ça me rappelle mon seul et unique roman, que j’ai lu en l’écrivant et donc écrit sans le moindre plan - à la fin, les personnages m’ont tellement hanté que je passais des heures à lire ce que mes doigts écrivaient, pour savoir comment ça allait se terminer, j’ai pris une décision douloureuse, je les ai tous projetés d’un pont. Pas en train, en voiture, mais quand même.
Qu’entendra-t-on maintenant d’Aywaille, qui certainement tient son nom d’un ancien village juif puisque aïe vaïe (écriture phonétique) en yiddish veut dire “ô malheur”…
[justify][font=Verdana]Bonsoir,[/font][/justify]
[justify][font=Verdana]Le mot «Aywaille» tire son origine très probablement du wallon : «êye» signifiant eau et «wayî» signifiant passer à gué attendu qu’autrefois, l’on y traversait l’Amblève à gué. Sa traduction romane «aqualia» donna le nom de ses habitants : les aqualiens.[/font][/justify]
[justify]Bien à vous.[/justify]
[justify]Jean-P.[/justify]
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Le nouveau Chef de Gare, Isidore Belcaurne, siphonne subrepticement un “p’tit bidon pour la journée” de l’excellent vin de Moselle contenu dans le wagon citerne de la firme Zeller Gmellin…
A l’arrière plan, sur la Heid des Gattes, nous pouvons distinguer une première couverture neigeuse due au “général hiver” …
Dès que la centrale nucléaire sera en activité sur ce site, nous pourrons y trouver des palmiers, été comme hiver, et la fameuse Joubarbe d’Aywaille aura des fleurs “clignotantes” au grand dam des écologistes du coin…
C’était des nouvelles régionales communiquées par " Le vieux zombie du val d’Amblève" alias Papounet1946.
Un excellent dimanche à tous. (je voulais préparer une “fin du monde ferroviaire” pour le 21 décembre avant minuit, mais madame Josy n’est pas d’accord !!!).
"No di dju d’no di dju, je viens de m’envoyer un quart de litre de mazout derrière la cravate !"
s’écrie notre indélicat Chef de Gare tout en régurgitant le nauséabond breuvage sur la splendide BR 18 en partance pour le Signal de Botrange et ses pistes de ski…
Cela ne serait il pas meilleur soit une bonne bière de chez nous ou un bon vin rouge ??? pour le nouveau chaf de gare
Aimitiés
Serge
Vu son état de délabrement, plus rien ne peut-être meilleur pour lui, monsieur Serge !
D’après son gastro-entérologue, même l’eau bénite de Notre-Dame de Lourdes pourrait lui être fatale…C’est tout dire…
Bonne nuit, bonne soirée ou bonne journée, ici il est 03 h. du matin et je vais tenter une nouvelle fois de dormir… (la vieillesse est un long naufrage).
Un naufrage n’est jamais long, au contraire c’est très rapide ! C’est l’après naufrage qui est long, quand tu es sur ton île (Si tu as eu la chance d’en trouver une) et quand ensuite tu attends des gens qui ne viennent jamais …
Mais comme le disait le prophète, je lève mes yeux vers l’Eternel d’où me vient le secours
Fernande, l’épouse d’Isidore le Chef de Gare, annonce à celui-ci son départ imminent et définitif pour le Pic de Bugarach… - "Raoul (le préposé à la billetterie)* m’accompagnera, je t’ai laissé tes affaires, j’ai lavé la vaisselle et fait ton lit ".***
- Chef, je suis désolé…Nous vivrons en “tout bien, tout honneur” …Sous la tente, nous ferons "sac de couchage séparé" a ajouté le fourbe et libidineux Raoul !
- Cela m’est bien égal, a répliqué l’infortuné époux, **pour autant que l’on n’aie pas touché a ma cave à vin ! **
**- Hahahaha ! En tous cas, le 21 décembre au soir vous ne risquez pas d’avoir soif Chef, , il vous suffira d’ouvrir la bouche et de regarder en direction du sommet de la Heid des Gattes…La vague viendra de là , ** a conclu le cynique fonctionnaire " briseur de ménage" !!!
Un reportage de “Je suis partout” alias Papounet 1946.
Bonsoir les amis, "Ville d’Aywaille, ville de malheur, arrivé à midi, c…ufié à une heure"… Telle pourrait être la devise de cette petite cité.
Une première technologique dans la cité aqualienne !
Trois étudiants de l’Université Ferroviaire de Shangaï ont (presque) réussi à électrifier une locomotive à vapeur.
La décortication de la vénérable machine a inspiré une réflexion douteuse à l’un des stagiaires chinois : "Elle est à poil et à vapeur" s’est écrié le jeune dévergondé !!!
Nous constatons, avec tristesse, que la jeunesse asiatique n’est pas indifférente aux allusions graveleuses.
