Où est passée la BR 86 ?

Bonjour à tous

Avez vous remarqué la disparition de la BR 86 du programme 2017/18 ?
Y aurait il une nouvelle version à venir? :question:

Bonsoir,

Si l’on parle bien du modèle à l’échelle HO, la BR 86 ne figure plus au catalogue depuis l’édition 2014/2015.
Dans le catalogue 2013/2014, c’etait une série unique en coffret de 2 machines réf. 37862.
Qui dit série unique, dit fabrication seulement l’année considérée.
Donc, qu’elle ne soit plus présente dans les éditions suivantes est normal.

Merci Bertrand,

C’est vrai, et je m’en suis aperçu après.
Je me demandais toutefois si une version plus “moderne” allait voir le jour ?

Ca a été le cas de la BR 81.

Bonne soirée

Bonjour François,

des compteurs de rivets comme on en trouve beaucoup dans certains forums et malheureusement aussi à foison dans les rédactions de la presse ferromodéliste, ont déclaré qu’un modèle datant du début des années 1970 ne peut en aucun cas suffire aux exigences du client en 201x. Que donc c’est une honte de présenter encore ce modèle-là (et l’increvable BR 194, de 1966 !).
À mon grand regret.

À mon grand regret aussi, ce genre de machine n’a pas été remplacé dans le programme (si on peut parler de programme, c’est une succession de séries uniques et non renouvelées l’année suivante…), de sorte que l’on ne trouve plus de loco tender à 4 essieux moteur et à destination de trains de marchandise, mixtes et omnibus sur les lignes secondaires.
J’aurais rêvé d’une BR 93, qu’il s’agisse de l’ex T14 prussienne ou de sa dérivée T14.1, toutes les deux très nombreuses sur les rails allemands mais aussi en Europe d’Entente puisque dispersées à travers les réparations imposées par le traité de Versailles. En France, on les a même dotées de réversibilité et augmenté la vitesse maximale de 65 à 90 km/h, par un biellage allégé et quelques petits réglages. Ce serait donc un modèle européen.

Mais quand notre marque préférée m’écoutera-t-elle ? :frowning:

Bonjour Wolfram,

Tout à fait de ton avis.C’est bien dommage car cette BR 86 me plait toujours autant. Je vais peut être me laisser tenter par une deuxième, ce ne sont pas les versions qui manquent :scratch: . Je ne peux en dire autant de la BR 93 de Roco, certes plus détaillée (aïe les petites pièces….) mais qui s’avère bien capricieuse à l’usage.
Que penser aussi de “l’antique” BR 81, certes revue et remotorisée mais qui accuse bien son âge ! En tous cas increvables, de grande puissance de traction et télex simple, ces machines ont fait le bonheur de générations, notamment sur voie M.
A présent, c’est au tour de la BR 85 de subir le feu des critiques après la sortie sa dernière édition. quant à la Roco, bien trop chère, elle ne me tente pas.
Je souhaite vivement qu’une BR 62 apparaisse enfin chez Märklin, mais j’en redoute déjà le prix ……

Bonjour Wolfram,
Moi aussi j’attends une T14 de la marque un de ces jours peut être ou bien via une autre marque. Ceci dit en ce qui concerne l’abandon des anciennes versions de la BR86, ça me semble dû plutôt à la motorisation qu’au détaillage général du modèle. Le pb avec les anciens moteurs c’est le bruit généré par la cascade de pignons, plus ou moins présent suivant les machines, même d’un modèle à l’autre fonction des tolérances d’usinage.
Märklin à proposé depuis qq années des machines relookées avec plus ou moins de succès au niveau bruit moteur, parfois lié à la fonction caisse de résonance de la chaudière, pour ce que j’ai constaté sur certaine vapeurs BR78 par ex.
Sur un modèle sonorisé de cette conception, le bruit est à peu près couvert si le volume est à fond lorsque la machine circule à vitesse élevée, même avec un peu de graisse sur le pignon d’attaque. Vu la politique de la marque, et pas seulement Märklin, de proposer des décodeurs son, il faut admettre que seules les motorisations avec vis sans fin bronze et pignons Delrin répondent à ce critère de silence de roulement.
La seule chose qu’on pourra regretter sur ces “vieux” modèles c’est leur robustesse et la facilité d’entretien. C’est vrai par ex pour les ampoules alimentant les feux par des conducteurs de lumière, faciles à remplacer, dont la durée de vie alimentées sous voltées via les décodeurs modernes est quasi illimitée.
Avec l’arrivée des leds, par ailleurs souvent douteuses du point de vue réalisme sur les vieilles vapeurs, si ça lâche c’est pratiquement irremplaçable sur la platine, laquelle coûte le prix d’un décodeur.
Rien n’est parfait en ce bas monde…
Cordialement,
PS : merci pour la réponse sur les causes de l’accident survenu en Belgique.