Bonjour à tous,
Je réfléchis à plus ou moins long terme à passer de ma CS2 (achetée en 2013) vers la nouvelle CS3 ou CS3 plus.
Tant que ma CS2 fonctionne bien, je ne vois pas clairement les avantages apportés par la CS3.
Deux points m’intéresseraient:
La possibilité de relier un écran externe HD voire 4K directement à la CS3, de manière à disposer de place pour créer le schéma de mon réseau en entier (je le fais déjà grâce au logiciel Märklin CS2.exe, qui apparemment n’a pas été adapté à la CS3 [à confirmer]). Je n’ai pas vu de prise HDMI ou DisplayPort sur la CS3 / CS3 Plus. Cela est-il possible via un PC ?
La possibilité de programmer des itinéraires ENCLENCHÉS sur la CS3, c’est-à-dire des itinéraires dont les éléments (les aiguillages en particulier) ne pourraient plus être manœuvrés directement ou par l’intermédiaire d’un autre itinéraire jusqu’à ce qu’un événement (occupation ou libération d’un tronçon par exemple) survienne. Il semblerait que cette possibilité était offerte par l’antédiluvien boîter “MEMORY” du digital des débuts, c’est très bizarre que cela n’ait pas été repris par la CS3.
D’avance merci des informations des experts du forum, plus avancés que moi dans ce domaine !
Bon dimanche et cordiales salutations de Montreux.
Jean
1 Oui la CS3 peut être raccordée à un PC avec un écran de différente taille (17 pouces pourmoi) mais cela peut aller à une plus grande taille. Mais (Hé oui il y a un mais)
la définition n’est pas grande, c’est juste la même image que sur la CS3 mais agrandie.
oui il faut un PC.
ceci est réalisé en installant sur votre PC VNC Viewer (logiciel gratuit à télécharger)
le lien avec la CS3 est le cable CAT5 (Ethernet) qui la relie en direct au PC ou par le biais d’un routeur. Pas de sortie HDMI, pas de 4K.
Le programme CS2.exe ne fonctionne que partiellement avec une CS3 (instabilité, sortie forcée, pas de synoptique).
Pour moi (posseseur d’une CS2, CS3 et d’un PC Windows 11 avec Rocrail) la situation est la suivante:
une CS2 ou CS3 ne gère pas d’itinéraires mais des séquences de commandes (locos, aiguillages., Signaux. Il n’y a pas de réservation d’itinéraire.
Pour ce que vous demandez, il faut utiliser un logiciel tel que Rocrail.
oui, l’ancienne génération 6021 et memory permettait les réservation et libérations mais ce n’est plus possible depuis la CS1, CS2, CS3. Ces réservation étaient manuelles Un contact pour réserver et un autre pour libérer (je crois car j’ai bien eu une 6021, Keyboards, etc mais pas de Memory.
Principes de fonctionnement de Rocrail (RR)
vous dessinez un réseau (Synoptique) sur l’écran Rocrail qui comprend toutes les pièces de voies (PVs) et les BLOCKS (zones de stationnement entre zones d’aiguillages)
pour chaque PV (sauf les croisements) indiquer le protocole (MM2, MFX, DCC,), la Centrale(il peut y en avoir plusieurs) et l’adresse.
Rocrail analyse votre réseau et détecte vos erreurs de syntaxe, à vous de les corriger
un routeur (fonction dans RR) calcule toutes les routes. Une route (itinéraire) permet d’aller d’un BLOCK à un BLOCK adjacent et positionnant les PVs qui les séparent
Chaque loco doit être déclarée: Protocole, adresse, nombre de crans de marche, V_min, V_mid, V_route, V_max. L’inertie est gérée par le décodeur de la loco
la centrale doit être déclarée (Märklin CS2/CS3, ECOS,… une trentaine en tout)
une fois tout ceci fait on peut démarrer RR (mode manuel, mode automatique, mode Schedule)
pour ceci on doit indiquer à RR la position de chaque loco (dans quel block) son orientation et son sens de marche
Les modes de RR Manuel: les locos sont pilotées manuellement et les itinéraires sélectionnés manuellement. Intéressant pour le test mais pas très pratique
Automatique: Les locos démarrent toutes seules et obeissent aux “signaux” virtuels (pour RR, les signaux ne sont que décoratifs). Les locos tracent leurs itinéraires en fonction des disponibilité des PV et de la liberté des blocks. Ce mode est très intéressant car il envoit les locos vers des destinations aléatoires. C’est le mode Aquarium (Fish bowl)
Schedule C’est un mode où l’aléatoire n’est pas pratique (dépot vapeur et son pont tournant, rangement de trains, etc.
