Solitaire comme il se doit, il était accompagné de trois chèvres “Doris”, “Ruth” et “Evelyne”…
La légende raconte qu’ ''Evelyne", la plus gentille des trois montait chaque jour de sa caverne en bas vers la grotte de Bernd pour se faire traire et lui apportait ainsi un peu de lait.
Et puis un jour, les ingénieurs creusèrent la montagne juste en-dessous pour y faire passer le chemin de fer, créant ainsi une nouvelle ligne vers le col.
Le vacarme des trains étant par nature peu compatible avec la méditation, l’ermite disparut un jour… on ne l’a jamais revu.
Il ne nous reste que des vestiges de sa grotte et de la caverne qui servait d’étable à ses trois chèvres.
Les mauvaises langues prétendent que son esprit rôde toujours à Reventhal, au point que certains anciens mécaniciens se font un signe de croix avant de pénétrer dans les sombres tunnels de Reventhal.
Pourtant Bernd n’a jamais fait de mal à personne, bien au contraire.