Petite question gare fantôme

Belle source d’inspiration que ce lien, et apparemment accessible à tous

Marc

C’est le réseau “Heidelberg” de chez Noch. Différents modules peuvent être combinés. Et les dimensions auraient sans doute pu convenir. Mais je ne crois pas que Noch le commercialise encore…

En PJ, la notice
Heidelberg.pdf (375,6 Ko)

Bonjour,

Cette nuit j’ai rêvé de fantômes, ma nuit fût cauchemardesque.
Voici un plan que j’ai trouvé qui correspondrait avec la planche. Cette idée de réseau est pour mon ami qui m’entretient mes trains. Pour ça il n’a aucune connaissance, et il n’a que ça comme place. Une simple planche de 285 x 120 et c’est tout.
Il peut faire bien entendu une gare cachée en rajoutant une planche dessous.
Philippe



Pour mon prochain réseau quand notre maison sera une fois finie, je m’inspirerais du modèle que j’ai présenté au début de ce fil. J’auarais plus de 5 mètres de longueur, et en profondeur je veux rester sur la taille de mes modules 60 cm. Je ne veux pas faire de l’escalade pour bricoler sur le réseau. J’avais lu y a bien longtemps dans un livre très intéressant au sujet de réseaux en HO, qu’une régle primordiale était que la profondeur ne soit pas plus longue que son bras. De cette manière on peut accéder partout sans faire d’acrobaties.
Philippe

Beau circuit, c’est sur base de cette photo sur le site Noch que j’avais fait un ou deux plans voies Z et C postée plus haut. Je n’avais pas trouvé le plan qui est paru dans un livre et j’avais donc fait une autre interprétation de la gare cachée.

Je te suggère de ne pas superposer 2 planches car tu devras pouvoir accéder à la gare cachée facilement, c’est toujours là que les trains déraillent. (Loi de Murphy).

Tu peux facilement faire un cadre comme celui-ci

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et placer les voies sur des “semelles” découpées en fonction du plan dans ta planche, comme ci-dessous

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Cette technique te laisse plus de possibilités pour construire le décor et surtout d’accéder à la gare cachée par en dessous du réseau si besoin.

Bonne construction, je suis impatient de voir la réalisation

Marc

Marc,

Effectivement, avec une 2ème planche dessous, on aura difficilement accès aux trains. Et comme tu le dis, ils vont par hasard dérailler, et la c’est la galère pour aller les remettre sur la voie.
Ce cadre en treillis à l’air très bien.
Merci encore.
Philippe

Je n’ai jamais été un expert en menuiserie ni même attiré par cette discipline. Du coup, par fainéantise, ma gare cachée repose… sur une planche, de même que la partie visible du réseau. Et je confirme l’affirmation de Marc concernant la loi de Murphy : c’est toujours dans des recoins de la partie cachée de mon réseau que se produisent les (heureusement rares) déraillements et les blocages de convois (tout aussi rares !).

Jusqu’ici, moyennant des contorsions et ayant été pourvu de bras relativement longs (au sens propre !), j’ai toujours pu aller rechercher les locos ou wagons en perdition. Mais comme j’envisage une refonte de mon réseau (passage de voie M en voie C) qui imposera la dépose du plateau supérieur, je vais, non pas faire un cadre puis des semelles pour les voies de la partie cachée comme montré ci-dessus, mais bien découper des “trous d’homme” dans les parties du plateau inférieur où il n’y a pas de voie, pour disposer, comme le suggère Marc, d’un accès aux voies par le dessous… ça, à la scie sauteuse, je dois être capable de le faire…

Effectivement, la semelle sur chandelle, c’est pour l’ètage supérieur si on veut faire un décor avec des reliefs positifs et négatifs. La semelle de la gare cachée peut se poser directement sur le cadre, mais la planche peut être découpée en épousant le plan des voies. Plus facile pour récupérer les trains, réparer des connections, …

Et pour les tunnels sous le décor, je place une plaque de Styrodur ou panneau d’isolation sans le fixer. Je n’ai pas de gare cachée mais les trains se vengent dans ces tunnels.

La place de la ferme est derrière les transfos, et les voies passent derrière le mur.

Marc

Sur mon ancien réseau en voie K, j’avais comme Thierry veut faire, des trous pour accéder aux parties cachées, comme dans un grand tunnel en boucle par exemple. Quand une rame déraille c’est vraiment la galère pour aller la récupérer sans abîmer les attelages. J’en ai l’expérience.
C’est pour cela que je ferais comme mon ancien réseau, seulement des modules de 60 de profondeur accolés les uns aux autres. Je veux pouvoir accéder partout. Surtout quand on travaille sur le décor il faut pouvoir être à l’aise, et pas se contorsionner pour faire quelque chose.
Philippe