Dans ce mode, un itinéraire est lancé par un ou quelques trains specifiques). Par exemple: aller du Block A au block C, puis au bloc E, puis tester quelque chose (type de loco, liberté d’un block,etc avant de lancer le schedule suivant.
Et les itinéraires dans tout ça
avant de lancer un itinéraire, RR teste si le block destination est libre et si toutes les PVs qu’il doit emprunter sont libres
ensuite RR réserve toutes les PVs à emprunter ainsi que le block de destination. Ainsi, aucun autre itinéraire ne peut emprunter les même ressources (PVs, Block) qui sont déjà réservées
seulement maintenant l’itinéraire est validé. Toutes les PVs sont positionnées les signaux (cosmétiques mis à la couleur souhaitée). La loco quitte son block de départ (là où elle est à l’instant t) et après roulage, arrive sur le block de destination. Toutes les PVs réservées sont alors libérées ainsi que le Block de départ qui peut être utilisé par d’autres trains.
Conclusion
la CS3 (CS2) ne gère pas en temps réel l’emplacement de chaque train et doit passer par des zones isolées pour stopper “un train” alors que RR sait en permanence où est chaque train et donc sait que le train Schienenbus est devant le block 12 et s’il doit ralentir ou s’arréter, RR enverra un ordre digital au Schienenbus. Pas besoin de zones isolées de ralentissement ni se signaux.
les itinéraires sont interverrouillés et libérés automatiquement (rien à faire)
les modes (manuel, automatique, schedule peuvent être combinés sans problèmes
Bonjour,
Une GRAND MERCI pour ces explications détaillées qui me confirment ce que je pressentais: il faut un logiciel complémentaire pour assurer la sécurité des circulations du réseau. Sans vouloir ressasser des regrets, je trouve que pour son prix une CS3 pourrait offrir un verrouillage minimal des itinéraires plutôt que des gadgets style “faire siffler une loco”, mais passons.
Je me permets d’abuser de votre patience.
Avec RR que vous connaissez bien, pouvez-vous gérer des voies de dépôt (ou autres) avec plusieurs locomotives sur un tronçon isolé d’une seule pièce, selon une logique “dernière entrée - première à sortir” ?
RR peut-il commander des signaux non-Märklin, style Microscale commandé par QDecoder (ou système analogue) ? Le tout en cohérence avec l’itinéraire tracé et la position du signal-but en fin d’itinéraire.
Pour info, voilà le schéma total de mon réseau (préparé avec un logiciel de dessin technique, avant de le recopier laborieusement sur la CS2 comme “Layout” !), que je devrai dessiner dans RR.
Chiffres noirs = longueur utile en cm; rectangle vert = commande d’itinéraire; chiffres noirs sur fond vert clair = numéro des branchements; ronds rouges = détection de présence par circuit de voie S88.
Le gros du travail sera de découper tout ça en cantons, mais il y a de très courtes zones intermédiaires qui ne servent qu’au suivi manuel, j’espère qu’un canton de A à B peut inclure plusieurs de ces zones isolées.
Il n’y a pas de tronçons isolés avec RR mais des blocks. En général, pour un block, il y a une loco mais rien n’empêche d’en avoir plusieurs sur une voie.
FIFO: Avec RR, il suffit de désigner un ensemble de blocks comme une “Localité” avec la gestion FIFO (First In First Out = premier entré, premier sorti) dans ce cas les “schedules” indiquent la localité, plutôt que chaque block qui la compose.
Pour le LIFO (Last In First Out) c’est le cas notamment sur une voie en impasse, je l’ai fait par les schedules
Voici un exemple de LIFO garage des Schienenbüsse
Je ne connais pas le QDecoder mais il semble qu’ils soient en DCC (donc pas de problème).
RR commande n’importe quel signal au moins dans les protocoles MM2, MFX ou DCC et permet la gestion de signaux de différentes provenances (protocoles différents sur un même réseau.
La commande simple (rouge / vert) se fait directement par le block selon le sens (sortie coté + du block et sortie coté -)
La commande peut aussi être faite par l’itinéraire (Route) qui, selon le tracé, va commander un feu vert, orange ou manoeuvre.
Concernant la gestion du feu orange car le block destination est rouge, je sais que c’est possible mais ne sais pas comment.
Si les signaux ne sont pas digitaux, il suffit d’intercaler un décoder DCC, MM2 ou MFX
Votre réseau: Mon expérience est qu’il est beaucoup plus facile de “rentrer” son réseau sous RR que sur la CS3
NOTE: avec RR, vous pouvez avoir des pages se référant à une partie du réseau avec des “connecteurs” Ils font correspondrent une voie à un endroit du réseau sur un des plans de RR, avec soit un autre plan soit sur le même.
Amicalement
Jean
Bonsoir,
Encore merci pour vos infos pertinentes et détaillées.
Encore deux questions:
Je recherche vainement le manuel officiel et complet de Rocrail, en français en PDF; ça doit bien se trouver quelque part.
Qu’est-ce qui déclenche la destruction d’un itinéraire ? Peut-on attribuer cette destruction à l’occupation ou à la libération (après occupation) d’un tronçon ? Peut-on programmer un transit au moins partiellement souple (là, j’abuse) ?
Bonne semaine et cordiales salutations de Montreux.
Jean
Un itinéraire comporte un block de départ et un autre block destination. Lorsque le train vient occupper ENTIEREMENT le block destination (Signal IN) alors l’itinéraire se libère ainsi que loe block origine. La position de la loco est alors mise à jour (mise à jour en temps réel).
Non, la libération progressive d’un itinéraire n’est pas prévue avec RR et elle ne servirait pas à grand chose.
J’utilise également une CS2 et je me suis posé la même question de la transition vers la CS3… jusqu’au jour où j’ai décidé d’utiliser iTrain, concurrent de RocRail.
Les 2 logiciels sont très similaires mais là n’est pas la question : ma CS2 ne sert plus que d’interface entre le logiciel et le réseau. J’ai donc renoncé à tracer un layout sur la CS2, puisque ça ne sert plus à rien ! Et donc renoncé à investir dans une CS3.
Je plussoie sur les arguments de Jean concernant les avantages à utiliser un logiciel : sécurité d’exploitation, absence de tronçons isolés, câblage simplifié, diversité des itinéraires,…
Dernier exemple en date, une navette entre 3 points : de A à B, de B à C, de C à B et de B à A…
Cela a toutefois un prix : le paramétrage initial des cantons, des rames, des accessoires,…
Je suis toujours en admiration avec ce que peut faire Thierry en mode de pilotage de son réseau. Avec le logiciel Itrain et une CS2 il pilote tout son réseau automatiquement, c’est impressionnant.
Investir dans une CS n’a donc aucun avantage.
Moi j’ai encore tout à apprendre.
Sincèrement.
Philippe
Bonsoir Jean,
Je possède une CS 3 et utilise iTrain pour la gestion de mon réseau.
Habitant la région de Oron-la-Ville donc pas très loin de Montreux c’est volontiers que je vous propose une visite sur place.
Merci de me contacter si intéressé.
Cordialement
Michel
Bonsoir,
Grand merci pour votre aimable proposition. Pour l’instant je suis en convalescence d’un méchant COVID, mais je suis intéressé de découvrir “in vivo” l’application d’un logiciel tel iTrain pour la conduite d’un réseau ferroviaire miniature. Pour l’instant je suis encore dubitatif, car je m’aperçois que le comportement des logiciels ressemble furieusement dans certains cas à ce qu’on pouvait faire avec des relais et des pédales de commande Märklin dans les années 80 !
Par exemple la destruction d’un itinéraire par l’occupation du dernier tronçon isolé est identique à une commande par pédale au bout du canton, alors qu’il faudrait également mettre comme condition du déverrouillage la libération du dernier branchement (ou du tronçon isolé adjacent, puisqu’apparemment on ne peut contrôler l’occupation des branchements eux-mêmes).
Je vous recontacterai quand je serai à nouveau à 100% de mes capacités, avec mes cordiales salutations de Montreux.
Jean
Dire que les logiciels tels que RR ressemblent à ceux des années 80, en théorie est exact mais pas au même niveau de complexité. Les logiciel font plein de choses pour vous sans que vous ayez besoin de vous en soucier. Par exemple le suivi en temps réel des locos (où sont-elles), la longueur des trains, la commutation FIFO, aléatoire, les blocks de transfert. Non, c’est parce que nous fournissons une descripotion SIMPLIFIEE.
Dans votre exemple de destruction d’itinéraire, la condition, dans RR existe: l’itinéraire est libéré à l’arrivée mais si une occupation subsiste dans le block de départ et toutes les détections intermédiaires, alors AUCUNE loco ne sera autorisée à y entrée. Sur toutes les fonctions (route, schedule, etc on peut ajouter des conditions
En bref, pour iTrain je ne sais pas mais pour Rocrail la possibilité est donnée de démarrer avec peu de paramètres:
pas de conditions sur les type de trains (vapeur, électrique, rapide, autorail)
pas de condition sur les longeurs de convois
pas de composition des trains
autres (j’en oublie plein)
Bien sur ces conditions peuvent être ajoutées après coup et ceci pour permettre un démarrage rapide, mais plus tard, permettre des possibilités immenses.
Ceci est FAUX, bien sur qu’on peut mélanger des détecteurs réels et d’autres détecteurs virtuels, résultat de combinaisons logiques. TOUT EST POSSIBLE.
Amicalement
Jean
Tu es très gentil mais je suis un “bleu” à côté de Jean qui exploite bien mieux que moi son logiciel RocRail… les possibilités d’Itrain et de RR sont semblables et quasi infinies. Donc, j’ai encore du chemin à faire, même si je suis déjà émerveillé par les quelques possibilités que j’exploite.
Bonjour Jean,
Merci de tes explications détaillées. Ne m’en veux pas si je suis parfois un peu critique, mais la modélisation de mon réseau sur RR (ou autres logiciels similaires) me paraît représenter une somme de travail conséquente (surtout pour un débutant dans ce domaine). Avant de me lancer la tête dans le guidon, je veux bien m’assurer qu’il y aura une vraie valeur ajoutée dans le domaine de la sécurité, talon d’Achille de la conduite manuelle.
Tes explications concernant la souplesse des conditions pour la destruction d’un itinéraire m’ont rassuré, mais évidemment j’ai encore beaucoup à apprendre.
Une autre question: lors de la circulation sur des tronçons isolés S88, il peut y avoir un mauvais contact temporaire qui libère le tronçon une fraction de seconde; peut-on intégrer un paramètre de temporisation afin que cela n’entraîne pas un déverrouillage intempestif ?
Concernant la signalisation, même si elle n’a plus qu’un rôle “décoratif”, beaucoup de questions restent sans réponse. Je ne dois pas être le seul à “patauger” sur ce sujet, car des visites de réseaux importants dans des clubs m’ont révélé une certaine fantaisie: signaux avancés ouverts alors que le signal principal jumelé (cas d’un signal d’entrée) est fermé, apparente banalisation des voies, mais jamais mise en œuvre (n’est-ce qu’une simulation ?), etc.
Mon prochain objectif est de me plonger dans le WIKI de RR, même si je regrette l’absence d’un fichier PDF de mode d’emploi.
Encore merci de ton aide et cordiales salutations de Montreux.
Jean
Tout d’abord un prompt et rapide rétablissement !
Comme annoncé vous me contactez quand vous le souhaitez et nous regarderons tout ça de près.
Au début c’est toujours un peu galère, il faut lire le manuel mais en pratiquant les progrès viennent rapidement. De plus pour iTrain il existe aussi un forum convivial en français et d’autres langues avec lequel les réponses à nos questions sont rapides et nombreuses.
Il y a une réelle valeur ajoutée (ein kollossal Mehrwerte ) à condition de ne pas être trop arrogant. Il faut démarrer simple avec un circuit simple et une ou deux locos. RR fournit un circuit de démonstration qui fonctionne dès le départ. Bien s’en imprégner et le tester (pourquoi pas avec un vrai réseau.
C’est absolument inutile. A supposer que la voie soit très sale, l’itinéraire du Block A vers le Block B ne sera libéré que lorsque le contact IN du block B est activé pour la première fois et ceci APRES l’activation du ENTER du block B. Des contacts vascillants ne changent RIEN au fonctionnement.
Les temporisations sont possibles mais à manier avec retenue. La plupart du temps c’est INUTILE. Ce qui est important, c’est de bien positionner les capteurs et de préférer des occupations sur toute une longueur à des impulsions comme dans les années 50.
Comme déjà dit, la signalisation n’est que cosmétique et une complexité progressive est conseillée
les signaux à 2 positions associés aux Blocks est le plus simple
une signalisation associée à des itinéraires permet selon le cas d’activer soit la signalisation de gare si la destination reste en gare (manoeuvre), soit le signal principal et le signal de gare si la destination est un endroit sur la ligne
des signaux de ralentissements peuvent compléter le tout en fonction de la destination.
les signaux avancés à l’Allemande sont les plus faciles à traiter (en concommitance du signal principal.
la banalisation des voies est la chose la plus facile à réaliser avec RR. La signalisation correspondante est souvant délaissée / traitée par dessus la jambe car non essentielle. Documentation RR WiKi Il faut se rapeller qu’elle est basée sut les concepts suivants:
mise à jour en permanence
invocation directe depuis RR en opération: je travaille sur un capteur et manque d’info. En appuyant sur la touche AIDE, j’obtiens sur mon “browser”, dans la langue souhaitée la page concernée en non pas des miliers de pages qui sont sans rapport.
La documlentation est interactive.
Amicalement
Jean
Bonsoir
je viens de revisionner la vidéo Ballades en Schienenbus et me pose les questions suivantes :
la voie de garage ne parait pas très longue pour accueillir les 2 Schienenbus combien de contacts comporte t’elle ?
quelle est la longueur des contacts ?
Salutations
André
Bonsoir André
La voie de remise, fait à peine plus que la longueur de chaque autorail ajouté à celle de l’autre.
L’emplacement des deux contacts (en tout) pour Rocrail dépend de la vitesse de chacun au moment de la commande d’arrêt.
En bref, il faut faire des essais et avec la voie C c’est très facile contrairement à une voie K flexible.
Amicalement
Jean
Bonsoir Jean
Je ne comprend pas , pour avoir 2 motrices sur une voie il faut 2 blocs non ?
serait-il possible d’avoir un petit croquis du montage avec seulement 2 contacts et la longueurs de ceux-ci ?
Je suis entrain de réfléchir à automatiser la partie manoeuvre de mon réseau que je pensais garder en pilotage manuel car sortir une motrice ou un train avec la CS se dépêcher de la mettre dans RR avant le gosht qui me coupe l’alimentation … et je n’ai pas de s88 de libre pour faire des tests
Merci
André
Bonsoir André
Il faut toujours avoir au moins un bloc de plus que de trains. Il est bon d’avoir une réserve de blocs disponibles pour que les trains se déplacent de façon fluide.
Longueur des Blocs et capteurs
un bloc doit toujours être plus long que le train qu’il pourrait acceuillir
capteurs: si on utilise RR alors le IN est sur une longueur de 20 cm et le ENTER sur le reste du block
piloter en manuel avec RR a un intérêt limité ,mais possible avec le “drag and drop”
aucun Ghost ne doit vous couper l’alimentation. Il suffit de démarrer RR en même temps que la CS et de ne passer en AUTO, que lorsque les trains sont placés sur le plan RR (chaque block acceuille une loco ou est libre d’acceuillir une loco.
ENFIN, on passe en mode AUTO et, à partir de ce moment on ne commande PLUS AUCUNE LOCO. C’est RR qui s’en charge. Sinon, il ne faut pas passer en mode AUTO.
Si, pas assez de S88 alors tester en virtuel mais il est assez urgent d’avoir le bon nombre au moins pour les voies principales (pas les voies de garage. Zones de pilotage en manuel
Chaque bloc de cette zone peut être déclaré comme acceptant les “Ghosts”. C’est un mode que je ne connais pas bien (mais plutôt le mode “Aquarium” (les trains vont où ils veulent dans la mesure des permissions) et le mode “Schedule” (les trains déroulent un programme (horaire: Bloc A vers Bloc D vers Bloc E, Changement de sens, etc).
Amicalement
Jean
) à condition de ne pas être trop arrogant. Il faut démarrer simple avec un circuit simple et une ou deux locos. RR fournit un circuit de démonstration qui fonctionne dès le départ. Bien s’en imprégner et le tester (pourquoi pas avec un vrai réseau.